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![]() attention fu2 pourrave ...
... maintenant TU met TON prix dessus et TU le vend, c'est TA vie et c'est TON bouquibn, secto-truc. lire -> C'est pas une psychanalyse c'est un scénario pour polar d'introvertis, ils m'ont sauvé d'un handicap qu'ils m'ont jamais trouvé en m'en faisant un film .. relire -< Et qu'ils me fassent pas chier parce que dans leur film il est dit partout que c'est moi qui l'aurai fait tout seul .. qui l'aurai fait .. quand j'y serai plus ? Oh j'ai pas fait ca, moi, je l'ai subis, je l'ai pas fait, en plus ils disent que c'aura pas été moi, alors je devrais me prendre pour un autre ? dedans ou après ?? ? ? ? ???? ???? ??????? H E I N ? On s'y met maintenant ou en attend encore un petit peu avant de me taxer d'Acteur ? Quand j'y serai plus il faudra rien me demander (), je suis pas disponible pour ce genre de conneries, ni dedans ni après, voil�* pour les parasites, les autres sauront où me trouver je vais pas finir hermite. Ils m'annoncent la vendatte �* mes posts .. venez ecouter devant mes fenetres et envoyez-leur les flics et la grosse psychiatrie si vous m'entendez encore gueuler. Ceci est bien sur la vendetta �* leurs délires pseudo-analytiques subis encore cette nuit entiere, hier toute le journée sauf périodes d'événouissement - ils vont aller dire que je dormais c'est pas vrai même si ca a duré des heures j'étais dans les vaps pas dans un sommeil normal - , tous les jours et jour et nuit c'est toujours de pire en pire. Alors vendetta bande de cras, les menaces c'était avant, si VOUS le désirez on se rencontre ET on s'entre-tue: pas de problêmes ! Pour une rencontre tout court ca va pas être une partie de plaisir, on la fera courte ! On sait jamais �* qui ca s'adresse mais il y a en a qui savent qu'ils doivent le prendre pour eux. Ces mythomanes par procuration: j'ai pas voulu être celebre bande de nazes, je vous rend le jouet que vous m'avez fait vivre: votre yoyo. Povre tache, tiens voil�* du bouquin. Povre tache, tiens voil�* du bouquin. Povre tache, tiens voil�* du bouquin. Povre tache, tiens voil�* du bouquin. Povre tache, tiens voil�* du bouquin. Povre tache, tiens voil�* du bouquin. Povre tache, tiens voil�* du bouquin. 5, la suite: ca va jusqu'au 8 le reste c'est du complément, il faut occuper ses journées, ses nuits, ces week-ends, ses vacances, il faut s'occuper 24h quand on est en prison. 5: ecrit en 10-11-12/2006, pas relu. Pontumas, mythe et Mésopotamie ci-dessous entre deux [ ] jet rapide, ne sera pas plus corrigé, contient quelques imprécisions et indiscrétions. Laissé tel par complaisance �* mes co- rédacteurs, passage rédigé rapidement, contient quelques insouciances et incertitudes. (si n’apparaît: passage coupé, censuré). Pertinemment et volontairement fouillis pas plus sctucturé qu’au strict nécessaire �* sa bonne compréhension, est personnel et impliquant, pose quelques questions partiellement répondues par réflexions qui si pas trouvables dans ce paragraphe sont partiellement présentes et disséminées dans ce document - les interrogations qui viendraient ou resteraient au lecteur ne doivent pas être répondues précisément, vf. implications et vie et (psych-) analytique purement privé(es). [ Peu après l’installation pirate par qui, de matériel tout aussi pirate caméras thermiques et micros ainsi que micro enceintes qui n’ont que peu servi avant d’être supplantés par le retour de la *, on m’a lofté durant un temps ou l’on m’a fait croire �* un prévisionné retour proche vers mes occupations professionnelles, de moi jamais vraiment accepté mais pris comme sortie possible, comme échappée vers des explications, cette conviction qui ne ma jamais quitté que dans tout le respect du temps passé professionnel et celui que j’ai toujours gardé pour le presque totalité de mes collègues ainsi que pour mon employeur il eut été erratique et déplacé de penser ou de vouloir retourner y travailler, il m’était laissé �* penser que l’esprit des loftants etait de me sauver de cette mise �* l’écart immiscée par protection pas encore précisément laissée comprendre �* moi et comme temps d’éclaircissement du pourquoi et comment j’avais pu rencontrer et avoir relations avec une fille largement mineure et bien plus jeune que moi, il était évident que dans l’esprit de personne je n’avais abusé d’elle ni n’avais - jamais - cherché bien au contraire �* avoir relations avec quelqu’un de si jeune mais bien que, rencontre fabriquée ou pas �* but de me voir finir en prison ou pas et devenir comme quelque viande �* la disposition de prisonniers, il s’agissait �* la fois d’un accident circonstanciel / evennementiel et d’une volonté conjointe de nous deux de vivre ce que nous avons vécu; il était clair dans mon esprit et cela était confirmé par une garde non hostile mais désireuse de comprendre et d’analyser qu’elle pouvait être soupçonnée, considérée d’avoir été précoce et pleinement désireuse ainsi que inductrice par quelque fabrication de circonstances des événement qui nous étaient reprochés; �* l’évidence et pour ma part �* n’en pas douter nous avons été �* la fois rapprochés par l’entremise de qui �* la fois nous n’avons eu de sentiments ou d’idées autres que celle d’une normalité des choses dans le vécu de notre relation nonobstant je ne peux expliquer comment la différence d’âge qui était entre nous deux si ce n’est pas le fait de son inconnue, je ne peux non plus présager de ces intimes convictions �* ce sujet mais il est évident que si précoce et quelque peu instigatrice et menteuse elle avait été elle n’était pas quelqu’un �* vivre cela par esprit malsain ou mal intentionné, il s’agissait de sa personne et de celle de moi si peu connu d’elle mais on ne peut présager ni de malsain ni de volonté de malfaisance dans la personne d’une adolescente se prenant �* vivre une relation �* caractère (que l’on me suggère en tout humour et tout honneur) mythique, le savait-elle, (allusions personnelles et privées) que de plus on aura eu �* rapprocher plus tard au fait que nous avons de tout le temps de notre communauté été cinégraphiés, l�* aussi le savait-elle je ne peux le dire mais si cela était de son fait cela ne m’émouvrait ni ne me choquerait plus que ca, je ne peux toutefois réellement le soupçonner, cette allusion tout en respect et dans l’humour �* la mythologie se complète par l’évocation de traditions ancestres pratiquées dans des contrées dont justement elle est pour moitié et ce par les origines géographiques de son papa, originaire, contrées communément dite être le berceau du monde où comme on peut l’apprendre en se documentant il était de coutume d’organiser et de faire se dérouler devant un certain public non pas pirate mais restreint privatif et en cotoiement direct - en spectateurs -, de se faire dérouler la première rencontre d’un nouveau couple, la traditionnel complet voulant que chacun des partenaires n’eurent pas eu de préalables. Cependant que l’on m’a en plus fait un très rapide procès pour abus, et ce par Pontumas moi drogué par je ne sais quoi du fait de je ne sais qui qui se sera introduit chez moi grâce aux clefs du père propriétaire ou remises par lui; au préalable et dans mon domicile précédent ma propriété du temps de mes activités professionnelles on s’était déj�* introduis par le même genre de facilités pour y pratiquer truffage et aussi empoisonnement; drogué et hypnotisé par un loftage incompréhensible, surréaliste; procès expéditif aux intervenants non identifiables s’effaçant rapidement sur l’annonce d’une sentence; je n’ai rien compris �* ce procès, j’étais défoncé et le système électronique ne s’était pas clairement déclaré �* moi, encore moins les intervenants, pas plus qu’ils n’ont jamais désigné cette activité comme étant un procès et durant laquelle j’ai été très peu sollicité, �* mes yeux mascarade situationniste, hérétique et abominable loftage pirate supplémentaire �* tout le pistage déj�* constaté et subis; je préférais fumer des pétards - dont il faut constater après coup qu’ils étaient parfois faits de produits pas toujours que ceux naturels et inoffensifs auxquels je désirais me limiter, parfois truffés comme par exemple ma cafetière �* réserve de café qu’on �* plusieurs fois piraté, que de m’intéresser �* savoir, �* chercher qui aurait bien pu être en train de faire quoi sachant pertinemment - je suis informaticien et non un imbécile écervelé - que je ne le découvrirais pas; des gens ayant décidé de ne pas se montrer n’aillaient pas me permettre de les trouver, ils ne se sont même pas identifiés, �* peine suggestionnés comme étant une magistrature (!) travaillant en secret et �* des heures impossibles, je n’y voyais que possibilité tout comme possible du contraire et bande de pirates ou d’amis me faisant fabulation. Où, physiquement et géographiquement se trouvaient-ils je ne le sais toujours pas. Fin du procès par Pontumas moi y présent drogué et hypnotisé, on m’a �* son terme immédiatement dit condamné, par bruits par paroles distantes de voisinages. J’étais le seul concerné de qui savait directement ou par ébruitements �* ne pas avoir compris ce qui s’était déroulé ce soir ou cette nuit l�*. ] coupé: s’ils étaient de mes connaissances ... * Qu’en eut-il été si j’avais rencontré quelqu’un de majeur: ils auraient eu de simples films porno, non- taxables de pédo, et toujours un cobaye pour leurs agissements [dvc²]. Sans compter et sans savoir qui d’autre que moi était victime, déficienté, accaparé ou victime de toute autre forme de manipulation et de surveillance sur lieux publics, professionnels et domiciliaires. ² Rien ne suffit �* qualifier de tels agissements, l’aspect psychanalyse de ce relat ne doit pas faire croire que je serais �* accepter que l’on me fasse le pire tout au long de ma vie; ce récit n’est �* prendre ni pour acceptance ni pour pardon - ni pour demande de pardon de rien mais pour explications de ma part sur moi-même. Il est une trace et le moyen de comprendre, pour tout qui aura été concerné ou qui sera amené �* prendre un jour connaissance de faits y relatés, possiblement par la découverte de cet écrit qui dans ce cas se suffira �* lui-même et dont devra se satisfaire et se contenter son lectorat, cette histoire est amenée �* être oubliée même si gardée pour acquis de connaissances généralistes, personnelles ou technologiques. ² Ce document ne peut que partiellement se préparer �* potentielle divulgation, il ne peut parfaitement s’en prémunir - il est auto- dénonciateur donc dangereux pour lui-même autant qu’indispensable, il est psychanalytique de tout ce qui et de tout qui y est évoqué. ² Il inclus des objets non- divulgables dont chacun doit désirer qu’il ne seront pas plus extériorisés, ce document cache des secrets et chacun de ses lecteurs devra par conscience, et par projection pour lui-même et pour autrui, tenter de limiter �* lui-même sa lecture. En ne le diffusant pas, en ne le reproduisant pas, chacun ne peut pas agir plus �* ce but, cela fait partie de la notion même du secret. Il est �* lire, pas �* faire lire, le lecteur doit en prendre conscience. Bien que après gros correctifs en cours cela pourrait changer et me laisser le publier - sous anonymat qui sera révélé si le besoin se fait et pour ma protection, voir publication qui serait rendue obligatoire pour faire cesser ceci, pour stopper qui n’aurait PAS ENCORE COMPRIS QUE TOUT CELA DOIT CESSER. * Il est, en marge, clair et pas �* cacher qu’il s’agit d’un travail commun, rédigé in situ et participé par des intervenants connaissant, si pas chacun au moins par effet de groupe, précisément le contenu de ma prison et celui de ma vie, l’implication des personnes intervenues durant le temps que j’aurai passé �* vivre sous surveillance, prisonnier protégé tout �* la fois cobaye pour le bien commun et public en découverte de [dvc²]. coupé; scientifiques et médicales $ A maintes reprises l’on s’est présenté �* moi dans ce qui allait se révéler être ma prison comme loftants, amis, de mes anciennes relations soupçonnées de m’avoir aux prémices lofté inclus pédographiés, d’aucuns ont fait amalgame que j’ai toujours dénoncé, car c’est mon état d’esprit et ma pensée que des gens qui m’ont fait ca ne peuvent être de mes amis ou n’en sont plus. Mes autres relations éventuellement la société dont je faisais partie sont victimes collatérales tout comme famille de qui prétendument abusée; $ on peut facilement comprendre que l’on en aurait pas été �* quelques contradictions près dans le but de faire passer la pilule des premiers agissements loft en me faisant passer pour douce imbécile victime, devenue complice et en accord d’une farce ayant dégénéré, ces gens l�* ont du avoir du mal �* retomber sur terre et �* admettre les faits. coupé: * Ils sont tombés sur plus fort qu’eux ... , petits; cons et bandits. ===== * En cette fin annoncée de séquestration par la rédaction coopérée de son contenus, de ses tenants et hypothèses d’aboutissements, mes gardiens appliquent quelque peu un méthodisme visant �* me faire relater en me les resituant, les événements. Il en a souvent été ainsi de l’utilisation de méthodes (psych-)analytiques. ² La forme et le contenu de ce document répondent, sans pour autant que l’on s’y attarde en le rédigeant, �* de subliminales insultes d’avant loft, sussurages que l’on attendrait de moi ce qu’on appelle communément un livre, de moi sur moi et tout le monde et tout du Monde, pas seulement relatant les prémices, la fabrication et le contenu de ce qui, sans que je ne le sache alors, allait être une tranche de ma vie. Des personnages usant tant et tel du subliminal ne méritent pas qu’on s’attarde �* les satisfaire par un travail de rédaction ni �* plus les trouver par psychanalyse �* contrario de considérations; tout au plus pour leur (ego?) mériteraient-ils un abonnement gratuit �* une consultation de psychanalyse [on laissera soin aux psychologues de se juger utiles ou nécessaires �* en complémenter le travail]. En cas d’hostilités qu’ils restent avec la menace de se le voir injonctionner et cette fois �* leurs frais et qui leur serait imposé comme Thérapie, les déclarant de facto comme souffrant de pathologies susceptibles d’ incommoder au bien publique dont ils se feront soigner - cela est valable pour bon nombre d’impliqués. * J’ai récemment annoncé qu’en cas de non ouverture j’irai le vendre sur la rue pour arrondir les fins de mois de ma précarité et dénoncer les faits par la même occasion, chose impossible et interdite mais pas moins que le contenu et les prémices et les fabrication des années qui viennent de m’être comme volées par des bandits et dans le non-dit, instigation au moins complicitée des (anciens si rétractés) sectaires dénigreurs et staliniens menteurs responsables de mon historique, potentiel scientifique relégué au banc d’handicapé, déficienté mental pour cause d’encombrement. Ils ont recommencé avec [dvc²]. * Si de moi vengeance il doit y avoir ce sera par la vente et la distribution en rue de ce document augmenté des références placées sur Internet sans qu’on puisse y faire relation.Ceci n’a pas existé �* moins qu’on m’oblige �* le divulguer en ne me libérant toujours pas, sachant que peu avoueront et que je serai logiquement mené si tel n’est pas déj�* prévu �* m’éloigner et �* trouver protection - il est possible aussi que pour étouffer et extriquer ce qui ne l’a pas été, pour qui ou me concernant, en privé je sois amené �* re- fréquenter anciennes relations, il ne faut pas trop y compter. * Il est probable qu’il soit préférable [je ne peux en présumer totalement in situ] pour eux qu’il aient passé l’éponge sur leurs prétentions �* être “de mes amis ayant voulu me faire une farce, un film”, de même que s’ils prévoyaient mon enrôlement dans une organisation en grand secret [dvc²] ils ont compris depuis longtemps qu’il n’en aurait jamais été ainsi. Etaient-ils de propension �* se la jouer �* la façon d’agents secrets, péteurs de plombs au sens psychique du terme mais aussi au sens propre, par arme �* feu ou autre fabrication aboutissant �* mon décès, cas échéant �* celui de parvenir �* me déficienter pour me prétendre leur acteur, eux véreux cinéastes improvisés, voir �* cumuler le tout par le décès accidentel dans un faux film de leur acteur handicapé. [projection analytique de banditisme ... dans l’inconnu de leur fondement, de leur identité de qui ou de chacun, des origines premières ou devenues de leur activité]. Giscard �* désavoué son cinéaste, je dénonce le prétendu mien. ===== Xyz C° * Ils ont fermé leur unité r&d, satisfaction. Je ne sais si les débordements de mon loftage et surtout son contenu analytique auront eu quelque influence quand �* la fermeture de ce laboratoire pseudo pharmaceutique, quoi qu’il en soit je suis heureux de constater que l’unité de recherches et développement de ce fabricants de trips, neuroleptiques et psychotropes, a récemment fermé ses portes; on conseillera au personnel chimistes limogés d’aller constater les dégâts de leur ex-activité auprès des consommateurs légumisés, pour contre balancer la peine qu’il leur est infligée par la perte de leur emploi. Gageons que pour parfaire �* la disparition de leur labo de r&d fut-elle camouflée en retrait volontaire il s’en suivra la fermeture des unités de production, ainsi que la dé classification de leur produits auprès de la sécurité sociale, serait applaudis des mains et des pieds par toute personne connaissant le caractère crapuleux des effets de tels produits sur le cerveau et le corps humain [aux chiottes l’acide et la littérature]. ===== Putain ... cf. il ne faut pas dire merde, bordel, chiottes et vas te faire foutre. ² Il n’est pas mérité que je sois plus précis, plus littérraire, ni que je me fatigue �* me remémorrer plus les détails, faire plus de précisions, relater ni dénoncer plus que ca ce qu’il s’est passé durant les six dernieres années. Tout est interdit, innadmissible, et insupportable, beaucoups protecteur et pas �* donner; �* ne pas mettre au profit non-plus, que ce soit par acceptance, analyse, relat, ne pas apporter cadeaux ni crédit �* tous ceux qui depuis avant ou depuis cette prison loft me sont hostiles, m’ont aggressé, cassé, cobayé, salis, ont mentis dans l’attente de me voir céder �* qui �* quoi, ont induis la subissance ou sont exacteurs, ont tenté de justifier le pire subis sous le couvert de tests, de démos, de drill, de noyage du poisson, en résumé de tromperie d’autruis et de foutage de gueule pur et simple de moi-même, ont travaillé �* me faire passer pour un simple et disponible pourquoi pas désireux content et fièr de telle épopée dont ensuite il remercierait ses bourreaux, terroristes et tarrés tortionnaires, tortureurs; pas beacoups plus que je ne dois, ni même en collaboration m’étendre �* analyser encore et encore les quelques personnages qui m’auront dénigré tant, que d’aucuns auront vécu tous les doutes �* mon sujet. [Cf. l’intitullé du paragraphe, d’aucuns dans leur langue maternelle usent du plus percutant ... “fuck”] Putain ... 2 ² En suites de ma séquestration presque terroriste nous aurons autre chose �* faire que de nous laisser manger la vie par des connards et des salops, on nous en aura assez mangé comme ca, tellement qu’on pourrait nous suspecter d’avoir �* / de vouloir travailler �* nous en venger, cette idée - faut-il la citer et le préciser est fondamentalement psychanalytique et doit être émise en dénonciation de ce que l’esprit cras de ceux qui ont cautionné, ou induits ou saloppé jusqu’�* saborder le temps de ma séquestration pourrait aller suggérer pour encore agresser les victimes qui sont mes sympathisants. Pour se prémunir il faut les soupçonner d’avoir griefs face �* qui, de part possession d’une cervelle en état de marche, ne pourrait oublier ce qu’il s’est passé. Que tout un chacun s’en tienne �* cet avertissement, pour se prémunir de ce qu’on aura appris qui est que certains énergumènes sur terre sont des tarrés sans limites �* l’exaction, �* la manipulation pour se préserver d’en être taxé, trouvés, rejetés, punis. * Que les tarrés restent calmes et ne se laissent pas aller �* croire que l’on serait �* passer le reste de notre vie �* les courser. S’ils se montrent en hostilité ils seront attrapés, en excuses ou faux amis ils seront reconduits. Mes amis * Interventions crapuleuses durant mon déménagement préalable aux faits, vraies salopperies et conneries, les premiers loftants ont truffé ma voiture avant de me faire chasser de mon premier domicile; une bande de cons prétendus amis (par qui, par pur situationnisme je l’espere, visant �* recevoir mon avis et mes eventuels doutes sur eux et leurs activités et intentions) qui usaient d’un gsm �* réponse automatique et probablement �* caméra déportée cachée dans ma voiture - ou autre caméra dôme ... me faisaient des ‘coucou on est l�*” depuis des 4x4 et autres grosses voitures aux vitres noires me cotoyant sur autoroute. Etaient-ils dans ces voitures, ils auraient pu me tuer par leur loftage imbécile et aggressif poussé jusqu’�*, en complément de leur recherche préalable en moi de retours de trips, me suggérer que j’avais au volant de ma voiture des hallucinations visueles et auditives, faire croire ouvertement que je vivais des trips au volant de ma voiture ou que j’étais simplement “handicapé” ce qui ne veut rien dire. Des salops dont certains sont gras du bide ou cons du bulbe de ce qu’ils s’empiffrent de bouffe et de pinard payés au restaurant en chèques-repas, faisant des conneries comme celles relatées aux lendemains de descentes de bouteilles de gnôle malodorante et abêtissante. Cet exemple parmi tant d’autres laisse a comprendre qui normalement constitué que je suis peu enclin �* recevoir explications d’instigayeurs et activistes de telles imbécilités préparatoires �* me fabriquer acteur handicapé. Retour de Légumie, contrée lobotomiste, la suite au tribunal. Typiquement sectes et bandits ² Des gens qui font ca sont communément désignés par les appellations de sectes, d’agents secrets ou de truands, typiquement ils sont individualistes et ont des buts et justifiants qui �* chacun leur sont propres, typiquement ils peuvent paraître solidaires mais sont manipulateurs chacun des autres ou inconscients de leur enrôlement au moins du danger qu’ils courent, de la part de leurs complices comme de leurs victimes qu’ils ne manqueront pas de faire passer pour débiles, psychopathes, ou amis �* qui on a fait une farce aux prémices de ou après vendetta. Ils finissent typiquement dans l’indifférence générale voir la satisfaction de qui sait quoi d’eux, par se retourner les uns contre chacun, voir pire et cela n’émeut alors que les plus clairvoyants et humanistes qui refusent pourtant toujours les pires aboutissements, par s’entre- supprimer; comme dans toutes sectes ou organisations criminelles; secrètes et malfaisantes ou accaparantes et activistes pour leur seul profit personnel, fallacieux et anti- communautaires. Il en est, des mêmes parfois, qui crient �* l’inadaptation de �* qui ils s’en prennent (NDR moi perso), bien sûr par soucis d’accaparation par relégation �* taxé de pauvre et doux handicapé sinon d’hostile psychopathe, dans toute l’intimidation, dans le soucis de les faire taire par tous les moyens, inclus celui de les rendre incapable de comprendre ce qu’il leur arrive, de préférence en tout sectarisme en extériorisant �* besoin des idées et considérations si pas usant, profitant, de faits fabriqués pour les faire passer pour ce qu’ils veulent qu’ils passent, handicapés par exemple qu’ils veulent sauver de leur déficience en les gardant en leur sein, ils sont sales et dangereux. ² Ce type d’agissements envers moi a aboutis �* me faire vivre cinq ans durant sous totale surveillance, psychanalyse publique, pression constante, menaces vraies noyées dans des fausses le tout camoufflé sous l’apellation de situationnisme, rajouté d’une projection, d’une prétention, de récupération de moi par ces mêmes personnages, en d’autres termes sous la menace de la réaffectation de ma personne �* un potentiel de futurs recommencements précédé d’une nouvelle vie de mensonge, de re- légumisation. Mafiosisme psychologique; par définition pathologique, au sens de maladie. Tout cel�* est leur vie, pas la mienne. ² Typique. Les pires emmerdeurs psychologistes réfutent et exigent toujours et toujours plus d’être trouvés, expliqués, réfutent évidement toute critique ne fut-ce qu’analytique de leur activité de fallas situationnisme, de ceux de leur entourage qui un jour les en dénoncent, ou de ceux qui les trouvent et les interpellent au nom des victimes. Ils n’ont pour sortie que de forcer leurs victimes �* s’empêtrer dans leur dénonciation jusqu’�* y trouver �* dénoncer qu’ils sont trop, quantitativement et qualitativement, dénoncés, s’ennorgoeuillent d’être si fortement détruits, si bien expliqués, par une dialectique �* laquelle ils obligent tellement leurs opposants tout en les limitant �* l’usage de ce seul moyen si naturels humanistes et non guerriers, qu’ils parviennent par acharnement un jour et finalement �* instaurer un climat d’hostilité, toujours extériorisant ce sentiment d’étonnement qui dénonce et qui est propre �* leur malséance maladive refusance de s’avouer coupables d’abus et de pousse jusqu’�* placer en obligation autrui �* les clouer. Par civilité leurs opposants s’en tiennent au verbe, mais tout qui sera seul ou insuffisamment performant face �* telle contre- humanisme se trouvera perdant d’une guerre indéfendable qu’il se sera fendu de tenter d’éviter tout obligé �* la pratiquer. Ils sont fouteurs de guerre et négationnistes, ils sont fouteurs de guerre par négationnisme. ² Dans le cadre da ma prison psychanalytique les membres de la secte en sa part de psychologistes sont des jusque boutistes qui ne lâchent leur proie qu’après défaite de guerres qu’ils instaurent, en fait ils ne les lâchent pas puisque, vaincues, les victimes sont récupérées. In situ c’aura été moi, par situationnisme ou réellement cela n’a plus d’importance vu ce que j’y ai subis et qu’ils ont induits par leur fallacieux désir de me voir apte �* faire face, �* qui mais �* eux-mêmes, durant ma vie des deux décennies passées. ² Cette bourgeoisie se protége, par sa psychiatrie et ses prisons par la menace de leur livrer leurs victimes, de tout débordement �* même d’incommoder leur vie personnelle, cad. de qui sera �* même de les contrer autrement que par la méthode qu’ils injonctionnent comme seule arme �* leurs opposants et victimes, le verbe. Ils sont en recherche de ses meilleurs et plus pertinents développements, quand ils les reçoivent ils les récupèrent et font front en l’occurrence et au pire �* qui les leur aura ainsi donnés. Ils ne méritent même pas de se faire trouver mais ne lâchent pas avant d’avoir été démontés. Ils usent sciemment de leur incompétence �* consommer leurs semblables. ² L’injonction et la colonisation sont synonymes de communisme dont, dans un environnement libéral et capitaliste, ces énergumènes se complaisent �* faire arme envers des victimes, obligées sous peine d’être décrétées par eux-mêmes handicapés nécessitants, de leur accusation au pire du danger pour ces bourgeois, la rééducation, quand victimes extériorisent prémices �* capacité de dénoncer leurs séquestrateurs agresseurs. Cas personnel vécu depuis que famille secte �* ouvert un livre de psychologie qu’elle sait maintenant que quand elle le comprendra elle aura perdu la guerre par le fait d’avoir été remise �* sa place: hors de mes fréquentations. Accessoirement elle trouvera enfin dans le simple fait de l’existence de ces livres cons la raison de son sectarisme. ² Reste que quand on regarde son petit frère au berceau et qu’on prononce �* sa mère des paroles comme “non, j’en veux pas”,on ne s’étonne pas plus tard d’être trouvé, en âge instruit et addict incompétent de cette pratique, en celui qui aura induit qui d’autre �* taxer le dit petit d’anormal �* protéger - le temps de lui trouver une pathologie. ² Trouvés démagos en ce sens qu’ils me voulaient (le) meilleur �* leur expliquer cela, encore dénoncés secte, obtus au sens qu’ils auraient aimés constater que je les aurais pardonné par le vécu de mon acte injonctionné de faire leur propre psychanalyse, et ainsi pouvoir me récupérer, me voir les défendre jusqu’�* les réhabiliter. Mais l’activité dénommée psychanalyse ne pardonne pas, elle explique et exprime, quitte �* trouver qui aura fabriqué par ses dires la destruction de membres de sa propre famille, qui l’aura accepté quand pas seulement constatée, jusqu’�* leur attirer hostilités publiques en les donnant �* celui-ci (public) par l’entremise d’une prison loft privée, trouvée protectionniste mais toujours pirate et tant hostile vis �* de son occupant. ² Ils m’ont donné en place publique �* me défendre d’être le handicapé mental qu’ils prétendent, me prévisionnant ouvertement de devenir leur bon acteur dans le cas ou l’on reconnaîtrait ma bonne foi et intégrité, leur bon acteur simulant alors son intégrité, inconscient de son acte s’il y parvenait car obligé pour cela de les expliquer ce qui revient �* les dénoncer, au final placé en injonction de choisir de s‘auto- déclarer déficient ou simulateur pour acquiescer �* une nouvelle prétention qui serait celle honorifique de la théorisation voir, si démontrable qu’il y fut trop aidé, �* sa seule interprétation, dans les deux cas il est récupérable, en meilleur ou en acteur. Secte. ² A charge de qui �* fabriqué quoi de retrouver sa part dans ce démontage de l’entreprise commune �* mes détracteurs. Tous ceux qui auront entendu dire que j’allais être, que j’étais, que j’ai été ou que j’allais devenir la chose retirée de mon vocabulaire interprétatrice de sketch et de scripts se sont chacun fait leur raison �* cette prétention, toutes les explications sont valables car correspondent pour chacun �* ce qu’il aura reçu d’information sur moi et ma situation; tous ont compris - mes détracteurs se dénonceront �* ne pas l’accepter - qu’elles ont été soit temporaire protection soit mal-scéante insulte, dépend pour qui. ===== PUBLIES * Au fil du loft au m’aura d’abord bien salis, taxé d’acteur ou de futur acteur ou d’ayant voulu l’être, c’est un situationnisme visant �* faire croire �* qui voulait l’entendre que je vivais comme dans un trip, inconscient de tout, et que surtout j’avais �* être placé sous surveillance psycho- ou para- médicale le temps d’arranger les choses pour moi et me récupérer .. acteur d’un film dont j’aurais imaginé �* la fois l’existence et ma qualité de participant. Immonde que l’on m’a susurré de façon subliminale et sectaire mais que surtout l’on �* fait croire �* qui ne me connaissait pas ou �* qui dont on voulait qu’il doute de moi, de mes facultés mentales, de mon intégrité psychique et intellectuelle, pour récupérer une incrimination prétendument d’abus sur mineure dont on ne peut plus croire qu’elle fut fortuite mais dont il apparaît au contraire qu’elle a été fabriquée au moins induite c’est la même chose, �* buts de me mettre �* l’écart, en thérapie ou en prison, et de découvrir/de développer �* mon insu [dvc²] sans me le dévoiler, quitte �* me faire passer pour un tarré. ² Il est difficile de savoir quand et qui �* tiré les ficelles des premières manipulations / observations de moi chez moi et /ou autour de mon employeur puis de mon loftage, elles furent nombreuses et d’origines multiples. Cédant au sectarisme je serais devenu acteur, ayant cinégraphié le viol de qui, insultant en plus de moi-même tout qui serait resté berné, ou moi récupéré par qui ne m’aurait pas laissé acquiescer; devant mes questions �* ce sujet d’actorisation, de prétention de me faire un film, la secte située n’a jamais répondu, ni démordu jusqu’�* me faire jeter �* la rue par procédure judiciaire, �* mes frais puisque moi débouté, d’expulsion domiciliaire. On fait ca �* ses enfants en Bourgeoisie-Lobotomie, la contrée de ces gens qui viendront invoquer qu’il fallait déménager ma prison sans me le laisser savoir. PUBLIES 2 * Il a été dit au cours de ma prison qu’il n’en verrait pas la fin, cela est en train de se produire, il disparaîtra peut-être dans son silence; de cette façon il ne constatera pas si cela se produit ma fortuite réponse �* ses légers travers rascistes, ma profanation de sa lignée par mélange du mien au sang de fille de qui son père principal envisageable injonctionneur et compréhensible justiciable, elle étant donc pour moitié d’origine mésopotamienne; si �* la suite de ma peine se produit ce qu’il m’a été maintenu constamment en probabilité. Etant évident qu’elle aura été amenée �* être témoin de mon temps de peine il se pourrait qu’elle décide �* ce qu’elle n’eut été que partie remise �* une vie commune - moi encore maintenant dans l’inconnu de ce qu’on �* pu lui dire il y a et depuis cinq ans. * Au cours de ma séquestration, de ma psychanalyse, père chimiste aura pris encore �* sa charge l’empoisonnement de qui; qui souffrant d’une maladie osseuse s’est vue conseillé la consommation de .. corticoïdes par inhalations; je ne suis pas dans les secrets ni n’ai les connaissances médicales mais quand �* cette consommation j’en ai constaté les effets sur qui supposée l’avoir cocufié: en toutes apparences pré- sénilisée, comme devenue junkie; cela n’a pas eu l’air d’inquiéter son entourage. Elle au préalable sectarisée devenue adepte du silence et de la parole subliminale, était devenue victime d’un chimiste fou lui-même drogué aux acides encore une fois pseudo pharmaceutiques, ceux-l�* sensés soulager ses migraines mais qui ne le font que dormir des jours durant. * Dans la dite secte chacun �* sa drogue dure: qui trouvé journaliste au cours de ma vie recluse aura eu ses phases �* l’héroïne, qui d’autre dernier membre celle que l’on m’a au début suggéré avoir violé est une accro du sexe depuis un âge précoce, au moins ne consomme-t-elle pas de produits nocifs ou débilisants. * Pour ma part il est dit depuis longtemps que si mes fumes naturelles ont parfois été pimentées de narcotiques c’était �* mon insu et que ayant compris tous ces produits pour y avoir été confronté je ne suis en rien amateur de telles substances; mes fumes préférées sont pures et douces, naturelles, non édulcorées. Durant une longue période je les ai d’ailleurs cultivées moi-même. En plus de m’avoir dés- hypnotisé elles m’ont nettoyé par l’inhalation de leurs particules non filtrées d’un sérieux encrassement des poumons dû �* vingt ans de consommation de cigarettes; mes poumons en voie d’atrophysation et moi d’asphyxie j’ai durant près de six mois recraché des mollards noirs que j’aidais �* remonter par quelques gesticulations depuis le plus profond de mes poumons, les crachés contenant au fil du temps de moins en moins de crasses pour redevenir d’une limpidité et d’une propreté parfaite sans plus de moucheté révélateur de présence de goudrons, simultanément que je n’ai progressivement plus eu �* constater que la fume de cabanis provoquait encore de telles extravasations, j’ai retrouvé un souffle normal, les douleurs pulmonaires que je constatais facilement �* pleine respiration ont entièrement disparues même dans tout le forçage possible de respiration �* pleins poumons je ne ressens plus depuis lors ni gêne ni douleurs; j’en conclus en termes crus, n’en déplaise �* la médecine traditionnelle que j’ai par la conso de cabanis recraché le cancer de mes poumons, au moins ce qui m’empêchait de respirer normalement a-t-il été évacué; adressé aux fascistes cons qui n’y voient que drogue et anti-conformisme �* des lobbies et �* la bonne convenance, imbéciles squatters perpétuels de la libre pensée, je fuis leur dictature et le psychologisme qui m’aura mangé la moitié de ma vie. PUBLIES 3 ² Loft et prison devenus pathologiques pour ses gardiens par le temps que j’y ai déj�* passé, sans garantie de fin, sans date de sortie compréhensible ni mise sur papier - si la date de naissance de qui est �* prendre en compte dans l’hypothèse suggérée de la retrouver �* sa majorité je ne la connais pas et ce n’est pas �* distance via des télécommunications verbales qu’on pourrait m’en informer ni me rassurer, trop de temps est passé. Rien n’ayant jamais été acté si ce n’est une administration de bien et une expulsion domiciliaire. Ces écritures (ici dactylographiées et complétées durant la retranscription de mes notes manuscrites) seront publiées s’il n’est pas mis un terme �* ma séquestration, de la façon suggestionnée depuis quelques temps et dont j’ai usé de quelques prémices dans ma recherche d’emploi imposée par l’administration caisse d’allocations; si ma prison n’est pas bientôt démantelée j’offrirai les copies de mon manuscrit complémenté de sa retranscription dactylographiée - le présent - sous forme de reliures imprimées pas �* mes frais sur le matériel mis �* disposition par les organismes de recherche d’emploi que l’on m’oblige �* fréquenter, cela sera la version complète et exacte de mon curriculum vitae que j’irai vendre dans la rue, un chapeau fera office de caisse, les touristes y trouveront pittoresque. ===== FLIP AU NEUROLEPTIQUES * Hypnose, bourrage de crâne et neuroleptiques, je m’en vais ce jour l�* �* la rencontre de �* qui dénoncer, sur le chemin on me regarde de travers, sans complaisance, ou est-ce de l’indifférence et de ma part sentiment erroné de concernance; peu engageant comme attitudes, douce hostilité presque perceptible. Des transports en commun inconnus de moi m’emmènent vers une destination imprécise, vers un endroit où j’ai déj�* été mais dont je n’ai pas l’adresse;. Une demi matinée passe, je constate l’échec de mon excursion qui se voulait salvatrice, je suis perdu en lointaine périphérie. La langue locale n’est pas la mienne, il est hors de question poser quelque autre question que celle du chemin du retour, inutile, il se présentera bien l’un ou l’autre panneau indicateur. Des heures plus tard sans avoir rencontré bien d’autre de concret qu’une gare ferroviaire perdue au milieu du strict nulle part, en rasse campagne, et traversé une ville sans en avoir trouvé la sortie j’atterris dans un bus dans lequel bien que hyper ventilé émanait une odeur de neuroleptique, un des acides que je commençais �* connaître et �* détecter �* la moindre présence d’une de leurs molécules �* ma proximité, pour y avoir été confronté plusieurs fois, pendant le loftage et durant les exactions de père Staline chimiste s’adonnant aux expériences para pharmaceutiques sur ma personne sans doute en ce temps trouvée trop agitée, trop consciente pour sa convenance, dans ce bus émanait une odeur d’acide dont c’était loin d’être la première fois que quelqu’un en jetais autour de moi. Certainement les passagers auront-ils eux aussi été incommodés, on va dire drillés �* la présence et donc �* la subissance de ce poison; l’acide �* de particulier que la molécule olfactive est active, ne fut-ce qu’en sentir son odeur traduit d’office que l’on vient d’en consommer. il y en encore pour le 6) ... |