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Oud 26 november 2006, 13:25   #1
Bertrand
 
Berichten: n/a
Standaard Entretien avec Pierre =?ISO-8859-1?Q?P=E9an_sur_les_g=E9no?==?ISO-8859-1?Q?cides_du_Rwanda_=28audio_20_minutes=29?=

http://www.rwanda-info.net/media/mus...7_0440-20k.mp3
 
Oud 26 november 2006, 15:05   #2
Dobb
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Entretien avec Pierre Péan sur les génocides du Rwanda (audio 20 minutes)

"Bertrand" :

> http://www.rwanda-info.net/media/mus...7_0440-20k.mp3


Que les services français font dans leur culotte au sujet du Rwanda, ce
n'est pas neuf.

Tenez, maintenant, une petite colle d'actualité : vous avez constaté
(j'imagine...) que le négationniste Péan prétend lui-même se baser
sur... l'instruction du pantin de service, le juge Bruguière (un juge
tellement "indépendant" du régime en place qu'il veut se présenter
sur les listes UMP aux prochaines législatives, c'est tout dire ! Voir :
http://web.ifrance.com/actu/france/49223 )

Alors, voici la question : comment le pantin Péan a-t-il pu avoir
accès �* ces prétendues "informations" du pantin Bruguière,
étant donné qu'en banania-ripoublik française, le dossier
d'instruction est censé être secret ?

Voil�*, juste pour vous donner une idée des jobs respectifs des
bons petits soldats Péan et Bruguière...

Dobb



 
Oud 26 november 2006, 17:45   #3
abourick
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Entretien avec Pierre Péan sur les génocides du Rwanda (audio 20 minutes)

"Bertrand" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]


Péan est une ordure.



_1. Péan démasqué :_

http://www.arenes.fr/livres/page-livre1.php?

Janvier 1990
L'opposant rwandais Shyirambere J. Barahinyura, qui habite Francfort, est
contacté par Pierre-Yves Gilleron (commissaire �* la DST), qui affirme
travailler pour l'Élysée et souhaite le rencontrer. Barahinyura prévient la
police allemande. Le 11 janvier 1990, des officiers sont présents lorsque
Pierre-Yves Gilleron sonne �* la porte du Rwandais, accompagné par son garde
du corps, Pierre Massé, lui aussi rattaché �* la cellule élyséenne. Gilleron
veut notamment inviter Barahinyura en France pour lui présenter son "ami et
associé Pierre Péan, spécialiste du Rwanda".


_2. Péan démystifié :_

Qui est Péan ? Un type qui n'hésite pas �* mentir pour vendre du papier et
défendre ses commanditaires (la famille Mitterrand dans le cas de la face
cachée du Monde) puis �* passer un accord avec ceux dont il n'a cessé de
dénoncer les magouilles et les manipulations.



http://maljournalisme.chez-alice.fr/..._peancohen.htm

Les fautes cachées de Péan-Cohen



Essai pour un vrai débat sur le maljournalisme


En juin 2004, les auteurs de La Face cachée du Monde et les dirigeants
de ce journal ont convenu de faire passer l'essai aux oubliettes de
l'édition, sans discussions publiques de sa qualité et de son contenu. Cette
autocensure arrange les deux parties, sur le dos de leurs lecteurs.



Un scandale médiatico-éditorial étouffé



Le 7 juin 2004 fera date, comme un jour de honte pour la presse
française. Selon un communiqué publié dans Le Monde, "Pierre Péan, Philippe
Cohen et [l'éditeur] Fayard renoncent �* toute nouvelle publication du livre
La Face cachée du Monde", qui a fait énormément de bruit début 2003. Le
quotidien du soir et sa Société des rédacteurs, Jean-Marie Colombani, Edwy
Plenel et Alain Minc, "prenant acte des déclarations faites et de
l'engagement pris par leurs adversaires, se désistent de leurs actions
[contre eux]. Ils ne s'interdisent toutefois pas d'agir en justice �*
l'encontre de toute publication qui citerait ou reprendrait des passages du
livre qu'ils estiment diffamatoires ou injurieux."

Il n'y aura donc toujours pas de véritable débat public sur les
pratiques journalistiques douteuses du Monde et sur la non moindre
malhonnêteté du travail de Pierre Péan et Philippe Cohen. L'absence de
procès en échange de cette garantie de censure constitue une transaction
opérée par un journal qui se présente comme un porte-drapeau de la liberté
d'expression... La presse aurait crié au scandale pour bien moins, si par
exemple une entreprise classique avait conclu un tel accord. Mais le poids
du corporatisme journalistique est ce qu'il est, en France.

Cette affaire met également �* nu une escroquerie éditoriale. Elle aura
permis d'écouler plus de 200000 exemplaires d'un essai présenté �* tort, par
beaucoup de médias, comme une remise en cause du journalisme français. Le
lancement a donné lieu �* une polémique sans lendemains, en effet, et sans
véritables critiques, �* quelques exceptions (lire les critiques, plus bas).
D'un côté, il y a eu le clan corporatiste qui refuse le principe même que
l'on puisse critiquer des journaux français. De l'autre, les alliés aveugles
des auteurs de La Face cachée du Monde, souvent unis par une haine non
dissimulée des dirigeants de ce journal et du capitalisme personnifié par
Alain Minc. Bernard-Henri Lévy dans Le Point et Daniel Schneidermann ou
Pierre Marcelle dans Libération, ont illustré de façon lamentable ce
partisanisme borgne, se montrant incapables de reconnaître les torts du
Monde ou des auteurs.

Cet excès de manichéisme, cette incapacité d'élever le débat �* une
remise en cause du journalisme �* la française, la non-dénonciation des
fautes commises par Péan-Cohen, ont instauré un dialogue de sourd qui devait
aboutir �* l'accord liberticide annoncé le 7 juin 2004. Si l'essai, publié
par un département de Fayard, avait été le fruit d'une enquête et d'une
écriture rigoureuses, Le Monde n'aurait pas pu proposer cette opération
omerta aux auteurs et �* leur éditeur.

Bien que commercialement avantageuse, l'affaire a été piteuse dès ses
prémices. Il y a eu d'abord le discours anti-journalisme d'investigation de
Pierre Péan dans les interviews de présentation de son livre. Puis la
complicité active de L'Express, hebdomadaire qui a publié des extraits du
livre, suivie du silence coupable du Figaro (sur la demande de son patron,
Yves de Chaisemartin). Le quotidien aujourd'hui contrôlé par le groupe
Dassault a cependant fini par publier un long article sur La Face cachée...
le 8 juin 2004. C'est �* dire 16 mois après sa parution, pour évoquer
l'arrangement entre ennemis. L'auteur de ce papier des pages "saumon",
Emmanuel Schwartzenberg, s'est montré très complaisant avec les partis en
litige, allant jusqu'�* désinformer les lecteurs du Figaro au sujet du métier
d'essayiste. La Face cachée du Monde contiendrait "des erreurs manifestes
inhérentes �* ce type de projet", selon Schwartzenberg, dénigrant au passage
les essais et documents fiables et rigoureux.

Dénonciation en partie fondées sur Le Monde, mais inégales et même
ignominieuses, parfois. Travail bâclé de deux essayistes et de leur éditeur,
pourtant réputés pour Péan et Fayard. Refus de s'expliquer de la part des
dirigeants du Monde. Organisation d'une illusion de débat dans les médias,
concentré sur le trio Colombani-Plenel-Minc. Puis pour terminer, un
enterrement habillé en médiation de la Justice, avec le consentement et le
mensonge par omission de certains journaux. La presse française n'a
décidément pas le courage de discuter sur les pratiques professionnelles de
ses journaux et de ses journalistes.



Les textes qui suivent datent de mars 2003, au moment de la parution
de La face cachée du Monde. Ils annonçaient la fin piteuse d'un livre devenu
l'objet d'un accord déshonorant.



La chasse de meute lancée par La face cachée du Monde (FCDM) a pris
une tournure excessive. On ne peut pourtant pas m'accuser de complaisance
avec Le Monde ! S'il s'agit d'un début de procès des médias, alors je ne
comprends pas pourquoi on contourne LA QUESTION �* se poser aussi: "Et la
déontologie du magazine Marianne - dont Cohen est un des responsables -
comparée �* celle du Monde???" Car la FCDM, c'est également un livre co-écrit
par un ingénieur de chez Trabant (Cohen & Marianne) qui se plaint de
Mercedes (Le Monde). S'attarder sur les embardées trop fréquentes de
Colombani-Plenel-Minc, les trois chauffards "arrogants" qui conduisent ce
dernier, c'est très bien. Mais il faudra �* un moment ou �* un autre
s'interroger sur les différences de performance entre Trabant et Mercedes,
n'en déplaise �* Jean-François Kahn, qui se place toujours sur le terrain
idéologique pour échapper au débat sur le manque de rigueur de son
hebdomadaire.

Contrairement �* ce qu'insinuent Péan-Cohen, le quotidien du soir est
loin d'avoir des défauts qui lui seraient spécifiques, en effet. Les auteurs
commettent l'erreur de minimiser les défauts du Figaro, de Marianne ou de
L'Express par exemple, au point de disculper cette dernière rédaction quand
elle s'ouvrit au groupe Dassault. Il n'est pas étonnant, finalement, que les
dirigeants du Monde attaquent L'Express pour avoir publié les bonnes
feuilles de l'essai (les meilleures, en fait). Si l'hebdomadaire était dans
son droit de divulguer certaines dénonciations très justes du duo
Péan-Cohen, il a eu tort de ne pas critiquer AUSSI un livre qui contient PAR
AILLEURS et DE TOUTE EVIDENCE trop d'erreurs et de propos inutilement
diffamatoires:

-- 1) Péan-Cohen n'ont pas interrogé des journalistes accusés d'avoir
publié des articles malhonnêtes (solliciter le point de vue du trio qui
dirige Le Monde ne suffisait pas). On peut me faire le même reproche avec
Bévues de presse, mais il ne tient pas: mes critiques sont exclusivement
basées sur le contenu des articles, sur leurs contradictions ou leurs
approximations évidentes, sur le manque de sources citées. L'anonymat de
celles-ci peut se comprendre chez Péan-Cohen, mais ils ont commis une faute
en ne verrouillant pas mieux leur enquête: leur démonstration se basant
surtout sur l'interprétation des raisons qui poussent Le Monde �* publier tel
ou tel papier, ils auraient dû demander le point de vue des journalistes
auxquels ils prêtent des allégeances et des mauvaises intentions.

-- 2) A la décharge des deux auteurs de la FCDM, le fait qu'ils
n'aient pas sollicité l'avis des rédacteurs incriminés est �* la limite du
tolérable, vu le thème de leur enquête. Le Monde a toujours les moyens de
leur répondre, en effet, contrairement aux autres institutions attaquées
dans des livres, et qui ne contrôlent pas des médias. Il faut également
tenir compte de la difficulté de publier des critiques argumentées de la
presse, qui peuvent faire l'objet de pressions, en France tout
particulièrement. J'ai moi même été victime de la peur du Seuil qui, après
avoir signé un contrat et versé un chèque, a renoncé �* publier mon essai.

-- 3) L'extrême partialité de Péan-Cohen, qui veulent nous démontrer
que Le Monde est devenu beaucoup plus tendancieux et malhonnête depuis 1994.
Peut-être, mais alors je ne comprends pas que sur 633 pages ils ne
reviennent pas plus en détail sur des horreurs journalistiques qui ont été
reprochées au quotidien dans les décennies passées (ils passent rapidement
sur sa bienveillance initiale a l'égard de Pol Pot par exemple). J'étais
jeune �* l'époque, mais je me souviens d'un certain Philippe Boucher, cité
dans la FCDM, qui s'était acharné contre Giscard �* la fin de sa présidence.
Etait-ce pire que Plenel-Gattegno et leur volonté de nuire �*
Mitterrand-Chirac-Dumas, même si c'était moins voilé? Le livre aurait au
moins dû faire ce type de comparaison, pour prouver qu'avec Colombani c'est
vraiment plus pernicieux qu'avant.

-- 4) Les auteurs reprochent au Monde - et �* Bruno Frappat - de ne pas
avoir évincé Edwy Plenel quand il a fait un faux scoop sur les finances du
Parti socialiste �* partir du Panama. Ils citent en exemple Le Canard
enchaîné qui se serait séparé de son journaliste André Rougeot, lorsqu'il
publia un livre accusant les ex-ministres François Léotard & Jean-Claude
Gaudin du meurtre de Yann Piat. Mais ces accusations ne sont pas
comparables, car une magouille est moins grave qu'un meurtre, et parce que
la faute de Plenel était bien plus ponctuelle que celle de Rougeot. De plus,
contrairement �* Frappat qui a fini par reconnaître l'erreur de Plenel, les
dirigeants du Canard enchaîné ont été plus vagues, publiant des
contrevérités pour atténuer la faute de leur rédacteur (plus de détails dans
le chapitre III de Bévues de presse).

-- 5) Le chapitre 25 de la FCDM, un des plus importants du livre, est
intitulé "Des comptes �* la Enron". Il m'a plus atterré par le manque de
rigueur de Péan-Cohen, que par ce qui est reproché au trio infernal
Colombani-Plenel-Minc. La comparaison avec Enron est malhonnête: les deux
auteurs auraient pu se contenter d'intituler le chapitre "Des comptes �* la
Vivendi"...

-- 6) Au lieu de recouper les chiffres, dans ce chapitre 25,
Péan-Cohen ont fait ce qu'ils reprochent aux journalistes d'investigation:
les porte-voix. Ils se basent surtout sur l'avis d'un expert anonyme, qui
fait beaucoup de commentaires de café du commerce. C'est du n'importe quoi �*
certains moments, et cela décrédibilise l'ensemble des propos, qui semblent
souvent justes, pourtant. Un exemple: les auteurs et leur "interlocuteur"
disent (page 585) que Le Monde bénéficie de l'intégralité des résultats de
sa filiale Le Midi Libre. Or on apprend, dans un chapitre précédant, que ce
dernier n'est pas détenu �* 100% par Le Monde. Péan-Cohen sont flous sur ce
plan, ce qui constitue une autre faute pour les grands enquêteurs qu'ils
prétendent être.

-- 7) De manière générale, la FCDM contient beaucoup (trop) de
coquilles, et s'avère être une enquête très microcosmique, comme la plupart
des essais sur la vie politique en France. Les auteurs ne montrent pas
qu'ils ont vraiment enquêté dans le sud, par exemple, au sujet de cette
acquisition majeure des Journaux du Midi. Dans ce cas précis, ils semblent
s'être contenté de renseignements transmis par des informateurs ponctuels,
comme l'ancien journaliste du Monde Alain Rollat.

-- 8) Les auteurs font excessivement feu de tout bois, en prenant des
lance-flammes l�* où des allumettes - un travail plus rigoureux et
minutieux - aurait crédibilisé davantage leur dossier �* charge. Je note
aussi la complaisance des journalistes qui les ont interrogé, et qui leur
ont reproché seulement des fautes bénignes. L'inquiétant, pour les mours
médiatico-politiques en France, c'est que c'est peut-être le caractère
outrancier qui a plu.

Ce match entre les couples Péan-Cohen et Colombani-Plenel va se
terminer par un 1 �* 1 (ou plutôt par «minus 1» �* «minus 1», car tous vont
sortir ternis de cette histoire). Cela va probablement se résumer �* un
dialogue de sourds, faute de FCDM suffisamment impartial et sérieux.
Dommage, car les bonnes feuilles publiées dans L'Express laissaient présager
plus de rigueur d'ensemble.





Deux critiques publiées dans L'Agglo-Rieuse, le Canard enchaîné de
Montpellier, qui est la deuxième ville du Monde :



"Deux diables" selon la filiale du Monde (5 mars 2003)

Le Midi Libre du 28 février 2003 a publié deux papiers assez
affligeants pour répondre au livre accusatoire contre les dirigeants du
Monde. Tout d'abord un édito intitulé "Les sabots du diable", de Noël Jean
Bergeroux (NJB), celui qui fut intronisé par Jean-Marie Colombani �* la tête
du groupe Journaux du Midi, qui regroupe les intérêts du Monde dans la
presse quotidienne régionale. NJB réfute l'enquête de Péan-Cohen au moyen
d'arguments
financiers et d'incantations d'ordre historique. Beaucoup de paranoïa,
aussi, avec la référence aux anciens ennemis du Monde, comme Le Temps, son
éphémère concurrent dans les années 50.

Dans un encadré, le directeur de la rédaction Alain Plombat en appelle
�* «l'histoire et accessoirement la justice» pour décider quel crédit
accorder aux accusations de Péan-Cohen. Ben voyons, il est bien connu que
contrairement aux juges et aux historiens, les journalistes n'ont pas �*
estimer si un livre est bon ou pas... Il est vrai que c'est plus prudent
pour le dir-rédac de ne pas trop se prononcer sur la valeur du livre, car
qui peut jurer que les dirigeants du Monde vont conserver leurs postes?

Plombat ne parle que de fric, ensuite: "Non le Midi Libre n'est pas un
tiroir-caisse du Monde" dit-il en substance. Ce dernier "n'a touché que 1%
de dividendes" sur les capitaux investis depuis 3 ans dans le groupe de
presse montpelliérain, il paraît. Un peu court comme réponse, car une maison
mère peut profiter d'une filiale de diverses façons, et pas seulement d'une
ponction sur les bénéfices.

En résumé, sur une demi-page au total, on a droit �* un rejet en bloc
d'une enquête qui n'est pourtant pas seulement tissée de "haines recuites",
pour reprendre une expression de NJB.



Le maljournalisme de Péan-Cohen (12 mars 2003)

La FCDM est le fruit d'une enquête très microcosmique, autour du trio
Colombani-Minc-Plenel. Le Monde fait une acquisition majeure avec Midi
Libre, L'Indépendant et Centre-Presse? Pierre Péan et Philippe Cohen n'ont
visiblement pas enquêté �* Montpellier, où siège pourtant le groupe Journaux
du Midi, propriétaire des trois quotidiens régionaux. Ils semblent s'être
contentés de renseignements transmis par des informateurs ponctuels, comme
l'ancien
journaliste du Monde Alain Rollat. C'est léger pour un «document» de 1054
grammes, ou de 633 pages, encensé par beaucoup de journalistes!

Le duo «enquêteur a bâclé son travail par négligence, et déséquilibré
son argumentation par une mauvaise foi qui respire de leur écrit. Dommage,
car Péan-Cohen posent aussi des questions pertinentes sur l'affairisme de la
classe médiatique française.

La réaction du Midi Libre, qui a botté en touche face aux attaques du
livre, ou celle de La Gazette de Montpellier, qui a reproduit des extraits
sans aucune critique (28 février), est consternante. Les deux journaux
montpelliérains auraient pourtant pu relever les contrevérités ou
imprécisions distillées par Péan-Cohen sur des sujets qu'ils connaissent.
Quand José Frèches est présenté comme une victime du trio du Monde, sans
souligner aussi que l'ancien patron du groupe de presse languedocien n'a pas
été un grand gestionnaire. Ou quand ils ne relatent rien de l'impact du
Monde sur les rédactions des Journaux du Midi. (...)

Jean-Pierre Tailleur




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Oud 26 november 2006, 20:15   #4
Bertrand
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Entretien avec Pierre =?ISO-8859-1?Q?P=E9an_sur_les_g=E9?==?ISO-8859-1?Q?nocides_du_Rwanda_=28audio_20_minutes=29?=

Dobb a écrit :
> "Bertrand" :
>
>> http://www.rwanda-info.net/media/mus...7_0440-20k.mp3

>
> Que les services français font dans leur culotte au sujet du Rwanda, ce
> n'est pas neuf.
>
> Tenez, maintenant, une petite colle d'actualité : vous avez constaté
> (j'imagine...) que le négationniste Péan


Vous parlez comme Kagamé, ce meurtrier. Ce n'est pas �* votre honneur.
 
Oud 26 november 2006, 22:15   #5
Dobb
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Entretien avec Pierre Péan sur les génocides du Rwanda (audio 20 minutes)

"Bertrand" :

> > Que les services français font dans leur culotte au sujet du Rwanda, ce
> > n'est pas neuf.
> >
> > Tenez, maintenant, une petite colle d'actualité : vous avez constaté
> > (j'imagine...) que le négationniste Péan

>
> Vous parlez comme Kagamé, ce meurtrier. Ce n'est pas �* votre honneur.


Je le trouve très bien, ce Kagamé. La Rwanda vit maintenant en paix et
peut (enfin) se développer.

Pourquoi, Pierre Péan n'est pas un négationniste ?

Dobb



 
Oud 27 november 2006, 11:25   #6
Bertrand
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Entretien avec Pierre =?ISO-8859-1?Q?P=E9an_sur_les_g=E9?==?ISO-8859-1?Q?nocides_du_Rwanda_=28audio_20_minutes=29?=

Dobb a écrit :
> "Bertrand" :
>
>>> Que les services français font dans leur culotte au sujet du Rwanda, ce
>>> n'est pas neuf.
>>>
>>> Tenez, maintenant, une petite colle d'actualité : vous avez constaté
>>> (j'imagine...) que le négationniste Péan

>> Vous parlez comme Kagamé, ce meurtrier. Ce n'est pas �* votre honneur.

>
> Je le trouve très bien, ce Kagamé. La Rwanda vit maintenant en paix et
> peut (enfin) se développer.


Il se développait bien avant malgré les attaques du FPR minoritaire
téléguidé par l'Ouganda et les États-Unis.


>
> Pourquoi, Pierre Péan n'est pas un négationniste ?
>


Tiens, il répond justement �* ce mensonge ici :

http://www.rwanda-info.net/media/mus...an_Europe1.mp3

renseignez-vous..

 
Oud 27 november 2006, 21:45   #7
Dobb
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Entretien avec Pierre Péan sur les génocides du Rwanda (audio 20 minutes)

"Bertrand" :

> > Pourquoi, Pierre Péan n'est pas un négationniste ?
> >

> Tiens, il répond justement �* ce mensonge ici :
>
> http://www.rwanda-info.net/media/mus...an_Europe1.mp3


Ca montre bien qu'il est négationniste.

> renseignez-vous..


Je suis bien renseigné, rassurez-vous.

Par contre vous, vous pataugez dans ces conneries comme un
nouveau-né dans ses couche-culottes. Vous n'avez d'ailleurs
toujours pas répondu �* ma question. Alors je la recolle :
comment le pantin Péan a-t-il pu avoir accès �* ces prétendues
"informations" du pantin Bruguière, étant donné qu'en banania-
ripoublik française, le dossier d'instruction est censé être secret ?

Dobb



 
 



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