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#1 |
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![]() Petite anecdote authentique.
Une dame portugaise habite Zaventem. Elle vient au GLTT de Rhode pour apprendre le néerlandais. Elle choisit le cours élémentaire (1ère année) car elle n'a aucune notion de la langue. Vivant en Belgique depuis quelques années, elle parle couramment le français. Ne voil�*-t-il pas qu'elle découvre qu'au cours de néerlandais du GLTT �* Rhode, commune de Flandre bilingue et majoritairement francophone, il est interdit de poser des questions en français, ni d'obtenir des réponses dans cette langue ! Comme il s'agit de débutants, on ne peut pas non plus se faire comprendre d'eux en néerlandais. Alors, on a instauré la règle curieuse que les explications seraient données en anglais, une langue sans nul doute utile et respectable mais certainement moins connue par les étudiants, très majoritairement francophones. Malheureusement, la dame portugaise ignore l'anglais, elle n'en parle pas un traître mot, elle est venue pour apprendre le néerlandais, et quand elle se risque �* demander un explication en français, on lui répond : "pas en français"..... Monsieur Leterme pense que pour apprendre le néerlandais, les francophones doivent faire preuve d'un niveau intellectuel particulier et sans doute d'une forte motivation. Il sera heureux de découvrir que ses amis flamingants leur demandent également de maîtriser d'abord l'anglais. Au risque que certains s'arrêtent en chemin, quand ils découvriront qu'on peut communiquer en Flandre belge et ailleurs, dans la langue de Shakespeare, et sans pousser l'effort jusqu'�* l'apprentissage du néerlandais ? |
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#2 |
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![]() "strixbubo" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > Petite anecdote authentique. > > Une dame portugaise habite Zaventem. Elle vient au GLTT de Rhode pour > apprendre le néerlandais. Elle choisit le cours élémentaire (1ère > année) car elle n'a aucune notion de la langue. Vivant en Belgique > depuis quelques années, elle parle couramment le français. > > > Ne voil�*-t-il pas qu'elle découvre qu'au cours de néerlandais du GLTT > �* Rhode, commune de Flandre bilingue et majoritairement francophone, > il est interdit de poser des questions en français, ni d'obtenir > des réponses dans cette langue ! > > > Comme il s'agit de débutants, on ne peut pas non plus se faire > comprendre d'eux en néerlandais. Alors, on a instauré la règle > curieuse que les explications seraient données en anglais, une langue > sans nul doute utile et respectable mais certainement moins connue > par les étudiants, très majoritairement francophones. > > > Malheureusement, la dame portugaise ignore l'anglais, elle n'en parle > pas un traître mot, elle est venue pour apprendre le néerlandais, et > quand elle se risque �* demander un explication en français, on lui > répond : "pas en français"..... > > > Monsieur Leterme pense que pour apprendre le néerlandais, les > francophones doivent faire preuve d'un niveau intellectuel particulier > et sans doute d'une forte motivation. Il sera heureux de découvrir que > ses amis flamingants leur demandent également de maîtriser d'abord > l'anglais. > > Au risque que certains s'arrêtent en chemin, quand ils découvriront > qu'on peut communiquer en Flandre belge et ailleurs, dans la langue > de Shakespeare, et sans pousser l'effort jusqu'�* l'apprentissage du > néerlandais ? > De fait... Tout �* leurs mesures vexatoires francophobes, ils en oublient les conséquences parfois grotesques qu'elles peuvent entraîner... |
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#3 |
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![]() strixbubo a exprimé avec précision :
> Petite anecdote authentique. > > Une dame portugaise habite Zaventem. Elle vient au GLTT de Rhode pour > apprendre le néerlandais. Elle choisit le cours élémentaire (1ère > année) car elle n'a aucune notion de la langue. Vivant en Belgique > depuis quelques années, elle parle couramment le français. > > > Ne voil�*-t-il pas qu'elle découvre qu'au cours de néerlandais du GLTT > �* Rhode, commune de Flandre bilingue et majoritairement francophone, > il est interdit de poser des questions en français, ni d'obtenir > des réponses dans cette langue ! > > > Comme il s'agit de débutants, on ne peut pas non plus se faire > comprendre d'eux en néerlandais. Alors, on a instauré la règle > curieuse que les explications seraient données en anglais, une langue > sans nul doute utile et respectable mais certainement moins connue > par les étudiants, très majoritairement francophones. > > > Malheureusement, la dame portugaise ignore l'anglais, elle n'en parle > pas un traître mot, elle est venue pour apprendre le néerlandais, et > quand elle se risque �* demander un explication en français, on lui > répond : "pas en français"..... > > > Monsieur Leterme pense que pour apprendre le néerlandais, les > francophones doivent faire preuve d'un niveau intellectuel particulier > et sans doute d'une forte motivation. Il sera heureux de découvrir que > ses amis flamingants leur demandent également de maîtriser d'abord > l'anglais. > > Au risque que certains s'arrêtent en chemin, quand ils découvriront > qu'on peut communiquer en Flandre belge et ailleurs, dans la langue > de Shakespeare, et sans pousser l'effort jusqu'�* l'apprentissage du > néerlandais ? Bah un des trucs les plus absurdes dans le genre est la règlementation de la SNCB pour les annonces dans les trains.... Ce qui compte, c'est le territoire sur lequel se trouve le train. Les clients, eux, n'ont aucune importance. Ainsi, sur le territoire de Bruxelles, les annonces doivent être faites dans les deux langues. Sur le territoire flamnd, elles doivent être faites en néerlandais, et sur le territoire wallon en français. C'est ainsi qu'un train direct (ne s'arrêtant pas en Flandre) �* destination de Liège s'est retrouvé en panne près de Louvain. Et les voyageurs ont été dans la situation surréaliste d'entendre un accompagnateur de train francophone essayer d'expliquer en néerlandais ce qu'il se passait �* des passagers tous francophones.... Pourquoi ne pas tenir compte des arrêts du train en Flandre et en Wallonie pour la langue des annonces ? Mystère. C'est le territoire en-dessous des roues qui comptent... -- F. |
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#4 |
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![]() Vitae forma vocatur strixbubo <[email protected]>, die Thu, 21 Dec
2006 08:54:21 +0100, in littera <[email protected]> in foro soc.culture.belgium(et aliis) vere scripsit quod sequitur: >Petite anecdote authentique. > >Une dame portugaise habite Zaventem. Elle vient au GLTT de Rhode pour >apprendre le néerlandais. Elle choisit le cours élémentaire (1ère >année) car elle n'a aucune notion de la langue. Vivant en Belgique >depuis quelques années, elle parle couramment le français. > > >Ne voil�*-t-il pas qu'elle découvre qu'au cours de néerlandais du GLTT >�* Rhode, commune de Flandre bilingue et majoritairement francophone, >il est interdit de poser des questions en français, ni d'obtenir >des réponses dans cette langue ! > > >Comme il s'agit de débutants, on ne peut pas non plus se faire >comprendre d'eux en néerlandais. Alors, on a instauré la règle >curieuse que les explications seraient données en anglais, une langue >sans nul doute utile et respectable mais certainement moins connue >par les étudiants, très majoritairement francophones. > > >Malheureusement, la dame portugaise ignore l'anglais, elle n'en parle >pas un traître mot, elle est venue pour apprendre le néerlandais, et >quand elle se risque �* demander un explication en français, on lui >répond : "pas en français"..... > > >Monsieur Leterme pense que pour apprendre le néerlandais, les >francophones doivent faire preuve d'un niveau intellectuel particulier >et sans doute d'une forte motivation. Il sera heureux de découvrir que >ses amis flamingants leur demandent également de maîtriser d'abord >l'anglais. > >Au risque que certains s'arrêtent en chemin, quand ils découvriront >qu'on peut communiquer en Flandre belge et ailleurs, dans la langue >de Shakespeare, et sans pousser l'effort jusqu'�* l'apprentissage du >néerlandais ? merci pour ce beau morceau de surréalisme belge, que j'ai transmis dans un nouveau fil aux posteurs de <be.politics, avec petit commentaire musclé en néerlandais . -- Fusti |
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#5 |
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![]() "Faelan" <[email protected]> wrote in message news:[email protected]... > strixbubo a exprimé avec précision : > > Petite anecdote authentique. > > > > Une dame portugaise habite Zaventem. Elle vient au GLTT de Rhode pour > > apprendre le néerlandais. Elle choisit le cours élémentaire (1ère > > année) car elle n'a aucune notion de la langue. Vivant en Belgique > > depuis quelques années, elle parle couramment le français. > > > > > > Ne voil�*-t-il pas qu'elle découvre qu'au cours de néerlandais du GLTT > > �* Rhode, commune de Flandre bilingue et majoritairement francophone, > > il est interdit de poser des questions en français, ni d'obtenir > > des réponses dans cette langue ! > > > > > > Comme il s'agit de débutants, on ne peut pas non plus se faire > > comprendre d'eux en néerlandais. Alors, on a instauré la règle > > curieuse que les explications seraient données en anglais, une langue > > sans nul doute utile et respectable mais certainement moins connue > > par les étudiants, très majoritairement francophones. > > > > > > Malheureusement, la dame portugaise ignore l'anglais, elle n'en parle > > pas un traître mot, elle est venue pour apprendre le néerlandais, et > > quand elle se risque �* demander un explication en français, on lui > > répond : "pas en français"..... > > > > > > Monsieur Leterme pense que pour apprendre le néerlandais, les > > francophones doivent faire preuve d'un niveau intellectuel particulier > > et sans doute d'une forte motivation. Il sera heureux de découvrir que > > ses amis flamingants leur demandent également de maîtriser d'abord > > l'anglais. > > > > Au risque que certains s'arrêtent en chemin, quand ils découvriront > > qu'on peut communiquer en Flandre belge et ailleurs, dans la langue > > de Shakespeare, et sans pousser l'effort jusqu'�* l'apprentissage du > > néerlandais ? > > Bah un des trucs les plus absurdes dans le genre est la règlementation > de la SNCB pour les annonces dans les trains.... > Ce qui compte, c'est le territoire sur lequel se trouve le train. Les > clients, eux, n'ont aucune importance. > Ainsi, sur le territoire de Bruxelles, les annonces doivent être faites > dans les deux langues. Sur le territoire flamnd, elles doivent être > faites en néerlandais, et sur le territoire wallon en français. > C'est ainsi qu'un train direct (ne s'arrêtant pas en Flandre) �* > destination de Liège s'est retrouvé en panne près de Louvain. Et les > voyageurs ont été dans la situation surréaliste d'entendre un > accompagnateur de train francophone essayer d'expliquer en néerlandais > ce qu'il se passait �* des passagers tous francophones.... > Pourquoi ne pas tenir compte des arrêts du train en Flandre et en > Wallonie pour la langue des annonces ? Mystère. C'est le territoire > en-dessous des roues qui comptent... > > -- > F. > > C'est la logique flamande : 't'es Vlaamse grond ! |
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#6 |
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![]() Dans son message précédent, Faelan a écrit :
> Bah un des trucs les plus absurdes dans le genre est la règlementation de la > SNCB pour les annonces dans les trains.... > Ce qui compte, c'est le territoire sur lequel se trouve le train. Les > clients, eux, n'ont aucune importance. > Ainsi, sur le territoire de Bruxelles, les annonces doivent être faites dans > les deux langues. Sur le territoire flamnd, elles doivent être faites en > néerlandais, et sur le territoire wallon en français. > C'est ainsi qu'un train direct (ne s'arrêtant pas en Flandre) �* destination > de Liège s'est retrouvé en panne près de Louvain. Et les voyageurs ont été > dans la situation surréaliste d'entendre un accompagnateur de train > francophone essayer d'expliquer en néerlandais ce qu'il se passait �* des > passagers tous francophones.... > Pourquoi ne pas tenir compte des arrêts du train en Flandre et en Wallonie > pour la langue des annonces ? Mystère. C'est le territoire en-dessous des > roues qui comptent... Qui compte... -- F. |
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#7 |
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![]() On Thu, 21 Dec 2006 15:28:44 +0100, Faelan <[email protected]> wrote:
>Dans son message précédent, Faelan a écrit : > >> Bah un des trucs les plus absurdes dans le genre est la règlementation de la >> SNCB pour les annonces dans les trains.... >> Ce qui compte, c'est le territoire sur lequel se trouve le train. Les >> clients, eux, n'ont aucune importance. >> Ainsi, sur le territoire de Bruxelles, les annonces doivent être faites dans >> les deux langues. Sur le territoire flamnd, elles doivent être faites en >> néerlandais, et sur le territoire wallon en français. >> C'est ainsi qu'un train direct (ne s'arrêtant pas en Flandre) �* destination >> de Liège s'est retrouvé en panne près de Louvain. Et les voyageurs ont été >> dans la situation surréaliste d'entendre un accompagnateur de train >> francophone essayer d'expliquer en néerlandais ce qu'il se passait �* des >> passagers tous francophones.... >> Pourquoi ne pas tenir compte des arrêts du train en Flandre et en Wallonie >> pour la langue des annonces ? Mystère. C'est le territoire en-dessous des >> roues qui comptent... > >Qui compte... mais non, au plus de roues.... |