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#1 |
Berichten: n/a
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![]() Qu' ont donc fait les Wallons ? Ils ont courbé l'échine. Pouvaient-ils faire
autrement ? On disait, que leur langue était grossière, que c' était un « patois » ! Donc qu' ils n'étaient que des arriérés incapables de bâtir une langue ! D'autre part, on magnifiait le français, dont on disait que c' était une langue internationale, la langue de la dipomatie, une langue claire, pleine de nuances. Je l'ai encore lu dernièrement, dans un texte de Jacques Mercier. Comme les intellectuels étaient aliénés au français -N.B.-Un aliéné est quelqu' un qui a abandoné sa personnalité pour adopter, imiter, se mettre au service, corps et âme de ce qu' il admire ! Certains sont ainsi aliénés �* un parti, �* une langue, �* une religion, ... Des cas extrêmes d'aliénation mènent �* l'asile. Certains se prennent pour Staline, Napoléon, De Gaulle, Hitler,... d'autres pour des personnages �* ne pas mêler aux premiers : le Christ, le Mahatma Gandhi, Mother Thérésa,... Le Wallon qui n' avait pas fait d'études n' était pas �* même de répliquer. Quand une femme, essayant de parler français, disait que sa fille était débauchée, Traduisant « disbautchîye », c' est-�* dire « désolée », on se moquait d'elle, mais elle ne pouvait répliquer, que le français, quand il disait « sans argent », voulait dire qu1 il n' y avait pas d'argent, mais quand il disait : « il viendra sans doute demain » laissait justement planer un doute, que quand il disait : « N' ayez pas peur de monter en avion, Madame ! Tous les avions ne tombent pas ! », il disait qu' aucun avion ne tombe, alors qu' il faut comprendre qu' ils ne tombent pas tous ! Ce qui empêchait aussi les Wallons de se défendre, c' est que les Flamands étaient aussi colonisés, mais qu' il était plus difficile pour eux d'apprendre le français. Or, les fonctions publiques utilisaient le français et les Wallons en profitaient. Les intellectuels flamands étaient aussi francisés et le plus grand poète belge, Guido Gezelle, qui enseignait au collège de Roeselare, où les cours se donnaient en français a eu tellement de succès près de ses élèves en leur enseignant le néerlan�*dais, que sa hiérarchie fransquillonne l'a mis dehors ! La pratique du « signum », objet remis �* un enfant parlant wallon, qu' il devait remet�*tre �* un condisciple parlant wallon, le dernier de la chaîne de délation étant puni pour avoir parlé comme ses parents, a aussi contribué �* complexer les Wallons. Notez que cet entraînement �* la délation a continué, même pendant la guerre ! ! ! |
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#2 |
Berichten: n/a
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![]() Le lien avec le fascisme francophone n'e'st pas clair...
Johan Viroux wrote: > Qu' ont donc fait les Wallons ? Ils ont courbé l'échine. Pouvaient-ils faire > autrement ? On disait, que leur langue était grossière, que c' était un « > patois » ! Donc qu' ils n'étaient que des arriérés incapables de bâtir une > langue ! D'autre part, on magnifiait le français, dont on disait que c' > était une langue internationale, la langue de la dipomatie, une langue > claire, pleine de nuances. Je l'ai encore lu dernièrement, dans un texte de > Jacques Mercier. Comme les intellectuels étaient aliénés au > français -N.B.-Un aliéné est quelqu' un qui a abandoné sa personnalité pour > adopter, imiter, se mettre au service, corps et âme de ce qu' il admire! > Certains sont ainsi aliénés �* un parti, �* une langue, �* une religion, ... > Des cas extrêmes d'aliénation mènent �* l'asile. Certains se prennent pour > Staline, Napoléon, De Gaulle, Hitler,... d'autres pour des personnages �* ne > pas mêler aux premiers : le Christ, le Mahatma Gandhi, Mother Thérésa,... Le > Wallon qui n' avait pas fait d'études n' était pas �* même de répliquer. > Quand une femme, essayant de parler français, disait que sa fille était > débauchée, Traduisant « disbautchîye », c' est-�* dire « désolée », on se > moquait d'elle, mais elle ne pouvait répliquer, que le français, quand il > disait « sans argent », voulait dire qu1 il n' y avait pas d'argent, mais > quand il disait : « il viendra sans doute demain » laissait justementplaner > un doute, que quand il disait : « N' ayez pas peur de monter en avion, > Madame ! Tous les avions ne tombent pas ! », il disait qu' aucun avion ne > tombe, alors qu' il faut comprendre qu' ils ne tombent pas tous ! Ce qui > empêchait aussi les Wallons de se défendre, c' est que les Flamands étaient > aussi colonisés, mais qu' il était plus difficile pour eux d'apprendre le > français. Or, les fonctions publiques utilisaient le français et les Wallons > en profitaient. Les intellectuels flamands étaient aussi francisés etle > plus grand poète belge, Guido Gezelle, qui enseignait au collège de > Roeselare, où les cours se donnaient en français a eu tellement de succès > près de ses élèves en leur enseignant le néerlan�*dais, que sa hiérarchie > fransquillonne l'a mis dehors ! La pratique du « signum », objet remis �* un > enfant parlant wallon, qu' il devait remet�*tre �* un condisciple parlant > wallon, le dernier de la chaîne de délation étant puni pour avoir parlé > comme ses parents, a aussi contribué �* complexer les Wallons. Notez que cet > entraînement �* la délation a continué, même pendant la guerre !! ! |