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Oud 31 oktober 2006, 19:15   #1
=?windows-1252?Q?R=E9jean_Laflamme?=
 
Berichten: n/a
Standaard Re: =?windows-1252?Q?L=E9onard-de-Vinci_=E9tait-il_arabe=3F?=

Jean Naimard a écrit :
> Il semblerait bien, suite �* l’analyse de ses empreintes digitales…



Les races n'existent pas.

>
> http://dsc.discovery.com/news/2006/1...19-502-ak-0000


On n'est même pas sûr que c'est de lui ou un de ses apprentis...

Enfin, selon cette hypothèse très contestable il serait levantin du côté
maternel (d'où exactement ?). Pas juive vous êtes sûr ?


>
> On se souviendra que juste avant la Renaissance,


Personne ne sait définir ce que c'est (ça varie d'un pays �* l'autre et
d'un auteur �* l'autre). Donnez-en une bonne définition, cf. Jacques
Heers qui critique ce terme.

> les arabes avaient la
> science la plus avancée…


C'est faux. On en a déj�* parlé ici. De toute façon c'est amusant, vous
voulez dire qu'il est né de ce paysanne disons arabe avec la science
infuse !? Vous ne seriez pas un peu raciste, vous ?


(Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle
idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme,
le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos
racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé comme
postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de
la culture grecque.

Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études
médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il écrit :

(pp. 169-170)

"On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" C'est
inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une facilité
de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise
volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable identité des auteurs
musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus
écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, pour la plupart, des
Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête,
avaient adopté la langue et l'écriture des maîtres. Les Perses, eux,
avaient gardé leur langue.

En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les
musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi des
Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520, soit
plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, celui de la logique
notamment, n'a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dans les
toutes premières universités et l'on se servait alors de traductions
latines des textes grecs d'origine que les érudits, les philosophes et
les hommes d'Église de Constantinople avaient pieusement gardés et
largement diffusés.

Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que l'on
attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron (auteur
juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous les
enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela faisait plus
d'un siècle que la logique, directement inspirée d'Aristote, était
reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus universitaires. De
plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut pas bien accepté. Les
autorités ont interdit ces travaux d'auteurs musulmans qui
revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne
présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par une
propagande religieuse que par le respect des textes originaux. Les
"traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en
contradiction avec l'enseignement de l'Islam.

En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant,
n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même des
musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu
d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les populations
soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, gardaient pieusement
les textes et les enseignement. Les lettrés ne s'étaient pas tous
convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté volontiers la langue de
l'occupant. Le grec demeura langue officielle en Égypte et la Syrie
jusque vers l'an 700. Le syriaque, parler araméen de la ville d'Édessem
ne fut abandonné par les lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant
plusieurs centaines d'années, les grands centres intellectuels de
l'Orient, Ninive, Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête
musulmane.

[...]

Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmane ibn
Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers
l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits
ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne, la
ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les
grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout
particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant
l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des
traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus.

En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes
n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu
d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes, l�* où
ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus
variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que
l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan
intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche,
Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les
Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout
ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et
latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable,
dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses
communautés monastiques.

[Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture
antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques,
sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille,
d'Alexandre, etc.]

Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et
savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des
habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir et
connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux leurs
maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par volonté de
tromper.

[suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et
les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de
l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil
d'avis juridiques de Justinien, etc.]

"

Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la
coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne musulmane.

-----------
http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...%e9moire/dp/28...
http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996

L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché)
de Jacques Heers
# Broché: 269 pages
# Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006)
# Langue: Français
# ISBN: 2851621750

Description du produit
Présentation de l'éditeur
Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de
propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école républicaine
n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête citoyen pouvait
écrire.

La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent tout
au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les images,
les célébrations nationales, les émissions télévisées, les directives et
les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, en France,
soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et laisse de
moins en moins de liberté aux centres de recherche qui n'ont même plus
le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et
leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée.

Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des
catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où l'individu
paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* l'évolution des
techniques, �* l'économie ou même au " sens de l'Histoire ". Elle édicte
des règles qui ne souffrent ni exceptions ni contradictions. Du Moyen
Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des
manipulations de l'Histoire.

Biographie de l'auteur
Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des
lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de
Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du
Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié
dernièrement Les négriers en terre d'islam.






http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/l_es...t_almohade.asp

(Voir aussi "Historiquement correct" de Sévillia, relu le passage hier
pas le temps de transcrire maintenant)

http://www.amazon.fr/Historiquement-...UTF8&s=gateway

http://www.amazon.fr/Historiquement-...655461?ie=UTF8

Intolérance et rigorisme

Les Almoravides étaient parvenus �* rétablir �* leur profit l'unité
d'Al-Andalus qui connut sous leur domination de profondes
transformations. La très relative « tolérance » dont avaient bénéficié
les chrétiens mozarabes et les juifs �* l'époque ommeyade disparut
rapidement. Les juifs de Lucena durent ainsi verser une grosse somme
d'argent pour échapper �* la conversion et de nombreuses églises
chrétiennes furent détruites. L'expédition conduite en 1125 jusqu'�*
Grenade par Alphonse d'Aragon, combinée avec un soulèvement des
Mozarabes [chrétiens espagnols sous domination musulmane] locaux,
entraîne, lors de la retraite du Batailleur, le départ de dix mille
d'entre eux vers le nord ; les chrétiens demeurés sur place sont en
majorité déportés en Afrique du Nord pour y être installés près de
Meknès et de Salé où l'interdiction de pratiquer leur religion entraîne
la disparition rapide de ces communautés. Dans l'ensemble d'Al-Andalus,
le nombre des chrétiens est désormais très réduit, �* un moment où, dans
le contexte général des croisades et des « réveils » religieux berbères,
l'antagonisme entre islam et chrétienté atteint son intensité maximale.

L'allègement de la fiscalité qui pesait sur les populations musulmanes �*
l'époque des taifas [roitelets musulmans] fut globalement favorable �*
l'activité économique durant la période de la domination almoravide et
le dirhem d'argent répandu dans tout l'Occident musulman apparaît comme
une monnaie solide. Si l'époque des taifas avait été marquée par un
effacement politique évident de l'Espagne musulmane victime de ses
divisions, celle-ci avait conservé une vie culturelle extrêmement
brillante. La conquête almoravide mit un terme �* un certain art de vivre
condamné par le rigorisme malékite et aux raffinements hérités de
l'époque califale, ce dont témoignent les vestiges d'habitations
remontant �* cette période, qui avait vu Ali ben Yusuf, le fils et
successeur de Yusuf ben Tachfin, ordonner la destruction des ouvrages
d'Al-Ghazali, porteur des derniers feux de la pensée islamique.
 
Oud 1 november 2006, 01:55   #2
dreads
 
Berichten: n/a
Standaard =?iso-8859-1?q?Re:_L=E9onard-de-Vinci_=E9tait-il_arabe=3F?=

Aïe ! maintenant qu'on a les empreintes digitales de Léonard, les
policiers scientifiques de la Crim' vont lui coller sur le dos tous les
crimes crapuleux de l'époque ! La Joconde était une jeune fille au
pair (mineure) que léonard a enlevée avant de la violer et de la
séquestrer... S'il l'a peinte, c'est uniquement parce que la
photo-porno n'existait pas encore... Conclusion, c'est bien lui qui a
inventé la photo cochonne pédophile ! Encore un trait de génie �*
son actif ! Et toc !




Réjean Laflamme wrote:
> Jean Naimard a écrit :
> > Il semblerait bien, suite �* l'analyse de ses empreintes digitales...

>
>
> Les races n'existent pas.
>
> >
> > http://dsc.discovery.com/news/2006/1...19-502-ak-0000

>
> On n'est même pas sûr que c'est de lui ou un de ses apprentis...
>
> Enfin, selon cette hypothèse très contestable il serait levantin du côté
> maternel (d'où exactement ?). Pas juive vous êtes sûr ?
>
>
> >
> > On se souviendra que juste avant la Renaissance,

>
> Personne ne sait définir ce que c'est (ça varie d'un pays �* l'autreet
> d'un auteur �* l'autre). Donnez-en une bonne définition, cf. Jacques
> Heers qui critique ce terme.
>
> > les arabes avaient la
> > science la plus avancée...

>
> C'est faux. On en a déj�* parlé ici. De toute façon c'est amusant,vous
> voulez dire qu'il est né de ce paysanne disons arabe avec la science
> infuse !? Vous ne seriez pas un peu raciste, vous ?
>
>
> (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle
> idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme,
> le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos
> racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé comme
> postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de
> la culture grecque.
>
> Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études
> médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il écrit :
>
> (pp. 169-170)
>
> "On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" C'est
> inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une facilité
> de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise
> volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable identité desauteurs
> musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus
> écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, pour la plupart, des
> Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête,
> avaient adopté la langue et l'écriture des maîtres. Les Perses, eux,
> avaient gardé leur langue.
>
> En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les
> musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi des
> Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520, soit
> plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, celui de la logique
> notamment, n'a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dans les
> toutes premières universités et l'on se servait alors de traductions
> latines des textes grecs d'origine que les érudits, les philosophes et
> les hommes d'Église de Constantinople avaient pieusement gardés et
> largement diffusés.
>
> Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que l'on
> attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron(auteur
> juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous les
> enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela faisaitplus
> d'un siècle que la logique, directement inspirée d'Aristote, était
> reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus universitaires. De
> plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut pas bien accepté. Les
> autorités ont interdit ces travaux d'auteurs musulmans qui
> revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne
> présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par une
> propagande religieuse que par le respect des textes originaux. Les
> "traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en
> contradiction avec l'enseignement de l'Islam.
>
> En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant,
> n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même des
> musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu
> d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les populations
> soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, gardaient pieusement
> les textes et les enseignement. Les lettrés ne s'étaient pas tous
> convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté volontiers la langue de
> l'occupant. Le grec demeura langue officielle en Égypte et la Syrie
> jusque vers l'an 700. Le syriaque, parler araméen de la ville d'Édessem
> ne fut abandonné par les lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant
> plusieurs centaines d'années, les grands centres intellectuels de
> l'Orient, Ninive, Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête
> musulmane.
>
> [...]
>
> Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmane ibn
> Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers
> l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits
> ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne, la
> ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les
> grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout
> particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant
> l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des
> traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus.
>
> En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes
> n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu
> d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes, l�* où
> ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus
> variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que
> l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan
> intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche,
> Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les
> Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout
> ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et
> latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable,
> dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses
> communautés monastiques.
>
> [Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture
> antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques,
> sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille,
> d'Alexandre, etc.]
>
> Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et
> savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des
> habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir et
> connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux leurs
> maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par volonté de
> tromper.
>
> [suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et
> les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de
> l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil
> d'avis juridiques de Justinien, etc.]
>
> "
>
> Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la
> coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne musulmane.
>
> -----------
> http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...%e9moire/dp/28...
> http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996
>
> L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché)
> de Jacques Heers
> # Broché: 269 pages
> # Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006)
> # Langue: Français
> # ISBN: 2851621750
>
> Description du produit
> Présentation de l'éditeur
> Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de
> propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école républicaine
> n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête citoyen pouvait
> écrire.
>
> La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent tout
> au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les images,
> les célébrations nationales, les émissions télévisées, les directives et
> les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, en France,
> soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et laisse de
> moins en moins de liberté aux centres de recherche qui n'ont même plus
> le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et
> leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée.
>
> Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des
> catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où l'individu
> paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* l'évolution des
> techniques, �* l'économie ou même au " sens de l'Histoire ". Elle édicte
> des règles qui ne souffrent ni exceptions ni contradictions. Du Moyen
> Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des
> manipulations de l'Histoire.
>
> Biographie de l'auteur
> Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des
> lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de
> Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du
> Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié
> dernièrement Les négriers en terre d'islam.
>
>
>
>
>
>
> http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/l_es...t_almohade.asp
>
> (Voir aussi "Historiquement correct" de Sévillia, relu le passage hier
> pas le temps de transcrire maintenant)
>
> http://www.amazon.fr/Historiquement-...UTF8&s=gateway
>
> http://www.amazon.fr/Historiquement-...655461?ie=UTF8
>
> Intolérance et rigorisme
>
> Les Almoravides étaient parvenus �* rétablir �* leur profit l'unité
> d'Al-Andalus qui connut sous leur domination de profondes
> transformations. La très relative « tolérance » dont avaient bénéficié
> les chrétiens mozarabes et les juifs �* l'époque ommeyade disparut
> rapidement. Les juifs de Lucena durent ainsi verser une grosse somme
> d'argent pour échapper �* la conversion et de nombreuses églises
> chrétiennes furent détruites. L'expédition conduite en 1125 jusqu'�*
> Grenade par Alphonse d'Aragon, combinée avec un soulèvement des
> Mozarabes [chrétiens espagnols sous domination musulmane] locaux,
> entraîne, lors de la retraite du Batailleur, le départ de dix mille
> d'entre eux vers le nord ; les chrétiens demeurés sur place sont en
> majorité déportés en Afrique du Nord pour y être installés près de
> Meknès et de Salé où l'interdiction de pratiquer leur religion entraîne
> la disparition rapide de ces communautés. Dans l'ensemble d'Al-Andalus,
> le nombre des chrétiens est désormais très réduit, �* un moment où, dans
> le contexte général des croisades et des « réveils » religieux berbères,
> l'antagonisme entre islam et chrétienté atteint son intensité maximale.
>
> L'allègement de la fiscalité qui pesait sur les populations musulmanes �*
> l'époque des taifas [roitelets musulmans] fut globalement favorable �*
> l'activité économique durant la période de la domination almoravideet
> le dirhem d'argent répandu dans tout l'Occident musulman apparaît comme
> une monnaie solide. Si l'époque des taifas avait été marquée par un
> effacement politique évident de l'Espagne musulmane victime de ses
> divisions, celle-ci avait conservé une vie culturelle extrêmement
> brillante. La conquête almoravide mit un terme �* un certain art de vivre
> condamné par le rigorisme malékite et aux raffinements hérités de
> l'époque califale, ce dont témoignent les vestiges d'habitations
> remontant �* cette période, qui avait vu Ali ben Yusuf, le fils et
> successeur de Yusuf ben Tachfin, ordonner la destruction des ouvrages
> d'Al-Ghazali, porteur des derniers feux de la pensée islamique.


 
Oud 1 november 2006, 18:25   #3
Oreste Hétoudabord
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Léonard-de-Vinci était-il arabe?

Ça dépendra des "traces de fibres" qu'on retrouvera sur la toile en
question, je suppose...

"dreads" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected] om...
Aïe ! maintenant qu'on a les empreintes digitales de Léonard, les
policiers scientifiques de la Crim' vont lui coller sur le dos tous les
crimes crapuleux de l'époque ! La Joconde était une jeune fille au
pair (mineure) que léonard a enlevée avant de la violer et de la
séquestrer... S'il l'a peinte, c'est uniquement parce que la
photo-porno n'existait pas encore... Conclusion, c'est bien lui qui a
inventé la photo cochonne pédophile ! Encore un trait de génie �*
son actif ! Et toc !




Réjean Laflamme wrote:
> Jean Naimard a écrit :
> > Il semblerait bien, suite �* l'analyse de ses empreintes digitales...

>
>
> Les races n'existent pas.
>
> >
> > http://dsc.discovery.com/news/2006/1...19-502-ak-0000

>
> On n'est même pas sûr que c'est de lui ou un de ses apprentis...
>
> Enfin, selon cette hypothèse très contestable il serait levantin du côté
> maternel (d'où exactement ?). Pas juive vous êtes sûr ?
>
>
> >
> > On se souviendra que juste avant la Renaissance,

>
> Personne ne sait définir ce que c'est (ça varie d'un pays �* l'autre et
> d'un auteur �* l'autre). Donnez-en une bonne définition, cf. Jacques
> Heers qui critique ce terme.
>
> > les arabes avaient la
> > science la plus avancée...

>
> C'est faux. On en a déj�* parlé ici. De toute façon c'est amusant, vous
> voulez dire qu'il est né de ce paysanne disons arabe avec la science
> infuse !? Vous ne seriez pas un peu raciste, vous ?
>
>
> (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle
> idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme,
> le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos
> racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé comme
> postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de
> la culture grecque.
>
> Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études
> médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il écrit :
>
> (pp. 169-170)
>
> "On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" C'est
> inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une facilité
> de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise
> volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable identité des auteurs
> musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus
> écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, pour la plupart, des
> Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête,
> avaient adopté la langue et l'écriture des maîtres. Les Perses, eux,
> avaient gardé leur langue.
>
> En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les
> musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi des
> Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520, soit
> plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, celui de la logique
> notamment, n'a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dans les
> toutes premières universités et l'on se servait alors de traductions
> latines des textes grecs d'origine que les érudits, les philosophes et
> les hommes d'Église de Constantinople avaient pieusement gardés et
> largement diffusés.
>
> Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que l'on
> attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron (auteur
> juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous les
> enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela faisait plus
> d'un siècle que la logique, directement inspirée d'Aristote, était
> reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus universitaires. De
> plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut pas bien accepté. Les
> autorités ont interdit ces travaux d'auteurs musulmans qui
> revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne
> présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par une
> propagande religieuse que par le respect des textes originaux. Les
> "traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en
> contradiction avec l'enseignement de l'Islam.
>
> En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant,
> n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même des
> musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu
> d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les populations
> soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, gardaient pieusement
> les textes et les enseignement. Les lettrés ne s'étaient pas tous
> convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté volontiers la langue de
> l'occupant. Le grec demeura langue officielle en Égypte et la Syrie
> jusque vers l'an 700. Le syriaque, parler araméen de la ville d'Édessem
> ne fut abandonné par les lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant
> plusieurs centaines d'années, les grands centres intellectuels de
> l'Orient, Ninive, Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête
> musulmane.
>
> [...]
>
> Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmane ibn
> Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers
> l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits
> ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne, la
> ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les
> grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout
> particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant
> l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des
> traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus.
>
> En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes
> n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu
> d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes, l�* où
> ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus
> variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que
> l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan
> intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche,
> Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les
> Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout
> ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et
> latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable,
> dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses
> communautés monastiques.
>
> [Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture
> antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques,
> sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille,
> d'Alexandre, etc.]
>
> Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et
> savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des
> habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir et
> connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux leurs
> maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par volonté de
> tromper.
>
> [suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et
> les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de
> l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil
> d'avis juridiques de Justinien, etc.]
>
> "
>
> Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la
> coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne musulmane.
>
> -----------
> http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...%e9moire/dp/28...
> http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996
>
> L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché)
> de Jacques Heers
> # Broché: 269 pages
> # Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006)
> # Langue: Français
> # ISBN: 2851621750
>
> Description du produit
> Présentation de l'éditeur
> Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de
> propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école républicaine
> n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête citoyen pouvait
> écrire.
>
> La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent tout
> au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les images,
> les célébrations nationales, les émissions télévisées, les directives et
> les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, en France,
> soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et laisse de
> moins en moins de liberté aux centres de recherche qui n'ont même plus
> le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et
> leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée.
>
> Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des
> catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où l'individu
> paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* l'évolution des
> techniques, �* l'économie ou même au " sens de l'Histoire ". Elle édicte
> des règles qui ne souffrent ni exceptions ni contradictions. Du Moyen
> Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des
> manipulations de l'Histoire.
>
> Biographie de l'auteur
> Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des
> lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de
> Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du
> Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié
> dernièrement Les négriers en terre d'islam.
>
>
>
>
>
>
> http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/l_es...t_almohade.asp
>
> (Voir aussi "Historiquement correct" de Sévillia, relu le passage hier
> pas le temps de transcrire maintenant)
>
> http://www.amazon.fr/Historiquement-...UTF8&s=gateway
>
> http://www.amazon.fr/Historiquement-...655461?ie=UTF8
>
> Intolérance et rigorisme
>
> Les Almoravides étaient parvenus �* rétablir �* leur profit l'unité
> d'Al-Andalus qui connut sous leur domination de profondes
> transformations. La très relative « tolérance » dont avaient bénéficié
> les chrétiens mozarabes et les juifs �* l'époque ommeyade disparut
> rapidement. Les juifs de Lucena durent ainsi verser une grosse somme
> d'argent pour échapper �* la conversion et de nombreuses églises
> chrétiennes furent détruites. L'expédition conduite en 1125 jusqu'�*
> Grenade par Alphonse d'Aragon, combinée avec un soulèvement des
> Mozarabes [chrétiens espagnols sous domination musulmane] locaux,
> entraîne, lors de la retraite du Batailleur, le départ de dix mille
> d'entre eux vers le nord ; les chrétiens demeurés sur place sont en
> majorité déportés en Afrique du Nord pour y être installés près de
> Meknès et de Salé où l'interdiction de pratiquer leur religion entraîne
> la disparition rapide de ces communautés. Dans l'ensemble d'Al-Andalus,
> le nombre des chrétiens est désormais très réduit, �* un moment où, dans
> le contexte général des croisades et des « réveils » religieux berbères,
> l'antagonisme entre islam et chrétienté atteint son intensité maximale.
>
> L'allègement de la fiscalité qui pesait sur les populations musulmanes �*
> l'époque des taifas [roitelets musulmans] fut globalement favorable �*
> l'activité économique durant la période de la domination almoravide et
> le dirhem d'argent répandu dans tout l'Occident musulman apparaît comme
> une monnaie solide. Si l'époque des taifas avait été marquée par un
> effacement politique évident de l'Espagne musulmane victime de ses
> divisions, celle-ci avait conservé une vie culturelle extrêmement
> brillante. La conquête almoravide mit un terme �* un certain art de vivre
> condamné par le rigorisme malékite et aux raffinements hérités de
> l'époque califale, ce dont témoignent les vestiges d'habitations
> remontant �* cette période, qui avait vu Ali ben Yusuf, le fils et
> successeur de Yusuf ben Tachfin, ordonner la destruction des ouvrages
> d'Al-Ghazali, porteur des derniers feux de la pensée islamique.




 
Oud 1 november 2006, 21:55   #4
Dlink
 
Berichten: n/a
Standaard Re: =?ISO-8859-1?Q?L=E9onard-de-Vinci_=E9tait-il_arabe=3F?=

"dreads" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
> [email protected] om...
> Aïe ! maintenant qu'on a


peut-être

> les empreintes digitales de Léonard, les
> policiers scientifiques de la Crim' vont lui coller sur le dos tous les
> crimes crapuleux de l'époque ! La Joconde était une jeune fille au
> pair (mineure) que léonard a enlevée avant de la violer et de la
> séquestrer... S'il l'a peinte, c'est uniquement parce que la
> photo-porno n'existait pas encore... Conclusion, c'est bien lui qui a
> inventé la photo cochonne pédophile ! Encore un trait de génie �*
> son actif ! Et toc !


Hmmm. Je ne sais pas s'il faut être génial pour faire des photos cochonnes.
 
Oud 4 november 2006, 18:55   #5
=?iso-8859-1?B?U29yY2nocmU=?=
 
Berichten: n/a
Standaard =?iso-8859-1?q?Re:_L=E9onard-de-Vinci_=E9tait-il_arabe=3F?=


dreads a écrit :

> Aïe ! maintenant qu'on a les empreintes digitales de Léonard, les
> policiers scientifiques de la Crim' vont lui coller sur le dos tous les
> crimes crapuleux de l'époque ! La Joconde était une jeune fille au
> pair (mineure) que léonard a enlevée avant de la violer et de la
> séquestrer... S'il l'a peinte, c'est uniquement parce que la
> photo-porno n'existait pas encore... Conclusion, c'est bien lui qui a
> inventé la photo cochonne pédophile ! Encore un trait de génie �*
> son actif ! Et toc !


LOL !!!!

>
>
>
>
> Réjean Laflamme wrote:
> > Jean Naimard a écrit :
> > > Il semblerait bien, suite �* l'analyse de ses empreintes digitales...

> >
> >
> > Les races n'existent pas.
> >
> > >
> > > http://dsc.discovery.com/news/2006/1...19-502-ak-0000

> >
> > On n'est même pas sûr que c'est de lui ou un de ses apprentis...
> >
> > Enfin, selon cette hypothèse très contestable il serait levantin ducôté
> > maternel (d'où exactement ?). Pas juive vous êtes sûr ?
> >
> >
> > >
> > > On se souviendra que juste avant la Renaissance,

> >
> > Personne ne sait définir ce que c'est (ça varie d'un pays �* l'autre et
> > d'un auteur �* l'autre). Donnez-en une bonne définition, cf. Jacques
> > Heers qui critique ce terme.
> >
> > > les arabes avaient la
> > > science la plus avancée...

> >
> > C'est faux. On en a déj�* parlé ici. De toute façon c'est amusant, vous
> > voulez dire qu'il est né de ce paysanne disons arabe avec la science
> > infuse !? Vous ne seriez pas un peu raciste, vous ?
> >
> >
> > (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle
> > idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme,
> > le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos
> > racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posécomme
> > postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de
> > la culture grecque.
> >
> > Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études
> > médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il écrit :
> >
> > (pp. 169-170)
> >
> > "On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" C'est
> > inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une facilité
> > de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise
> > volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable identité des auteurs
> > musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus
> > écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, pour la plupart, des
> > Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête,
> > avaient adopté la langue et l'écriture des maîtres. Les Perses, eux,
> > avaient gardé leur langue.
> >
> > En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les
> > musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi des
> > Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520,soit
> > plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, celui de la logique
> > notamment, n'a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dansles
> > toutes premières universités et l'on se servait alors de traductions
> > latines des textes grecs d'origine que les érudits, les philosophes et
> > les hommes d'Église de Constantinople avaient pieusement gardés et
> > largement diffusés.
> >
> > Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que l'on
> > attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron (auteur
> > juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous les
> > enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela faisait plus
> > d'un siècle que la logique, directement inspirée d'Aristote, était
> > reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus universitaires. De
> > plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut pas bien accepté. Les
> > autorités ont interdit ces travaux d'auteurs musulmans qui
> > revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne
> > présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par une
> > propagande religieuse que par le respect des textes originaux. Les
> > "traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en
> > contradiction avec l'enseignement de l'Islam.
> >
> > En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant,
> > n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas mêmedes
> > musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu
> > d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les populations
> > soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, gardaient pieusement
> > les textes et les enseignement. Les lettrés ne s'étaient pas tous
> > convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté volontiers la langue de
> > l'occupant. Le grec demeura langue officielle en Égypte et la Syrie
> > jusque vers l'an 700. Le syriaque, parler araméen de la ville d'Édessem
> > ne fut abandonné par les lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant
> > plusieurs centaines d'années, les grands centres intellectuels de
> > l'Orient, Ninive, Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête
> > musulmane.
> >
> > [...]
> >
> > Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmaneibn
> > Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers
> > l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits
> > ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne,la
> > ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les
> > grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout
> > particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant
> > l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des
> > traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus.
> >
> > En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes
> > n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu
> > d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes,l�* où
> > ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus
> > variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que
> > l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan
> > intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche,
> > Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les
> > Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout
> > ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et
> > latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable,
> > dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses
> > communautés monastiques.
> >
> > [Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture
> > antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques,
> > sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille,
> > d'Alexandre, etc.]
> >
> > Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et
> > savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des
> > habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir et
> > connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux leurs
> > maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par volonté de
> > tromper.
> >
> > [suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et
> > les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de
> > l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil
> > d'avis juridiques de Justinien, etc.]
> >
> > "
> >
> > Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la
> > coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne musulmane.
> >
> > -----------
> > http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...%e9moire/dp/28...
> > http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996
> >
> > L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché)
> > de Jacques Heers
> > # Broché: 269 pages
> > # Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006)
> > # Langue: Français
> > # ISBN: 2851621750
> >
> > Description du produit
> > Présentation de l'éditeur
> > Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de
> > propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école républicaine
> > n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête citoyen pouvait
> > écrire.
> >
> > La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent tout
> > au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les images,
> > les célébrations nationales, les émissions télévisées, les directives et
> > les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, en France,
> > soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et laisse de
> > moins en moins de liberté aux centres de recherche qui n'ont même plus
> > le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et
> > leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée.
> >
> > Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des
> > catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où l'individu
> > paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* l'évolution des
> > techniques, �* l'économie ou même au " sens de l'Histoire ". Elle édicte
> > des règles qui ne souffrent ni exceptions ni contradictions. Du Moyen
> > Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des
> > manipulations de l'Histoire.
> >
> > Biographie de l'auteur
> > Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des
> > lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de
> > Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du
> > Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié
> > dernièrement Les négriers en terre d'islam.
> >
> >
> >
> >
> >
> >
> > http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/l_es...t_almohade.asp
> >
> > (Voir aussi "Historiquement correct" de Sévillia, relu le passage hier
> > pas le temps de transcrire maintenant)
> >
> > http://www.amazon.fr/Historiquement-...UTF8&s=gateway
> >
> > http://www.amazon.fr/Historiquement-...655461?ie=UTF8
> >
> > Intolérance et rigorisme
> >
> > Les Almoravides étaient parvenus �* rétablir �* leur profit l'unité
> > d'Al-Andalus qui connut sous leur domination de profondes
> > transformations. La très relative « tolérance » dont avaient bénéficié
> > les chrétiens mozarabes et les juifs �* l'époque ommeyade disparut
> > rapidement. Les juifs de Lucena durent ainsi verser une grosse somme
> > d'argent pour échapper �* la conversion et de nombreuses églises
> > chrétiennes furent détruites. L'expédition conduite en 1125 jusqu'�*
> > Grenade par Alphonse d'Aragon, combinée avec un soulèvement des
> > Mozarabes [chrétiens espagnols sous domination musulmane] locaux,
> > entraîne, lors de la retraite du Batailleur, le départ de dix mille
> > d'entre eux vers le nord ; les chrétiens demeurés sur place sont en
> > majorité déportés en Afrique du Nord pour y être installés près de
> > Meknès et de Salé où l'interdiction de pratiquer leur religion entraîne
> > la disparition rapide de ces communautés. Dans l'ensemble d'Al-Andalus,
> > le nombre des chrétiens est désormais très réduit, �* un moment où, dans
> > le contexte général des croisades et des « réveils » religieux berbères,
> > l'antagonisme entre islam et chrétienté atteint son intensité maximale.
> >
> > L'allègement de la fiscalité qui pesait sur les populations musulmanes �*
> > l'époque des taifas [roitelets musulmans] fut globalement favorable �*
> > l'activité économique durant la période de la domination almoravide et
> > le dirhem d'argent répandu dans tout l'Occident musulman apparaît comme
> > une monnaie solide. Si l'époque des taifas avait été marquée par un
> > effacement politique évident de l'Espagne musulmane victime de ses
> > divisions, celle-ci avait conservé une vie culturelle extrêmement
> > brillante. La conquête almoravide mit un terme �* un certain art de vivre
> > condamné par le rigorisme malékite et aux raffinements hérités de
> > l'époque califale, ce dont témoignent les vestiges d'habitations
> > remontant �* cette période, qui avait vu Ali ben Yusuf, le fils et
> > successeur de Yusuf ben Tachfin, ordonner la destruction des ouvrages
> > d'Al-Ghazali, porteur des derniers feux de la pensée islamique.


 
Oud 5 november 2006, 13:25   #6
Arthur
 
Berichten: n/a
Standaard Re: =?windows-1252?Q?L=E9onard-de-Vinci_=E9tait-il_arabe=3F?=


> Les races n'existent pas.



NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde
crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont
pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie.
 
Oud 5 november 2006, 14:35   #7
Thibaud
 
Berichten: n/a
Standaard Les races humaines

Arthur a écrit:
>
>> Les races n'existent pas.

>
>
>
> NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde
> crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont
> pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie.


Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle d'autres
espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race.

« En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes sanguins et
la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, sinon des
caractères visibles globaux, relatifs et partiels. »

Mais il y a différentes populations (ou «sous-races») qui se distinguent
par leur phénotype, leur apparences. IL y a surtout différentes ethnies,
civilisations, cultures et coutumes. Et des modes...

Cela dit, ça n'enpêchera jamais les racistes d'être racistes.

--

race [Yas] n. f.

• v. 1500; it. razza « sorte, espèce », lat. ratio



1¨ Famille, considérée dans la suite des générations et la continuité de
ses caractères (ne se dit que de grandes familles, familles régnantes,
etc.). fi famille, sang. Être de race noble. fi ascendance, origine. – Loc.
adj. Fin de race : décadent. Un homme très distingué, un peu fin de race.
�* Vx Descendance, postérité. « Race d'Abel, dors, bois et mange »
(Baudelaire). – Génération. « Que direz-vous, races futures » (Malherbe).

2¨ Vieilli Communauté plus vaste considérée comme une famille, une lignée.
« Ces blocs énormes réveillent l'idée d'une race de géants disparus »
(Gautier). – Littér. La race humaine : l'humanité. « Le peuple juif est un
abrégé de la race humaine » (Chateaubriand).

3¨ Fig. Catégorie de personnes apparentées par des comportements communs. fi
espèce. Il est de la race des héros. « J'aurais horreur de redevenir civil
[º] D'ailleurs c'est une race qui s'éteint » (Sartre). Fam. Quelle sale
race ! fi engeance.

II¨ Subdivision de l'espèce zoologique, elle-même divisée en sous-races ou
variétés, constituée par des individus réunissant des caractères communs
héréditaires. Les diverses races canines. Croisement entre races. Animal de
race pure, pure race (fi pedigree; herd-book, stud-book).
�* Absolt Race pure. Ces « lignes heureuses et déliées qui indiquent la race
» (Balzac). Avoir de la race : être racé. – Loc. adj. De race : de race
pure (opposé �* bâtard, croisé). « Deux grands chiens courants de race,
véritables fox-hound » (Balzac).

III¨ (Groupes humains)

1¨ (1684) Subdivision de l'espèce humaine d'après des caractères physiques
héréditaires. En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes
sanguins et la génétique, rien ne permet de définir la notion de race,
sinon des caractères visibles globaux, relatifs et partiels. La race
blanche, la race jaune. Croisement entre races. fi interracial; métissage.

2¨ Par ext. (XIXe) Dans la théorie du racisme, Groupe naturel d'humains qui
ont des caractères semblables (physiques, psychiques, culturels, etc.)
provenant d'un passé commun, souvent classé dans une hiérarchie. fi ethnie,
peuple. La race prétendue supérieure. La race « aryenne ». La race « juive
» des nazis. « Essai sur l'inégalité des races humaines », ouvrage de
Gobineau (1855). « Ces questions de suprématie de races sont niaises et
dégoûtantes » (R. Rolland). Extermination d'une race (en fait, d'un groupe
humain abusivement qualifié de race). fi génocide, racisme.

Ä HOM. poss. 2. Ras.


raciste [Yasist] n. et adj.

• 1892; de racisme

1¨ Personne qui soutient le racisme, dont la conduite est imprégnée de
racisme. Les racistes d'Afrique su Sud pratiquaient la ségrégation.

2¨ Adj. Qui croit �* la hiérarchie des races (III, 2o), est hostile �* des
groupes ethniques considérés comme inférieurs et dangereux. Un politicien,
un parti raciste. Par euphém. Je ne suis pas raciste, mais... « Je ne suis
pas raciste, non, je ne le suis pas, mais, franchement – qu'est-ce qu'ils
viennent foutre chez nous tous ces bougnoules ? Hein ? » (J. Vautrin). –
Manifestation raciste, violences racistes. fi pogrom, ratonnade. Une
propagande nationaliste et raciste. Injure raciste.

Ä CONTR. Antiraciste.



racisme [Yasism] n. m.

• 1902; de race

1¨ Théorie de la hiérarchie des races, qui conclut �* la nécessité de
préserver la race dite supérieure de tout croisement, et �* son droit de
dominer les autres. Le racisme n'a aucune base scientifique. « Mein Kampf
est [º] l'évangile du national-socialisme, ou, plus exactement, du racisme
» (Bainville).
�* Ensemble de réactions qui, consciemment ou non, s'accordent avec cette
théorie. « Le racisme, c'est un regard qui vous classe sans appel.
Qu'importe où il vous range, il a ouvert la différence et rien ne l'efface
plus » (B. Noël). Faire preuve de racisme. Ligue internationale contre le
racisme et l'antisémitisme (L. I. C. R. A.).

2¨ Abusivt Hostilité systématique contre un groupe social. Racisme envers
les femmes. fi sexisme. Racisme anti-jeunes. Le « type �* l'entrée [du
cinéma] qui faisait du racisme anti petits garçons » (R. Forlani).



ethnie [Dtni] n. f.

• 1896; gr. ethnos « peuple, nation »

¨ Ensemble d'individus que rapprochent un certain nombre de caractères de
civilisation, notamment la communauté de langue et de culture (alors que la
race dépend de caractères anatomiques). L'ethnie française englobe
notamment la Belgique wallonne, la Suisse romande, le Canada français.

(?)





--
Thibaud

 
Oud 5 november 2006, 15:15   #8
=?windows-1252?Q?R=E9jean_Laflamme?=
 
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Standaard Re: Les races humaines

Thibaud a écrit :
> Arthur a écrit:
>
>>
>>> Les races n'existent pas.

>>
>>
>>
>>
>> NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde
>> crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont
>> pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie.

>
>
> Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle
> d'autres espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race.


Euh... Expliquez ceci.

>
> « En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes sanguins
> et la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, sinon des
> caractères visibles globaux, relatifs et partiels. »


Et en quoi les races animales ne se distinguent pas par des caractères
visibles globaux [globaux ?], relatifs [bien sûr] et partiels
[évidemment puisqu'un homme et une mouche partagent une majorité de leur
code génétique et deux races de chiens partagent nombre de traits
visibles]...

>
> Mais il y a différentes populations (ou «sous-races») qui se distinguent
> par leur phénotype, leur apparences.


C'est jouer avec les mots �* moins d'expliquer ce qui précède...

Pourquoi ce phénotype ? Par opposition �* génotype ? Ce qui fait peur car
plus ancré dans les générations ? Mais on ne connaît pas de populations
(sous-races) qui se distingueraient par leur phénotype et pas par le
génotype �* moins de penser que le phénotype est l'expression de traits
qui ne sont pas dans le génotype ce qui serait une révolution dans le
domaine de l'hérédité. Mais bon on a tellement peur du mot race que ce
ne serait pas la première fois qu'on dirait n'importe quoi.


>IL y a surtout différentes ethnies,


Bien sûr.

> civilisations, cultures et coutumes. Et des modes...


Comme celle, récente, de nier l'existence des races par peur du racisme?

La peur comme frein de la science ?

 
Oud 5 november 2006, 19:15   #9
Thibaud
 
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Standaard Re: Les races humaines

Réjean Laflamme a écrit:
> Thibaud a écrit :
>
>> Arthur a écrit:
>>
>>>> Les races n'existent pas.
>>>
>>> NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde
>>> crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont
>>> pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie.

>>
>> Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle
>> d'autres espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race.

>
> Euh... Expliquez ceci.
>

Voir ci-dessous.
>>
>> « En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes
>> sanguins et la génétique, rien ne permet de définir la notion de race,
>> sinon des caractères visibles globaux, relatifs et partiels. »

>
> Et en quoi les races animales ne se distinguent pas par des caractères
> visibles globaux [globaux ?], relatifs [bien sûr] et partiels
> [évidemment puisqu'un homme et une mouche partagent une majorité de leur
> code génétique et deux races de chiens partagent nombre de traits
> visibles]...
>

L'écart est plus grand, tout simplement.
>>
>> Mais il y a différentes populations (ou «sous-races») qui se
>> distinguent par leur phénotype, leur apparences.
> >

> C'est jouer avec les mots �* moins d'expliquer ce qui précède...
>
> Pourquoi ce phénotype ? Par opposition �* génotype ? Ce qui fait peur car
> plus ancré dans les générations ? Mais on ne connaît pas de populations
> (sous-races) qui se distingueraient par leur phénotype et pas par le
> génotype �* moins de penser que le phénotype est l'expression de traits
> qui ne sont pas dans le génotype ce qui serait une révolution dans le
> domaine de l'hérédité. Mais bon on a tellement peur du mot race que ce
> ne serait pas la première fois qu'on dirait n'importe quoi.
> >
>> IL y a surtout différentes ethnies,
> >

> Bien sûr.
>
>> civilisations, cultures et coutumes. Et des modes...
> >

> Comme celle, récente, de nier l'existence des races par peur du racisme?


Ou pour nier le racisme quand on est raciste.

Je préfère utiliser les mots �* bon escient et dans un sens précis, rien de
plus.

>
> La peur comme frein de la science ?
>

C'est en effet le sens premier de «religio»: crainte révérencieuse.


--
Thibaud

 
Oud 5 november 2006, 21:55   #10
Anne
 
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Standaard Re: Les races humaines

Réjean Laflamme wrote:
> Thibaud a écrit :


>> Mais il y a différentes populations (ou «sous-races») qui se
>> distinguent par leur phénotype, leur apparences.


> C'est jouer avec les mots �* moins d'expliquer ce qui précède...


> Pourquoi ce phénotype ? Par opposition �* génotype ?


§

La définition de race selon les généticiens

Le berceau de l'humanité semble avoir été l'Afrique. A partir de ce
point central, de petits groupements humains ont migré vers tous les
continents. Ces groupes humains ont tous des gènes en commun qu'ils
échangent, et de ce fait, pour les généticiens, ils appartiennent �* la
même espèce. Selon la définition d'Albert Jacquard, la notion de race
des généticiens ne peut être appliquée �* l'espèce humaine. André
Langaney va même plus loin en indiquant que "la notion de race est
dépourvue de fondements et de réalité scientifique". D'autant que les
différences génétiques constatées entre individu peuvent être plus
grandes au sein d'une même population qu'entre deux individus
appartenant �* deux populations considérés comme de "races" différentes.

En effet, la notion de race se base sur la notion de "gènes communs et
exclusif �* un groupe d'individus". Si les gènes ont des répercussions
sur l'aspect visible de l'être, le fait que deux êtres soient différents
ne signifie pas que leurs gènes soient si différents. Ainsi, la couleur
de la peau est déterminée par le gène permettant la production de
mélanine, or, tous les humains produisent de la mélanine (sauf ceux
atteints d'albinisme), donc tous les humains ont ce gène, même s'il
s'exprime plus ou moins. Selon Albert Jacquard (1), pour parler de race,
il faudrait qu'un groupe reste isolé un nombre de générations égal au
nombre d'individus qu'il comporte ; ainsi, un groupe de 200 personnes
devrait rester isolé 4 000 ans (si l'on compte 20 ans par génération)
pour devenir une race. Si les hommes ont isolé des troupeaux et ainsi
créé des races chez les animaux domestiques, une telle situation n'a
jamais eu lieu pour l'espèce humaine ; on peut toutefois citer l'exemple
d'une île du pacifique, Pingelap (2), dont la population fût ravagée par
un cyclone en 1775 et qui se repeupla �* partir d'une vingtaine
d'individus, et qui pourrait constituer une exception.

Une des meilleures preuves de l'absence de la notion de race au sens
génétique chez les humains est le fait que la compatibilité des tissus,
pour les dons d'organe (coeur, rein...) ou de sang, ne dépend pas du
groupe ethnique du donneur et du receveur ; ou alors �* l'extrême, le
donneur doit être un membre proche de la famille du receveur (comme pour
les dons de moëlle), le nombre de donneurs compatibles se compte sur les
doigts d'une main parmi les milliards d'individus, ce qui ne correspond
pas non plus �* la notion de "race" communément admise.

Ainsi pour la plupart des généticiens européens, aucune sous-espèce ou
race n'est scientifiquement acceptable. Les derniers êtres humains (du
genre Homo) possédant des caractères génétiques impliquant une
impossibilité de reproduction (ce qui définit néanmoins la notion
d'espèce et non de race) et ayant coexisté sont les "homo sapiens
sapiens" et les "homo sapiens neandertalensis", il y a plus de 30 000 ans.
§
http://www.planete-virtuelle.org/encyclopedia/R/Race/

 
Oud 5 november 2006, 22:25   #11
Arthur
 
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Standaard Re: =?windows-1252?Q?L=E9onard-de-Vinci_=E9tait-il_arabe=3F?=


Si il a violer une petite fille de moins de dix ans,
et egorger un bon millier de juifs, alors il a
les attributs du prophete, gloire a son nom !
Que Satan le suce pour l'eternité,
 
Oud 5 november 2006, 23:05   #12
Zulu
 
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Standaard Re: Les races humaines


Thibaud wrote:
> Arthur a écrit:
> >
> >> Les races n'existent pas.

> >
> >
> >
> > NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde
> > crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont
> > pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie.

>
> Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle d'autres
> espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race.
>
> « En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes sanguins et
> la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, sinon des
> caractères visibles globaux, relatifs et partiels. »


On ne parle pas de races humaines uniquement pour être politiquement
correct.
Il y a autant de différence entre un zèbre et un cheval qu'entre un
blanc caucasien et un noir bantou.
On dit bien que le cheval (Equus caballus) et le zèbre (Equus quagga
par ex.) sont deux races équines différentes (Famille Equidae, genre
Equus) mais lorsque l'on se confronte �* l'humain on se gêne.

 
Oud 6 november 2006, 00:05   #13
Arthur
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Les races humaines

Thibaud a écrit :
> Arthur a écrit:
>>
>>> Les races n'existent pas.

>>
>>
>>
>> NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde
>> crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont
>> pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie.

>
> Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle
> d'autres espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race.
>
> « En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes sanguins
> et la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, sinon des
> caractères visibles globaux, relatifs et partiels. »
>
> Mais il y a différentes populations (ou «sous-races») qui se distinguent
> par leur phénotype, leur apparences. IL y a surtout différentes ethnies,
> civilisations, cultures et coutumes. Et des modes...
>
> Cela dit, ça n'enpêchera jamais les racistes d'être racistes.
>



Tu as raisons, lis le coran tu verras que Haine Racisme et
antisemitisme pour un musulman, les non musulmans
et non arabes sont des kouffars, c'est a dire des animaux.

Si le racisme des arabes musulman te conviend,
Aors tu es tout autant raciste qyu'eux.

 
Oud 6 november 2006, 00:05   #14
Arthur
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Les races humaines

Zulu a écrit :
> Thibaud wrote:
>> Arthur a écrit:
>>>> Les races n'existent pas.
>>>
>>>
>>> NON FAIX Les races humaines existent, cexu qui e nient sont des absurde
>>> crétin aveugle soutd , et les scientifiques qui nient les races sont
>>> pires que ceux qui les ont classés en hierrarchie.

>> Si l'on donne �* «race» le même sens précis qu'il a quand on parle d'autres
>> espèces, non, l'espèce humaine n'a qu'une seule race.
>>
>> « En dépit des recherches sur l'indice céphalique, les groupes sanguins et
>> la génétique, rien ne permet de définir la notion de race, sinon des
>> caractères visibles globaux, relatifs et partiels. »

>
> On ne parle pas de races humaines uniquement pour être politiquement
> correct.
> Il y a autant de différence entre un zèbre et un cheval qu'entre un
> blanc caucasien et un noir bantou.
> On dit bien que le cheval (Equus caballus) et le zèbre (Equus quagga
> par ex.) sont deux races équines différentes (Famille Equidae, genre
> Equus) mais lorsque l'on se confronte �* l'humain on se gêne.
>


Tout a fait or a qui profite cette semantique steilisante si ce n'est
aux populations qui nous envahissent, et qui se repliquent
comme des celules cancereuses.

Ceux qui leve le cricufix de la pensée unique anti raciste,
sont les même qui protegent d'un regard amoureux la HAINE et l'appel au
meurtre RACISTE des musulmans,

OUI , le Coran est un traité ultra raciste ,
La curaille anti raciste immigrationniste est complice des
SS Nazislamique et des appels au meurtre des juifs
et du status de kouffar, pour les non musulman,
un kouffar est un bipede animal , dont le musulman
en fait ce qu'il veut, ou le tuer si il a envie.

Voila ou nous menent l'idéologie antiraciste,
un suicide collectif ! un genocide anti francais !

 
Oud 6 november 2006, 02:25   #15
=?ISO-8859-1?Q?R=E9jean_Laflamme?=
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Les races humaines

Le Ch'Ti Guevara a écrit :
> En suivant cette logique.
>
> Les races de chiens et les races de chevaux non plus n'existent pas.
>
>
> En plus, c'est vraiment un détail totalement sans importance !
> Ce ne sont pas les races qui créent les problèmes de société; ce sont les
> cultures, en ce y compris les religions.


Mouais, cela reste vraiment �* prouver. Que la race ne soit pas toujours
source de problèmes fort possible, comme la religion n'est pas toujours
source de problèmes, mais jamais, cela ne semble pas être avéré :
Afrique du Sud avec un partage racial et non linguistique ni religieux
(les métis afrikanophones étaient exclus : même langue, même religion
pourtant), idem en Allemagne nazie (beaucoup de juifs étaient totalement
assimilés, athées, même parfois chrétiens, germanophones ayant combattu
pour l'Allemagne pendant la 1ère GM, amoureux de la culture allemande,
etc.).

 
Oud 6 november 2006, 02:25   #16
Le Ch'Ti Guevara
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Les races humaines

En suivant cette logique.

Les races de chiens et les races de chevaux non plus n'existent pas.


En plus, c'est vraiment un détail totalement sans importance !
Ce ne sont pas les races qui créent les problèmes de société; ce sont les
cultures, en ce y compris les religions.
--
= Le Ch'Ti Guévara =
 
Oud 6 november 2006, 02:55   #17
Arthur
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Les races humaines

Le Ch'Ti Guevara a écrit :
> En suivant cette logique.
>
> Les races de chiens et les races de chevaux non plus n'existent pas.
>
>
> En plus, c'est vraiment un détail totalement sans importance !
> Ce ne sont pas les races qui créent les problèmes de société; ce sont les
> cultures, en ce y compris les religions.
> --
> = Le Ch'Ti Guévara =



Une RACE est un sous ensemble dune espèce,

un labrador ou un caniche ont rien avoir , si ce n'est d'être des canidés.

Comme un poney, et un percheron, ce sont des equidés, mais que vous

apprend on a l'école de nos jours ?
 
Oud 6 november 2006, 02:55   #18
Anne
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Les races humaines

Arthur wrote:
> Zulu a écrit :


>> On ne parle pas de races humaines uniquement pour être politiquement
>> correct.
>> Il y a autant de différence entre un zèbre et un cheval qu'entre un
>> blanc caucasien et un noir bantou.


> Tout a fait


Ben non, pas tout �* fait.
Le blanc caucasien et le bantou se reproduisent sans problème.

 
Oud 6 november 2006, 03:05   #19
Carolingien
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Les races humaines

Réjean Laflamme...

>> En plus, c'est vraiment un détail totalement sans importance !
>> Ce ne sont pas les races qui créent les problèmes de société;
>> ce sont les cultures, en ce y compris les religions.

>
> Mouais, cela reste vraiment �* prouver. Que la race ne soit pas
> toujours source de problèmes fort possible, comme la religion
> n'est pas toujours source de problèmes, mais jamais, cela ne
> semble pas être avéré : Afrique du Sud avec un partage racial
> et non linguistique ni religieux (les métis afrikanophones
> étaient exclus : même langue, même religion pourtant), idem en
> Allemagne nazie (beaucoup de juifs étaient totalement
> assimilés, athées, même parfois chrétiens, germanophones ayant
> combattu pour l'Allemagne pendant la 1ère GM, amoureux de la
> culture allemande, etc.).


Cette question est toujours d'un abord très délicat �* cause des
fortes contraintes idéologiques qui pèsent sur elle. La race au
sens étroit, couleur de peau et morphologie, ou au sens large,
ethnie, détermine toujours, comme les autres paramètres des
groupes sociaux, culture ou religion, un sentiment
d'identification et d'appartenance sociale et par conséquent un
réaction de différenciation vis-�*-vis des autres groupes
raciaux et ne peut s'extraire des luttes de pouvoir entre ces
groupes.

Les idéologies racialistes rendent délicat l'étude et la
détermination de ce facteur qui se croise avec de nombreux
autres, culture, langue, religions, position économique et
politique, en eux-mêmes susceptibles de créer des antagonismes
entre les groupes sociaux.

Je serais, comme vous, très étonné, que la race soit le seul
facteur d'appartenance n'ayant aucune incidence sur les problèmes
de relations sociales des groupes et sur leur volonté de
domination.

Dans les exemples que vous citez, on trouve toujours les autres
facteurs liés. En Afrique du Sud, il reste des problèmes de
domination économique après la suppression de la suprématie
politique blanche et donc des conflits de reconquête noire. En
Allemagne, il y avait l'idéologie donnant une prédominance �* la
race, mais aussi un problème religieux, plus des questions
économiques, médiatiques et financières.

Mais cela n'implique pas, effectivement que le facteur racial
n'ait pas d'impact. Il n'est pas forcément déterminant au départ
mais agit au moins comme élément renforçant les conflits
naissants ou latents.
 
Oud 6 november 2006, 07:15   #20
fda
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Les races humaines

Réjean Laflamme wrote:

> Que la race ne soit pas toujours
> source de problèmes fort possible


Ou alors de problèmes mineurs. Alsaciens et Lorrains ont du mal �*
s'entendre. En revanche, Alsaciens et Japonais ont des tournures
d'esprit tout �* fait semblables.

Problèmes aussi entre Toulousains et Bordelais pour des raisons
historiques, mais aucun entre Toulousains et Lillois, ni entre Bordelais
et Bretons, qui n'ont pas entre eux de réel contentieux qui soit passé
dans l'histoire.

Le sens de nation transcende de loin celui de race. C'est bien pour cela
que les Alsaciens ne voulaient tout simplement pas être allemands :
parce que l'on ne repasse pas volontiers d'une histoire ayant connu la
création d'une République �* une autre qui n'a jamais quitté la monarchie


> idem en Allemagne nazie (beaucoup de juifs étaient totalement
> assimilés, athées, même parfois chrétiens, germanophones ayant combattu
> pour l'Allemagne pendant la 1ère GM, amoureux de la culture allemande,
> etc.).


Il est �* noter qu'Hitler avait pris soin de mettre soigneusement ceux-l�*
�* l'abri. De même que l'Allemand qui avait essayé de le tuer �* Munich :
puisque c'était un Allemand, il ne pouvait s'agir selon lui que d'un
malentendu qu'on éclaircirait quand on aurait un moment.
 
 



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