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![]() On 31 mar, 09:05, Michel Catudal <[email protected]> wrote:
> La diminution du nombre d'enfants est une réponse �* un abus de pouvoir de la religion > catholique au Québec et un besoin des femmes Québécoises de faire autre chose que des > enfants toute leur vie. Que de sornettes ! La natalité est tombée dans tous les pays après les années mêmes ceux qui étaient protestants (pire même), orthodoxes (Grèce), musulman (Tunisie par exemple) et athée officiellement (la Russie, l'Europe de l'Est). Cette histoire d'Église catholique coupable est vraiment du domaine du "mythe" fondateur du Québec moderne (le pays parmi ceux avec le plus de suicides, le plus d'impôts, d'avortements, etc.). Cette dénonciation est vraiment nullissime, on dirait le nouveau chapelet des Québécois progressistes ce pays qui prend pour le phare de la modernité et qui meurt donc un peu plus vite que les "rétrogrades". Ce pays qui ne parle même plus défendre le français ce qui le caractérise, tout cela par "ouverture" dévoyée ! Les femmes québécoises pendant tout le XXe siècle jusqu'en 1970 n'ont guère fait plus que 4 enfants en moyenne (oui, je sais on croit que toutes les femmes avaient 12 enfants ou plus). Elles faisaient bien autre chose que d'avoir des enfants, elles travaillaient aussi par exemple. >Si Robert veut en porter il est bienvenu. Il n'a aucun droit �* > vouloir forcer les femmes �* porter plus d'enfants qu'elle n'en veulent. Toujours la même litanie idiote. En réalité, les enquêtes prouvent que les femmes veulent en moyenne un enfant de plus qu'elles n'auront. Elles n'auront pas cet enfant parce que cela coûte cher (surtout par comparaison avec les stériles qui bénéficieront des contributions des enfants des autres) et c'est le coût comparatif qui influence les comportements. Il faut donc aider plus les femmes qui veulent avoir plus d'enfants -- pour utiliser votre rhétorique lycéenne : "vous n'avez aucun droit de ne pas aider ces femmes qui veulent plus d'enfants" -- et imposer massivement les stériles qui bénéficient de l'État providence mais qui ne pénalise pas leur stérilité alors que cette stérilité �* un impact nocif sur l'État providence dont la base de la répartition est un sain équilibre numérique entre les générations. |