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#1 |
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![]() .... pour les soldats de la VIème Armée, la "bonne blessure" constituait
�* présent le seul espoir de quitter le Kessel de Stalingrad autrement que mort ou prisonnier des Soviétiques. Dans l'armée allemande, l'automutilation volontaire - comme le fait de se tirer une balle dans la main - avait toujours été un exercice périlleux, qui pouvait valoir le peloton d'exécution �* son auteur - le personnel médical étant passé maître dans l'art de distinguer le vrai du faux, et les chefs de pelotons s'avérant fréquemment fort tatillons. Mais �* Stalingrad, en ce mois de janvier 1943, cet exercice s'avérait d'autant plus risqué que la blessure, volontaire ou non, grave ou pas, était loin de garantir la survie. Il fallait d'abord parvenir jusqu'au terrain d'aviation de Pitomnik, fréquemment sous le feu des Soviétiques, puis attendre, par des températures de - 20 �* - 30 degrés, qu'un médecin surmené vous délivre le précieux visa d'évacuation sanitaire... lequel ne garantissait en rien la présence de l'avion de transport : du 23 novembre au 20 janvier, la Luftwaffe évacua en moyenne 417 blessés par jour, mais certains jours, il n'y avait pas d'avion du tout. Dans ces conditions, la différence entre la vie et la mort tenait quasiment de la roulette russe "C'était, devait raconter un officier (...) les hommes légèrement blessés et restés mobiles qui avaient le plus de chances de s'en tirer. Dans la carlingue (http://bp1.blogger.com/_VsNSi_tHDW4/...1600-h/111.jpg) d'un Heinkel (1) il n'y avait place que pour quatre civières, mais on pouvait entasser vingt hommes debout. En conséquence si vous étiez très grièvement blessé, ou trop malade pour pouvoir bouger, vous étiez pratiquement mort" (2) (1) le Heinkel 111 était un bombardier fort mal adapté au transport (2) Beevor, page 455 -- Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...", sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/ "Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau". |