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#1 |
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![]() Jean Naimard a écrit :
> Il semblerait bien, suite �* l’analyse de ses empreintes digitales… Les races n'existent pas. > > http://dsc.discovery.com/news/2006/1...19-502-ak-0000 On n'est même pas sûr que c'est de lui ou un de ses apprentis... Enfin, selon cette hypothèse très contestable il serait levantin du côté maternel (d'où exactement ?). Pas juive vous êtes sûr ? > > On se souviendra que juste avant la Renaissance, Personne ne sait définir ce que c'est (ça varie d'un pays �* l'autre et d'un auteur �* l'autre). Donnez-en une bonne définition, cf. Jacques Heers qui critique ce terme. > les arabes avaient la > science la plus avancée… C'est faux. On en a déj�* parlé ici. De toute façon c'est amusant, vous voulez dire qu'il est né de ce paysanne disons arabe avec la science infuse !? Vous ne seriez pas un peu raciste, vous ? (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme, le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé comme postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de la culture grecque. Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il écrit : (pp. 169-170) "On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" C'est inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une facilité de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable identité des auteurs musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, pour la plupart, des Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête, avaient adopté la langue et l'écriture des maîtres. Les Perses, eux, avaient gardé leur langue. En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi des Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520, soit plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, celui de la logique notamment, n'a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dans les toutes premières universités et l'on se servait alors de traductions latines des textes grecs d'origine que les érudits, les philosophes et les hommes d'Église de Constantinople avaient pieusement gardés et largement diffusés. Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que l'on attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron (auteur juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous les enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela faisait plus d'un siècle que la logique, directement inspirée d'Aristote, était reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus universitaires. De plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut pas bien accepté. Les autorités ont interdit ces travaux d'auteurs musulmans qui revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par une propagande religieuse que par le respect des textes originaux. Les "traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en contradiction avec l'enseignement de l'Islam. En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant, n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même des musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les populations soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, gardaient pieusement les textes et les enseignement. Les lettrés ne s'étaient pas tous convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté volontiers la langue de l'occupant. Le grec demeura langue officielle en Égypte et la Syrie jusque vers l'an 700. Le syriaque, parler araméen de la ville d'Édessem ne fut abandonné par les lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant plusieurs centaines d'années, les grands centres intellectuels de l'Orient, Ninive, Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête musulmane. [...] Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmane ibn Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne, la ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus. En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes, l�* où ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche, Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable, dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses communautés monastiques. [Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques, sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille, d'Alexandre, etc.] Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir et connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux leurs maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par volonté de tromper. [suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil d'avis juridiques de Justinien, etc.] " Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne musulmane. ----------- http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...%e9moire/dp/28... http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996 L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché) de Jacques Heers # Broché: 269 pages # Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006) # Langue: Français # ISBN: 2851621750 Description du produit Présentation de l'éditeur Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école républicaine n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête citoyen pouvait écrire. La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent tout au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les images, les célébrations nationales, les émissions télévisées, les directives et les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, en France, soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et laisse de moins en moins de liberté aux centres de recherche qui n'ont même plus le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée. Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où l'individu paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* l'évolution des techniques, �* l'économie ou même au " sens de l'Histoire ". Elle édicte des règles qui ne souffrent ni exceptions ni contradictions. Du Moyen Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des manipulations de l'Histoire. Biographie de l'auteur Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié dernièrement Les négriers en terre d'islam. http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/l_es...t_almohade.asp (Voir aussi "Historiquement correct" de Sévillia, relu le passage hier pas le temps de transcrire maintenant) http://www.amazon.fr/Historiquement-...UTF8&s=gateway http://www.amazon.fr/Historiquement-...655461?ie=UTF8 Intolérance et rigorisme Les Almoravides étaient parvenus �* rétablir �* leur profit l'unité d'Al-Andalus qui connut sous leur domination de profondes transformations. La très relative « tolérance » dont avaient bénéficié les chrétiens mozarabes et les juifs �* l'époque ommeyade disparut rapidement. Les juifs de Lucena durent ainsi verser une grosse somme d'argent pour échapper �* la conversion et de nombreuses églises chrétiennes furent détruites. L'expédition conduite en 1125 jusqu'�* Grenade par Alphonse d'Aragon, combinée avec un soulèvement des Mozarabes [chrétiens espagnols sous domination musulmane] locaux, entraîne, lors de la retraite du Batailleur, le départ de dix mille d'entre eux vers le nord ; les chrétiens demeurés sur place sont en majorité déportés en Afrique du Nord pour y être installés près de Meknès et de Salé où l'interdiction de pratiquer leur religion entraîne la disparition rapide de ces communautés. Dans l'ensemble d'Al-Andalus, le nombre des chrétiens est désormais très réduit, �* un moment où, dans le contexte général des croisades et des « réveils » religieux berbères, l'antagonisme entre islam et chrétienté atteint son intensité maximale. L'allègement de la fiscalité qui pesait sur les populations musulmanes �* l'époque des taifas [roitelets musulmans] fut globalement favorable �* l'activité économique durant la période de la domination almoravide et le dirhem d'argent répandu dans tout l'Occident musulman apparaît comme une monnaie solide. Si l'époque des taifas avait été marquée par un effacement politique évident de l'Espagne musulmane victime de ses divisions, celle-ci avait conservé une vie culturelle extrêmement brillante. La conquête almoravide mit un terme �* un certain art de vivre condamné par le rigorisme malékite et aux raffinements hérités de l'époque califale, ce dont témoignent les vestiges d'habitations remontant �* cette période, qui avait vu Ali ben Yusuf, le fils et successeur de Yusuf ben Tachfin, ordonner la destruction des ouvrages d'Al-Ghazali, porteur des derniers feux de la pensée islamique. |
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#2 |
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![]() Aïe ! maintenant qu'on a les empreintes digitales de Léonard, les
policiers scientifiques de la Crim' vont lui coller sur le dos tous les crimes crapuleux de l'époque ! La Joconde était une jeune fille au pair (mineure) que léonard a enlevée avant de la violer et de la séquestrer... S'il l'a peinte, c'est uniquement parce que la photo-porno n'existait pas encore... Conclusion, c'est bien lui qui a inventé la photo cochonne pédophile ! Encore un trait de génie �* son actif ! Et toc ! Réjean Laflamme wrote: > Jean Naimard a écrit : > > Il semblerait bien, suite �* l'analyse de ses empreintes digitales... > > > Les races n'existent pas. > > > > > http://dsc.discovery.com/news/2006/1...19-502-ak-0000 > > On n'est même pas sûr que c'est de lui ou un de ses apprentis... > > Enfin, selon cette hypothèse très contestable il serait levantin du côté > maternel (d'où exactement ?). Pas juive vous êtes sûr ? > > > > > > On se souviendra que juste avant la Renaissance, > > Personne ne sait définir ce que c'est (ça varie d'un pays �* l'autreet > d'un auteur �* l'autre). Donnez-en une bonne définition, cf. Jacques > Heers qui critique ce terme. > > > les arabes avaient la > > science la plus avancée... > > C'est faux. On en a déj�* parlé ici. De toute façon c'est amusant,vous > voulez dire qu'il est né de ce paysanne disons arabe avec la science > infuse !? Vous ne seriez pas un peu raciste, vous ? > > > (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle > idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme, > le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos > racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé comme > postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de > la culture grecque. > > Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études > médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il écrit : > > (pp. 169-170) > > "On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" C'est > inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une facilité > de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise > volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable identité desauteurs > musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus > écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, pour la plupart, des > Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête, > avaient adopté la langue et l'écriture des maîtres. Les Perses, eux, > avaient gardé leur langue. > > En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les > musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi des > Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520, soit > plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, celui de la logique > notamment, n'a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dans les > toutes premières universités et l'on se servait alors de traductions > latines des textes grecs d'origine que les érudits, les philosophes et > les hommes d'Église de Constantinople avaient pieusement gardés et > largement diffusés. > > Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que l'on > attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron(auteur > juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous les > enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela faisaitplus > d'un siècle que la logique, directement inspirée d'Aristote, était > reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus universitaires. De > plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut pas bien accepté. Les > autorités ont interdit ces travaux d'auteurs musulmans qui > revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne > présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par une > propagande religieuse que par le respect des textes originaux. Les > "traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en > contradiction avec l'enseignement de l'Islam. > > En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant, > n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même des > musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu > d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les populations > soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, gardaient pieusement > les textes et les enseignement. Les lettrés ne s'étaient pas tous > convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté volontiers la langue de > l'occupant. Le grec demeura langue officielle en Égypte et la Syrie > jusque vers l'an 700. Le syriaque, parler araméen de la ville d'Édessem > ne fut abandonné par les lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant > plusieurs centaines d'années, les grands centres intellectuels de > l'Orient, Ninive, Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête > musulmane. > > [...] > > Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmane ibn > Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers > l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits > ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne, la > ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les > grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout > particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant > l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des > traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus. > > En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes > n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu > d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes, l�* où > ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus > variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que > l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan > intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche, > Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les > Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout > ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et > latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable, > dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses > communautés monastiques. > > [Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture > antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques, > sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille, > d'Alexandre, etc.] > > Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et > savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des > habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir et > connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux leurs > maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par volonté de > tromper. > > [suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et > les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de > l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil > d'avis juridiques de Justinien, etc.] > > " > > Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la > coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne musulmane. > > ----------- > http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...%e9moire/dp/28... > http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996 > > L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché) > de Jacques Heers > # Broché: 269 pages > # Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006) > # Langue: Français > # ISBN: 2851621750 > > Description du produit > Présentation de l'éditeur > Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de > propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école républicaine > n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête citoyen pouvait > écrire. > > La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent tout > au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les images, > les célébrations nationales, les émissions télévisées, les directives et > les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, en France, > soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et laisse de > moins en moins de liberté aux centres de recherche qui n'ont même plus > le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et > leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée. > > Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des > catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où l'individu > paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* l'évolution des > techniques, �* l'économie ou même au " sens de l'Histoire ". Elle édicte > des règles qui ne souffrent ni exceptions ni contradictions. Du Moyen > Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des > manipulations de l'Histoire. > > Biographie de l'auteur > Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des > lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de > Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du > Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié > dernièrement Les négriers en terre d'islam. > > > > > > > http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/l_es...t_almohade.asp > > (Voir aussi "Historiquement correct" de Sévillia, relu le passage hier > pas le temps de transcrire maintenant) > > http://www.amazon.fr/Historiquement-...UTF8&s=gateway > > http://www.amazon.fr/Historiquement-...655461?ie=UTF8 > > Intolérance et rigorisme > > Les Almoravides étaient parvenus �* rétablir �* leur profit l'unité > d'Al-Andalus qui connut sous leur domination de profondes > transformations. La très relative « tolérance » dont avaient bénéficié > les chrétiens mozarabes et les juifs �* l'époque ommeyade disparut > rapidement. Les juifs de Lucena durent ainsi verser une grosse somme > d'argent pour échapper �* la conversion et de nombreuses églises > chrétiennes furent détruites. L'expédition conduite en 1125 jusqu'�* > Grenade par Alphonse d'Aragon, combinée avec un soulèvement des > Mozarabes [chrétiens espagnols sous domination musulmane] locaux, > entraîne, lors de la retraite du Batailleur, le départ de dix mille > d'entre eux vers le nord ; les chrétiens demeurés sur place sont en > majorité déportés en Afrique du Nord pour y être installés près de > Meknès et de Salé où l'interdiction de pratiquer leur religion entraîne > la disparition rapide de ces communautés. Dans l'ensemble d'Al-Andalus, > le nombre des chrétiens est désormais très réduit, �* un moment où, dans > le contexte général des croisades et des « réveils » religieux berbères, > l'antagonisme entre islam et chrétienté atteint son intensité maximale. > > L'allègement de la fiscalité qui pesait sur les populations musulmanes �* > l'époque des taifas [roitelets musulmans] fut globalement favorable �* > l'activité économique durant la période de la domination almoravideet > le dirhem d'argent répandu dans tout l'Occident musulman apparaît comme > une monnaie solide. Si l'époque des taifas avait été marquée par un > effacement politique évident de l'Espagne musulmane victime de ses > divisions, celle-ci avait conservé une vie culturelle extrêmement > brillante. La conquête almoravide mit un terme �* un certain art de vivre > condamné par le rigorisme malékite et aux raffinements hérités de > l'époque califale, ce dont témoignent les vestiges d'habitations > remontant �* cette période, qui avait vu Ali ben Yusuf, le fils et > successeur de Yusuf ben Tachfin, ordonner la destruction des ouvrages > d'Al-Ghazali, porteur des derniers feux de la pensée islamique. |
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![]() Ça dépendra des "traces de fibres" qu'on retrouvera sur la toile en
question, je suppose... "dreads" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected] om... Aïe ! maintenant qu'on a les empreintes digitales de Léonard, les policiers scientifiques de la Crim' vont lui coller sur le dos tous les crimes crapuleux de l'époque ! La Joconde était une jeune fille au pair (mineure) que léonard a enlevée avant de la violer et de la séquestrer... S'il l'a peinte, c'est uniquement parce que la photo-porno n'existait pas encore... Conclusion, c'est bien lui qui a inventé la photo cochonne pédophile ! Encore un trait de génie �* son actif ! Et toc ! Réjean Laflamme wrote: > Jean Naimard a écrit : > > Il semblerait bien, suite �* l'analyse de ses empreintes digitales... > > > Les races n'existent pas. > > > > > http://dsc.discovery.com/news/2006/1...19-502-ak-0000 > > On n'est même pas sûr que c'est de lui ou un de ses apprentis... > > Enfin, selon cette hypothèse très contestable il serait levantin du côté > maternel (d'où exactement ?). Pas juive vous êtes sûr ? > > > > > > On se souviendra que juste avant la Renaissance, > > Personne ne sait définir ce que c'est (ça varie d'un pays �* l'autre et > d'un auteur �* l'autre). Donnez-en une bonne définition, cf. Jacques > Heers qui critique ce terme. > > > les arabes avaient la > > science la plus avancée... > > C'est faux. On en a déj�* parlé ici. De toute façon c'est amusant, vous > voulez dire qu'il est né de ce paysanne disons arabe avec la science > infuse !? Vous ne seriez pas un peu raciste, vous ? > > > (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle > idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme, > le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos > racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé comme > postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de > la culture grecque. > > Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études > médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il écrit : > > (pp. 169-170) > > "On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" C'est > inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une facilité > de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise > volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable identité des auteurs > musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus > écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, pour la plupart, des > Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête, > avaient adopté la langue et l'écriture des maîtres. Les Perses, eux, > avaient gardé leur langue. > > En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les > musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi des > Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520, soit > plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, celui de la logique > notamment, n'a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dans les > toutes premières universités et l'on se servait alors de traductions > latines des textes grecs d'origine que les érudits, les philosophes et > les hommes d'Église de Constantinople avaient pieusement gardés et > largement diffusés. > > Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que l'on > attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron (auteur > juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous les > enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela faisait plus > d'un siècle que la logique, directement inspirée d'Aristote, était > reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus universitaires. De > plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut pas bien accepté. Les > autorités ont interdit ces travaux d'auteurs musulmans qui > revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne > présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par une > propagande religieuse que par le respect des textes originaux. Les > "traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en > contradiction avec l'enseignement de l'Islam. > > En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant, > n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même des > musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu > d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les populations > soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, gardaient pieusement > les textes et les enseignement. Les lettrés ne s'étaient pas tous > convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté volontiers la langue de > l'occupant. Le grec demeura langue officielle en Égypte et la Syrie > jusque vers l'an 700. Le syriaque, parler araméen de la ville d'Édessem > ne fut abandonné par les lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant > plusieurs centaines d'années, les grands centres intellectuels de > l'Orient, Ninive, Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête > musulmane. > > [...] > > Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmane ibn > Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers > l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits > ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne, la > ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les > grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout > particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant > l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des > traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus. > > En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes > n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu > d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes, l�* où > ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus > variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que > l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan > intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche, > Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les > Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout > ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et > latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable, > dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses > communautés monastiques. > > [Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture > antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques, > sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille, > d'Alexandre, etc.] > > Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et > savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des > habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir et > connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux leurs > maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par volonté de > tromper. > > [suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et > les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de > l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil > d'avis juridiques de Justinien, etc.] > > " > > Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la > coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne musulmane. > > ----------- > http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...%e9moire/dp/28... > http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996 > > L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché) > de Jacques Heers > # Broché: 269 pages > # Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006) > # Langue: Français > # ISBN: 2851621750 > > Description du produit > Présentation de l'éditeur > Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de > propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école républicaine > n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête citoyen pouvait > écrire. > > La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent tout > au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les images, > les célébrations nationales, les émissions télévisées, les directives et > les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, en France, > soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et laisse de > moins en moins de liberté aux centres de recherche qui n'ont même plus > le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et > leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée. > > Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des > catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où l'individu > paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* l'évolution des > techniques, �* l'économie ou même au " sens de l'Histoire ". Elle édicte > des règles qui ne souffrent ni exceptions ni contradictions. Du Moyen > Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des > manipulations de l'Histoire. > > Biographie de l'auteur > Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des > lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de > Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du > Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié > dernièrement Les négriers en terre d'islam. > > > > > > > http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/l_es...t_almohade.asp > > (Voir aussi "Historiquement correct" de Sévillia, relu le passage hier > pas le temps de transcrire maintenant) > > http://www.amazon.fr/Historiquement-...UTF8&s=gateway > > http://www.amazon.fr/Historiquement-...655461?ie=UTF8 > > Intolérance et rigorisme > > Les Almoravides étaient parvenus �* rétablir �* leur profit l'unité > d'Al-Andalus qui connut sous leur domination de profondes > transformations. La très relative « tolérance » dont avaient bénéficié > les chrétiens mozarabes et les juifs �* l'époque ommeyade disparut > rapidement. Les juifs de Lucena durent ainsi verser une grosse somme > d'argent pour échapper �* la conversion et de nombreuses églises > chrétiennes furent détruites. L'expédition conduite en 1125 jusqu'�* > Grenade par Alphonse d'Aragon, combinée avec un soulèvement des > Mozarabes [chrétiens espagnols sous domination musulmane] locaux, > entraîne, lors de la retraite du Batailleur, le départ de dix mille > d'entre eux vers le nord ; les chrétiens demeurés sur place sont en > majorité déportés en Afrique du Nord pour y être installés près de > Meknès et de Salé où l'interdiction de pratiquer leur religion entraîne > la disparition rapide de ces communautés. Dans l'ensemble d'Al-Andalus, > le nombre des chrétiens est désormais très réduit, �* un moment où, dans > le contexte général des croisades et des « réveils » religieux berbères, > l'antagonisme entre islam et chrétienté atteint son intensité maximale. > > L'allègement de la fiscalité qui pesait sur les populations musulmanes �* > l'époque des taifas [roitelets musulmans] fut globalement favorable �* > l'activité économique durant la période de la domination almoravide et > le dirhem d'argent répandu dans tout l'Occident musulman apparaît comme > une monnaie solide. Si l'époque des taifas avait été marquée par un > effacement politique évident de l'Espagne musulmane victime de ses > divisions, celle-ci avait conservé une vie culturelle extrêmement > brillante. La conquête almoravide mit un terme �* un certain art de vivre > condamné par le rigorisme malékite et aux raffinements hérités de > l'époque califale, ce dont témoignent les vestiges d'habitations > remontant �* cette période, qui avait vu Ali ben Yusuf, le fils et > successeur de Yusuf ben Tachfin, ordonner la destruction des ouvrages > d'Al-Ghazali, porteur des derniers feux de la pensée islamique. |
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#4 |
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![]() "dreads" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
> [email protected] om... > Aïe ! maintenant qu'on a peut-être > les empreintes digitales de Léonard, les > policiers scientifiques de la Crim' vont lui coller sur le dos tous les > crimes crapuleux de l'époque ! La Joconde était une jeune fille au > pair (mineure) que léonard a enlevée avant de la violer et de la > séquestrer... S'il l'a peinte, c'est uniquement parce que la > photo-porno n'existait pas encore... Conclusion, c'est bien lui qui a > inventé la photo cochonne pédophile ! Encore un trait de génie �* > son actif ! Et toc ! Hmmm. Je ne sais pas s'il faut être génial pour faire des photos cochonnes. |
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#5 |
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![]() dreads a écrit : > Aïe ! maintenant qu'on a les empreintes digitales de Léonard, les > policiers scientifiques de la Crim' vont lui coller sur le dos tous les > crimes crapuleux de l'époque ! La Joconde était une jeune fille au > pair (mineure) que léonard a enlevée avant de la violer et de la > séquestrer... S'il l'a peinte, c'est uniquement parce que la > photo-porno n'existait pas encore... Conclusion, c'est bien lui qui a > inventé la photo cochonne pédophile ! Encore un trait de génie �* > son actif ! Et toc ! LOL !!!! > > > > > Réjean Laflamme wrote: > > Jean Naimard a écrit : > > > Il semblerait bien, suite �* l'analyse de ses empreintes digitales... > > > > > > Les races n'existent pas. > > > > > > > > http://dsc.discovery.com/news/2006/1...19-502-ak-0000 > > > > On n'est même pas sûr que c'est de lui ou un de ses apprentis... > > > > Enfin, selon cette hypothèse très contestable il serait levantin ducôté > > maternel (d'où exactement ?). Pas juive vous êtes sûr ? > > > > > > > > > > On se souviendra que juste avant la Renaissance, > > > > Personne ne sait définir ce que c'est (ça varie d'un pays �* l'autre et > > d'un auteur �* l'autre). Donnez-en une bonne définition, cf. Jacques > > Heers qui critique ce terme. > > > > > les arabes avaient la > > > science la plus avancée... > > > > C'est faux. On en a déj�* parlé ici. De toute façon c'est amusant, vous > > voulez dire qu'il est né de ce paysanne disons arabe avec la science > > infuse !? Vous ne seriez pas un peu raciste, vous ? > > > > > > (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle > > idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme, > > le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos > > racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posécomme > > postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de > > la culture grecque. > > > > Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études > > médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il écrit : > > > > (pp. 169-170) > > > > "On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" C'est > > inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une facilité > > de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise > > volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable identité des auteurs > > musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus > > écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, pour la plupart, des > > Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête, > > avaient adopté la langue et l'écriture des maîtres. Les Perses, eux, > > avaient gardé leur langue. > > > > En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les > > musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi des > > Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520,soit > > plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, celui de la logique > > notamment, n'a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dansles > > toutes premières universités et l'on se servait alors de traductions > > latines des textes grecs d'origine que les érudits, les philosophes et > > les hommes d'Église de Constantinople avaient pieusement gardés et > > largement diffusés. > > > > Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que l'on > > attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron (auteur > > juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous les > > enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela faisait plus > > d'un siècle que la logique, directement inspirée d'Aristote, était > > reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus universitaires. De > > plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut pas bien accepté. Les > > autorités ont interdit ces travaux d'auteurs musulmans qui > > revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne > > présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par une > > propagande religieuse que par le respect des textes originaux. Les > > "traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en > > contradiction avec l'enseignement de l'Islam. > > > > En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant, > > n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas mêmedes > > musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu > > d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les populations > > soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, gardaient pieusement > > les textes et les enseignement. Les lettrés ne s'étaient pas tous > > convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté volontiers la langue de > > l'occupant. Le grec demeura langue officielle en Égypte et la Syrie > > jusque vers l'an 700. Le syriaque, parler araméen de la ville d'Édessem > > ne fut abandonné par les lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant > > plusieurs centaines d'années, les grands centres intellectuels de > > l'Orient, Ninive, Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête > > musulmane. > > > > [...] > > > > Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmaneibn > > Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers > > l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits > > ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne,la > > ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les > > grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout > > particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant > > l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des > > traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus. > > > > En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes > > n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu > > d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes,l�* où > > ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus > > variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que > > l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan > > intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche, > > Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les > > Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout > > ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et > > latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable, > > dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses > > communautés monastiques. > > > > [Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture > > antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques, > > sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille, > > d'Alexandre, etc.] > > > > Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et > > savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des > > habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir et > > connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux leurs > > maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par volonté de > > tromper. > > > > [suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et > > les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de > > l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil > > d'avis juridiques de Justinien, etc.] > > > > " > > > > Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la > > coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne musulmane. > > > > ----------- > > http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...%e9moire/dp/28... > > http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996 > > > > L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché) > > de Jacques Heers > > # Broché: 269 pages > > # Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006) > > # Langue: Français > > # ISBN: 2851621750 > > > > Description du produit > > Présentation de l'éditeur > > Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de > > propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école républicaine > > n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête citoyen pouvait > > écrire. > > > > La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent tout > > au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les images, > > les célébrations nationales, les émissions télévisées, les directives et > > les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, en France, > > soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et laisse de > > moins en moins de liberté aux centres de recherche qui n'ont même plus > > le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et > > leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée. > > > > Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des > > catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où l'individu > > paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* l'évolution des > > techniques, �* l'économie ou même au " sens de l'Histoire ". Elle édicte > > des règles qui ne souffrent ni exceptions ni contradictions. Du Moyen > > Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des > > manipulations de l'Histoire. > > > > Biographie de l'auteur > > Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des > > lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de > > Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du > > Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié > > dernièrement Les négriers en terre d'islam. > > > > > > > > > > > > > > http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/l_es...t_almohade.asp > > > > (Voir aussi "Historiquement correct" de Sévillia, relu le passage hier > > pas le temps de transcrire maintenant) > > > > http://www.amazon.fr/Historiquement-...UTF8&s=gateway > > > > http://www.amazon.fr/Historiquement-...655461?ie=UTF8 > > > > Intolérance et rigorisme > > > > Les Almoravides étaient parvenus �* rétablir �* leur profit l'unité > > d'Al-Andalus qui connut sous leur domination de profondes > > transformations. La très relative « tolérance » dont avaient bénéficié > > les chrétiens mozarabes et les juifs �* l'époque ommeyade disparut > > rapidement. Les juifs de Lucena durent ainsi verser une grosse somme > > d'argent pour échapper �* la conversion et de nombreuses églises > > chrétiennes furent détruites. L'expédition conduite en 1125 jusqu'�* > > Grenade par Alphonse d'Aragon, combinée avec un soulèvement des > > Mozarabes [chrétiens espagnols sous domination musulmane] locaux, > > entraîne, lors de la retraite du Batailleur, le départ de dix mille > > d'entre eux vers le nord ; les chrétiens demeurés sur place sont en > > majorité déportés en Afrique du Nord pour y être installés près de > > Meknès et de Salé où l'interdiction de pratiquer leur religion entraîne > > la disparition rapide de ces communautés. Dans l'ensemble d'Al-Andalus, > > le nombre des chrétiens est désormais très réduit, �* un moment où, dans > > le contexte général des croisades et des « réveils » religieux berbères, > > l'antagonisme entre islam et chrétienté atteint son intensité maximale. > > > > L'allègement de la fiscalité qui pesait sur les populations musulmanes �* > > l'époque des taifas [roitelets musulmans] fut globalement favorable �* > > l'activité économique durant la période de la domination almoravide et > > le dirhem d'argent répandu dans tout l'Occident musulman apparaît comme > > une monnaie solide. Si l'époque des taifas avait été marquée par un > > effacement politique évident de l'Espagne musulmane victime de ses > > divisions, celle-ci avait conservé une vie culturelle extrêmement > > brillante. La conquête almoravide mit un terme �* un certain art de vivre > > condamné par le rigorisme malékite et aux raffinements hérités de > > l'époque califale, ce dont témoignent les vestiges d'habitations > > remontant �* cette période, qui avait vu Ali ben Yusuf, le fils et > > successeur de Yusuf ben Tachfin, ordonner la destruction des ouvrages > > d'Al-Ghazali, porteur des derniers feux de la pensée islamique. |
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#6 |
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![]() > Les races n'existent pas. NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie. |
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#7 |
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![]() Arthur a écrit:
> >> Les races n'existent pas. > > > > NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde > crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont > pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie. Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle d'autres espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race. « En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes sanguins et la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, sinon des caractères visibles globaux, relatifs et partiels. » Mais il y a différentes populations (ou «sous-races») qui se distinguent par leur phénotype, leur apparences. IL y a surtout différentes ethnies, civilisations, cultures et coutumes. Et des modes... Cela dit, ça n'enpêchera jamais les racistes d'être racistes. -- race [Yas] n. f. • v. 1500; it. razza « sorte, espèce », lat. ratio I¨ 1¨ Famille, considérée dans la suite des générations et la continuité de ses caractères (ne se dit que de grandes familles, familles régnantes, etc.). fi famille, sang. Être de race noble. fi ascendance, origine. – Loc. adj. Fin de race : décadent. Un homme très distingué, un peu fin de race. �* Vx Descendance, postérité. « Race d'Abel, dors, bois et mange » (Baudelaire). – Génération. « Que direz-vous, races futures » (Malherbe). 2¨ Vieilli Communauté plus vaste considérée comme une famille, une lignée. « Ces blocs énormes réveillent l'idée d'une race de géants disparus » (Gautier). – Littér. La race humaine : l'humanité. « Le peuple juif est un abrégé de la race humaine » (Chateaubriand). 3¨ Fig. Catégorie de personnes apparentées par des comportements communs. fi espèce. Il est de la race des héros. « J'aurais horreur de redevenir civil [º] D'ailleurs c'est une race qui s'éteint » (Sartre). Fam. Quelle sale race ! fi engeance. II¨ Subdivision de l'espèce zoologique, elle-même divisée en sous-races ou variétés, constituée par des individus réunissant des caractères communs héréditaires. Les diverses races canines. Croisement entre races. Animal de race pure, pure race (fi pedigree; herd-book, stud-book). �* Absolt Race pure. Ces « lignes heureuses et déliées qui indiquent la race » (Balzac). Avoir de la race : être racé. – Loc. adj. De race : de race pure (opposé �* bâtard, croisé). « Deux grands chiens courants de race, véritables fox-hound » (Balzac). III¨ (Groupes humains) 1¨ (1684) Subdivision de l'espèce humaine d'après des caractères physiques héréditaires. En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes sanguins et la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, sinon des caractères visibles globaux, relatifs et partiels. La race blanche, la race jaune. Croisement entre races. fi interracial; métissage. 2¨ Par ext. (XIXe) Dans la théorie du racisme, Groupe naturel d'humains qui ont des caractères semblables (physiques, psychiques, culturels, etc.) provenant d'un passé commun, souvent classé dans une hiérarchie. fi ethnie, peuple. La race prétendue supérieure. La race « aryenne ». La race « juive » des nazis. « Essai sur l'inégalité des races humaines », ouvrage de Gobineau (1855). « Ces questions de suprématie de races sont niaises et dégoûtantes » (R. Rolland). Extermination d'une race (en fait, d'un groupe humain abusivement qualifié de race). fi génocide, racisme. Ä HOM. poss. 2. Ras. raciste [Yasist] n. et adj. • 1892; de racisme 1¨ Personne qui soutient le racisme, dont la conduite est imprégnée de racisme. Les racistes d'Afrique su Sud pratiquaient la ségrégation. 2¨ Adj. Qui croit �* la hiérarchie des races (III, 2o), est hostile �* des groupes ethniques considérés comme inférieurs et dangereux. Un politicien, un parti raciste. Par euphém. Je ne suis pas raciste, mais... « Je ne suis pas raciste, non, je ne le suis pas, mais, franchement – qu'est-ce qu'ils viennent foutre chez nous tous ces bougnoules ? Hein ? » (J. Vautrin). – Manifestation raciste, violences racistes. fi pogrom, ratonnade. Une propagande nationaliste et raciste. Injure raciste. Ä CONTR. Antiraciste. racisme [Yasism] n. m. • 1902; de race 1¨ Théorie de la hiérarchie des races, qui conclut �* la nécessité de préserver la race dite supérieure de tout croisement, et �* son droit de dominer les autres. Le racisme n'a aucune base scientifique. « Mein Kampf est [º] l'évangile du national-socialisme, ou, plus exactement, du racisme » (Bainville). �* Ensemble de réactions qui, consciemment ou non, s'accordent avec cette théorie. « Le racisme, c'est un regard qui vous classe sans appel. Qu'importe où il vous range, il a ouvert la différence et rien ne l'efface plus » (B. Noël). Faire preuve de racisme. Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (L. I. C. R. A.). 2¨ Abusivt Hostilité systématique contre un groupe social. Racisme envers les femmes. fi sexisme. Racisme anti-jeunes. Le « type �* l'entrée [du cinéma] qui faisait du racisme anti petits garçons » (R. Forlani). ethnie [Dtni] n. f. • 1896; gr. ethnos « peuple, nation » ¨ Ensemble d'individus que rapprochent un certain nombre de caractères de civilisation, notamment la communauté de langue et de culture (alors que la race dépend de caractères anatomiques). L'ethnie française englobe notamment la Belgique wallonne, la Suisse romande, le Canada français. (?) -- Thibaud |
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#8 |
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![]() Thibaud a écrit :
> Arthur a écrit: > >> >>> Les races n'existent pas. >> >> >> >> >> NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde >> crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont >> pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie. > > > Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle > d'autres espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race. Euh... Expliquez ceci. > > « En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes sanguins > et la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, sinon des > caractères visibles globaux, relatifs et partiels. » Et en quoi les races animales ne se distinguent pas par des caractères visibles globaux [globaux ?], relatifs [bien sûr] et partiels [évidemment puisqu'un homme et une mouche partagent une majorité de leur code génétique et deux races de chiens partagent nombre de traits visibles]... > > Mais il y a différentes populations (ou «sous-races») qui se distinguent > par leur phénotype, leur apparences. C'est jouer avec les mots �* moins d'expliquer ce qui précède... Pourquoi ce phénotype ? Par opposition �* génotype ? Ce qui fait peur car plus ancré dans les générations ? Mais on ne connaît pas de populations (sous-races) qui se distingueraient par leur phénotype et pas par le génotype �* moins de penser que le phénotype est l'expression de traits qui ne sont pas dans le génotype ce qui serait une révolution dans le domaine de l'hérédité. Mais bon on a tellement peur du mot race que ce ne serait pas la première fois qu'on dirait n'importe quoi. >IL y a surtout différentes ethnies, Bien sûr. > civilisations, cultures et coutumes. Et des modes... Comme celle, récente, de nier l'existence des races par peur du racisme? La peur comme frein de la science ? |
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#9 |
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![]() Réjean Laflamme a écrit:
> Thibaud a écrit : > >> Arthur a écrit: >> >>>> Les races n'existent pas. >>> >>> NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde >>> crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont >>> pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie. >> >> Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle >> d'autres espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race. > > Euh... Expliquez ceci. > Voir ci-dessous. >> >> « En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes >> sanguins et la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, >> sinon des caractères visibles globaux, relatifs et partiels. » > > Et en quoi les races animales ne se distinguent pas par des caractères > visibles globaux [globaux ?], relatifs [bien sûr] et partiels > [évidemment puisqu'un homme et une mouche partagent une majorité de leur > code génétique et deux races de chiens partagent nombre de traits > visibles]... > L'écart est plus grand, tout simplement. >> >> Mais il y a différentes populations (ou «sous-races») qui se >> distinguent par leur phénotype, leur apparences. > > > C'est jouer avec les mots �* moins d'expliquer ce qui précède... > > Pourquoi ce phénotype ? Par opposition �* génotype ? Ce qui fait peur car > plus ancré dans les générations ? Mais on ne connaît pas de populations > (sous-races) qui se distingueraient par leur phénotype et pas par le > génotype �* moins de penser que le phénotype est l'expression de traits > qui ne sont pas dans le génotype ce qui serait une révolution dans le > domaine de l'hérédité. Mais bon on a tellement peur du mot race que ce > ne serait pas la première fois qu'on dirait n'importe quoi. > > >> IL y a surtout différentes ethnies, > > > Bien sûr. > >> civilisations, cultures et coutumes. Et des modes... > > > Comme celle, récente, de nier l'existence des races par peur du racisme? Ou pour nier le racisme quand on est raciste. Je préfère utiliser les mots �* bon escient et dans un sens précis, rien de plus. > > La peur comme frein de la science ? > C'est en effet le sens premier de «religio»: crainte révérencieuse. -- Thibaud |
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#10 |
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![]() Réjean Laflamme wrote:
> Thibaud a écrit : >> Mais il y a différentes populations (ou «sous-races») qui se >> distinguent par leur phénotype, leur apparences. > C'est jouer avec les mots �* moins d'expliquer ce qui précède... > Pourquoi ce phénotype ? Par opposition �* génotype ? § La définition de race selon les généticiens Le berceau de l'humanité semble avoir été l'Afrique. A partir de ce point central, de petits groupements humains ont migré vers tous les continents. Ces groupes humains ont tous des gènes en commun qu'ils échangent, et de ce fait, pour les généticiens, ils appartiennent �* la même espèce. Selon la définition d'Albert Jacquard, la notion de race des généticiens ne peut être appliquée �* l'espèce humaine. André Langaney va même plus loin en indiquant que "la notion de race est dépourvue de fondements et de réalité scientifique". D'autant que les différences génétiques constatées entre individu peuvent être plus grandes au sein d'une même population qu'entre deux individus appartenant �* deux populations considérés comme de "races" différentes. En effet, la notion de race se base sur la notion de "gènes communs et exclusif �* un groupe d'individus". Si les gènes ont des répercussions sur l'aspect visible de l'être, le fait que deux êtres soient différents ne signifie pas que leurs gènes soient si différents. Ainsi, la couleur de la peau est déterminée par le gène permettant la production de mélanine, or, tous les humains produisent de la mélanine (sauf ceux atteints d'albinisme), donc tous les humains ont ce gène, même s'il s'exprime plus ou moins. Selon Albert Jacquard (1), pour parler de race, il faudrait qu'un groupe reste isolé un nombre de générations égal au nombre d'individus qu'il comporte ; ainsi, un groupe de 200 personnes devrait rester isolé 4 000 ans (si l'on compte 20 ans par génération) pour devenir une race. Si les hommes ont isolé des troupeaux et ainsi créé des races chez les animaux domestiques, une telle situation n'a jamais eu lieu pour l'espèce humaine ; on peut toutefois citer l'exemple d'une île du pacifique, Pingelap (2), dont la population fût ravagée par un cyclone en 1775 et qui se repeupla �* partir d'une vingtaine d'individus, et qui pourrait constituer une exception. Une des meilleures preuves de l'absence de la notion de race au sens génétique chez les humains est le fait que la compatibilité des tissus, pour les dons d'organe (coeur, rein...) ou de sang, ne dépend pas du groupe ethnique du donneur et du receveur ; ou alors �* l'extrême, le donneur doit être un membre proche de la famille du receveur (comme pour les dons de moëlle), le nombre de donneurs compatibles se compte sur les doigts d'une main parmi les milliards d'individus, ce qui ne correspond pas non plus �* la notion de "race" communément admise. Ainsi pour la plupart des généticiens européens, aucune sous-espèce ou race n'est scientifiquement acceptable. Les derniers êtres humains (du genre Homo) possédant des caractères génétiques impliquant une impossibilité de reproduction (ce qui définit néanmoins la notion d'espèce et non de race) et ayant coexisté sont les "homo sapiens sapiens" et les "homo sapiens neandertalensis", il y a plus de 30 000 ans. § http://www.planete-virtuelle.org/encyclopedia/R/Race/ |
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#11 |
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![]() Si il a violer une petite fille de moins de dix ans, et egorger un bon millier de juifs, alors il a les attributs du prophete, gloire a son nom ! Que Satan le suce pour l'eternité, |
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#12 |
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![]() Thibaud wrote: > Arthur a écrit: > > > >> Les races n'existent pas. > > > > > > > > NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde > > crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont > > pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie. > > Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle d'autres > espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race. > > « En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes sanguins et > la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, sinon des > caractères visibles globaux, relatifs et partiels. » On ne parle pas de races humaines uniquement pour être politiquement correct. Il y a autant de différence entre un zèbre et un cheval qu'entre un blanc caucasien et un noir bantou. On dit bien que le cheval (Equus caballus) et le zèbre (Equus quagga par ex.) sont deux races équines différentes (Famille Equidae, genre Equus) mais lorsque l'on se confronte �* l'humain on se gêne. |
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#13 |
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![]() Thibaud a écrit :
> Arthur a écrit: >> >>> Les races n'existent pas. >> >> >> >> NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde >> crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont >> pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie. > > Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle > d'autres espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race. > > « En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes sanguins > et la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, sinon des > caractères visibles globaux, relatifs et partiels. » > > Mais il y a différentes populations (ou «sous-races») qui se distinguent > par leur phénotype, leur apparences. IL y a surtout différentes ethnies, > civilisations, cultures et coutumes. Et des modes... > > Cela dit, ça n'enpêchera jamais les racistes d'être racistes. > Tu as raisons, lis le coran tu verras que Haine Racisme et antisemitisme pour un musulman, les non musulmans et non arabes sont des kouffars, c'est a dire des animaux. Si le racisme des arabes musulman te conviend, Aors tu es tout autant raciste qyu'eux. |
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#14 |
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![]() Zulu a écrit :
> Thibaud wrote: >> Arthur a écrit: >>>> Les races n'existent pas. >>> >>> >>> NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde >>> crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont >>> pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie. >> Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle d'autres >> espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race. >> >> « En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes sanguins et >> la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, sinon des >> caractères visibles globaux, relatifs et partiels. » > > On ne parle pas de races humaines uniquement pour être politiquement > correct. > Il y a autant de différence entre un zèbre et un cheval qu'entre un > blanc caucasien et un noir bantou. > On dit bien que le cheval (Equus caballus) et le zèbre (Equus quagga > par ex.) sont deux races équines différentes (Famille Equidae, genre > Equus) mais lorsque l'on se confronte �* l'humain on se gêne. > Tout a fait or a qui profite cette semantique steilisante si ce n'est aux populations qui nous envahissent, et qui se repliquent comme des celules cancereuses. Ceux qui leve le cricufix de la pensée unique anti raciste, sont les même qui protegent d'un regard amoureux la HAINE et l'appel au meurtre RACISTE des musulmans, OUI , le Coran est un traité ultra raciste , La curaille anti raciste immigrationniste est complice des SS Nazislamique et des appels au meurtre des juifs et du status de kouffar, pour les non musulman, un kouffar est un bipede animal , dont le musulman en fait ce qu'il veut, ou le tuer si il a envie. Voila ou nous menent l'idéologie antiraciste, un suicide collectif ! un genocide anti francais ! |
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#15 |
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![]() Le Ch'Ti Guevara a écrit :
> En suivant cette logique. > > Les races de chiens et les races de chevaux non plus n'existent pas. > > > En plus, c'est vraiment un détail totalement sans importance ! > Ce ne sont pas les races qui créent les problèmes de société; ce sont les > cultures, en ce y compris les religions. Mouais, cela reste vraiment �* prouver. Que la race ne soit pas toujours source de problèmes fort possible, comme la religion n'est pas toujours source de problèmes, mais jamais, cela ne semble pas être avéré : Afrique du Sud avec un partage racial et non linguistique ni religieux (les métis afrikanophones étaient exclus : même langue, même religion pourtant), idem en Allemagne nazie (beaucoup de juifs étaient totalement assimilés, athées, même parfois chrétiens, germanophones ayant combattu pour l'Allemagne pendant la 1ère GM, amoureux de la culture allemande, etc.). |
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#16 |
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![]() En suivant cette logique.
Les races de chiens et les races de chevaux non plus n'existent pas. En plus, c'est vraiment un détail totalement sans importance ! Ce ne sont pas les races qui créent les problèmes de société; ce sont les cultures, en ce y compris les religions. -- = Le Ch'Ti Guévara = |
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#17 |
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![]() Le Ch'Ti Guevara a écrit :
> En suivant cette logique. > > Les races de chiens et les races de chevaux non plus n'existent pas. > > > En plus, c'est vraiment un détail totalement sans importance ! > Ce ne sont pas les races qui créent les problèmes de société; ce sont les > cultures, en ce y compris les religions. > -- > = Le Ch'Ti Guévara = Une RACE est un sous ensemble dune espèce, un labrador ou un caniche ont rien avoir , si ce n'est d'être des canidés. Comme un poney, et un percheron, ce sont des equidés, mais que vous apprend on a l'école de nos jours ? |
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#18 |
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![]() Arthur wrote:
> Zulu a écrit : >> On ne parle pas de races humaines uniquement pour être politiquement >> correct. >> Il y a autant de différence entre un zèbre et un cheval qu'entre un >> blanc caucasien et un noir bantou. > Tout a fait Ben non, pas tout �* fait. Le blanc caucasien et le bantou se reproduisent sans problème. |
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#19 |
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![]() Réjean Laflamme...
>> En plus, c'est vraiment un détail totalement sans importance ! >> Ce ne sont pas les races qui créent les problèmes de société; >> ce sont les cultures, en ce y compris les religions. > > Mouais, cela reste vraiment �* prouver. Que la race ne soit pas > toujours source de problèmes fort possible, comme la religion > n'est pas toujours source de problèmes, mais jamais, cela ne > semble pas être avéré : Afrique du Sud avec un partage racial > et non linguistique ni religieux (les métis afrikanophones > étaient exclus : même langue, même religion pourtant), idem en > Allemagne nazie (beaucoup de juifs étaient totalement > assimilés, athées, même parfois chrétiens, germanophones ayant > combattu pour l'Allemagne pendant la 1ère GM, amoureux de la > culture allemande, etc.). Cette question est toujours d'un abord très délicat �* cause des fortes contraintes idéologiques qui pèsent sur elle. La race au sens étroit, couleur de peau et morphologie, ou au sens large, ethnie, détermine toujours, comme les autres paramètres des groupes sociaux, culture ou religion, un sentiment d'identification et d'appartenance sociale et par conséquent un réaction de différenciation vis-�*-vis des autres groupes raciaux et ne peut s'extraire des luttes de pouvoir entre ces groupes. Les idéologies racialistes rendent délicat l'étude et la détermination de ce facteur qui se croise avec de nombreux autres, culture, langue, religions, position économique et politique, en eux-mêmes susceptibles de créer des antagonismes entre les groupes sociaux. Je serais, comme vous, très étonné, que la race soit le seul facteur d'appartenance n'ayant aucune incidence sur les problèmes de relations sociales des groupes et sur leur volonté de domination. Dans les exemples que vous citez, on trouve toujours les autres facteurs liés. En Afrique du Sud, il reste des problèmes de domination économique après la suppression de la suprématie politique blanche et donc des conflits de reconquête noire. En Allemagne, il y avait l'idéologie donnant une prédominance �* la race, mais aussi un problème religieux, plus des questions économiques, médiatiques et financières. Mais cela n'implique pas, effectivement que le facteur racial n'ait pas d'impact. Il n'est pas forcément déterminant au départ mais agit au moins comme élément renforçant les conflits naissants ou latents. |
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#20 |
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![]() Réjean Laflamme wrote:
> Que la race ne soit pas toujours > source de problèmes fort possible Ou alors de problèmes mineurs. Alsaciens et Lorrains ont du mal �* s'entendre. En revanche, Alsaciens et Japonais ont des tournures d'esprit tout �* fait semblables. Problèmes aussi entre Toulousains et Bordelais pour des raisons historiques, mais aucun entre Toulousains et Lillois, ni entre Bordelais et Bretons, qui n'ont pas entre eux de réel contentieux qui soit passé dans l'histoire. Le sens de nation transcende de loin celui de race. C'est bien pour cela que les Alsaciens ne voulaient tout simplement pas être allemands : parce que l'on ne repasse pas volontiers d'une histoire ayant connu la création d'une République �* une autre qui n'a jamais quitté la monarchie > idem en Allemagne nazie (beaucoup de juifs étaient totalement > assimilés, athées, même parfois chrétiens, germanophones ayant combattu > pour l'Allemagne pendant la 1ère GM, amoureux de la culture allemande, > etc.). Il est �* noter qu'Hitler avait pris soin de mettre soigneusement ceux-l�* �* l'abri. De même que l'Allemand qui avait essayé de le tuer �* Munich : puisque c'était un Allemand, il ne pouvait s'agir selon lui que d'un malentendu qu'on éclaircirait quand on aurait un moment. |