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![]() Hier, l'Académie des sciences a organisé une «conférence-débat»
consacrée au climat. Elle était animée par un proche de Claude Allègre, Vincent Courtillot, directeur de l'Institut de physique du globe (IPGP), auquel l'ancien ministre appartient, et Bernard Tissot (défenseur de la thèse du GIEC). Le sujet a attiré du monde. Principale pomme de discorde : l'origine du réchauffement. Jean-Louis Le Mouël a représenté la voie des «sceptiques», mettant en avant le rôle des variations d'activité du soleil, du volcanisme, des rayons cosmiques ou du magnétisme, plutôt que les variations de CO2 d'origine humaine, pour expliquer les variations de température. Édouard Bard, professeur au Collège de France (CNRS-Cerege), a répondu point par point �* ces arguments. Puis, les questions ont fusé. Pourquoi le Groenland était-il vert jusqu'au milieu du XVe siècle et aujourd'hui recouvert de glace ? Une météorologue de Paris-VI s'interroge : «Pourquoi les sceptiques croient-ils autant �* 1/6e de watt par mètre carré dû �* l'effet du soleil et mettent-ils tant en doute 2,4 watts par mètre carré dus �* l'effet du CO2 ?» Hervé Le Treut réfute les arguments de ces derniers. Pour lui, la charge de la preuve incombe désormais aux sceptiques. Marie-Lise Chanin, membre de l'Académie, surenchérit : «Je suis très gênée par le fait qu'il existe une compétition entre les causes an�*thropiques du réchauffement et l'effet du rayonnement solaire. Les deux coexistent.» Au-del�* du débat scientifique, une bonne nouvelle : il n'est plus interdit d'être CO2-sceptique. Cela tombe bien. |