(9) Re: Freud? Une plaie.

On Tue, 3 Apr 2007 15:43:07 +0200, "John" <[email protected]>
wrote:

Votre missive méritait le quotte intégral, je reprend sur

>et que je suis un gros crétin qui s'ignore.

C'est la seule fausse note �* mon goùt: freud - ce connard - a-t-il
inculqué �* ses adeptes, ses clients, ses sujets, �* qui que ce soit
qu'ls sont des cons qui doivent se trouver pour ne plus être cons,

ou a-t-il seulement pris tout le monde en viande pour son laboratoire
le support �* ses écritures, son délire de théorisation qu'il aura fait
perpétrer par "les autant fallacieux que lui", des observateurs qui
savent pas vivre ?

Freud est un gros connard qui a prétendu théoriser le psyché.

Ca sous-entend le normaliser, le classifier, ca aboutis �* créer des
clans, parmi ceux-ci des incompétants qui extrapolent sa methode de
vie et d'écriture: l"observation, la théorisation, ils parasitent
leurs sujets en les forcant �* les (d)écrire, ils les font travailler
pour eux:

voleurs, accaparateurs du temps cerveau / des perfs des autres !

Des .. "connards" qui savent pas vivre, _et, qui obligent tout �* la
fois refusent l'analyse de leur cas.

On va finir par trouver des cons dans le clan des freudiens / on va
finir par reclassiffier les freudoliens en vrais adeptes de ce qu'ils
érigeront alors

en une religion,

pour qui une secte: colonne "parasitaires".

* plus cons sont ceux qui justement ne demordent pas de prendre ses
délires pour des théories que pour preuve (pas de leur connerie mais
de leur erreur) le plus ouvent ils ne comprennent pas: et pour cause,
freud n'a pas toojurs voulu théoriser, il a fait plus d'essais que
d'aboutissements. Mais tant de conneries que .. on retiendra que
c'était un ringuard de sa bourgeoise, illuminé par son titre
professionnel doublé de ses dérives et travers psycHO, il s'est sauvé
de cette accusation en érigant la psyK.

Les .. "socialistes" décretent ses travaux (sic) pour vérité, pour
présence obligatoire: la secte des social-capitalistes.

++

guillemets:

J'ai deux décénnies d'expérience de ce que vous décrivez, mais moi
jamais on ne m'a pris pour un imbécile, bien au contraîre je suis le
singe intelligent d'un imbécile qui prétend voir des "émminences" en
tous ces (ses) psy-qquechose-professionnels - amha il les prend pour
les ours qui ont vu freud himself;

pris pour un bonobo - singes utilisés dans des laboratoires américains
où ils ne "parlent" pas mais écrivent au clavier et inventent des mots
pour décrire de nouveaux concepts ou décrire leur perception de
choses;

un despote donc qui m'a pris pour son animal intelligent qu'il s'est
appliqué �* destroyer �* la chimie thérapeutiqu^m^m étranglement je
voulais dire pharmaceutique pour l'étudier, cad. étudier sa perception
des choses avec et sans chimie, avant pendant et après perpetuelement
en boucle et �* redondance, la peur venant (car) �* constater que
l'animal allait se rendre compte .. un jour .. qu'l avait été endormis
pour servir avant pendant et après .. de cobaye.

Ce faisant il comparait ma vie �* celle de gamins d'institutions de
protection de l'enfance et des handicapés mentaux qu'il fréquentait en
toute errence �* titre professionel dont il n'aurait pas du s'affubler
mais quand on rate ses études de psychologue on trouve pas toujours de
sortie .. encourrageant par le relat stupide* de ses lectures
freudiennes et doltesques mon tuteur �* me chimiquer et �* ma
psychiatriser. Despote, le mec ? Faussement dépressif chronique rongé
par la jalousie de ne pas être le seul mâle junior �* la maison, junkie
�* ses heures de perte, fumeur de shitt qui fout la parkinson sauf �*
lui et ses potes ... mais qui presque flippe �* l'idée de fumer un
pétard d'herbe pure ... le truc est: "qui flippe de .. en la présence
de son animal ...", qui fait son ahuris �* la lecture de mails cryptés
par pgp - qu'il ne peut, par conséquence des options
perverses(scinisme) utilisées, ni imprimer ni dupliquer �* l'attention
de sa pchychiatrie pour faire analyser le courrier qu'il recoit de son
animal.

c'est chiant de raconter sa vie, �* charge de ce genre de personnage
d'avoir recu tant matière et/�* rencoeur que le faire les accable, les
démolit,

on en aurait presque peur de recevoir le faire-part de leur suicide -
mais peur aussi de recevoir une balle dans le dos, cad. une pleinte en
diffamation avec demande d'injonction thérapeutique pour aller
s'expliquer �* la psychiatrie, mais bien sur sous chimie Pour ne Plus
pouvoir comprendre encore moins s'expliquer;

ce qui a pourtant été finalement fait mais de facon _subversive cad:
volontaire, je me suis ainsi placé en personne suppressive - pour
singer la scientologie que pour ses méthodes d'erradication de la
reflexion autonôme on peut ici évoquer (annecdotique), suppressive des
intentions de m'empecher ad vitam de comprendre _QUE l'On voulait
m'emêcher de comprendre, c'est CE qu'il ne fallait pas que je
comprenne;

savoir CE (le concret) que l'on voulait m'empêcher de comprendre est
ailleurs et accessoire et n'est de toute facon qu'information que j'ai
recue sans preuves: c'est hors sujet, le sujet est le despotisme de
gens qui ne veulent pas que l'on comprennne QU'ILS ne veulent pas que
l'on comprennne qu'ils ne veulent pas que l'on Comprenne,

pour _soigner des gens comme ca il devrait suffir de leur apprendre
que leur maladie est celle-l�*, si ca suffit pas c'est qu'ils sont pas
écupérables, alors ils sont de vulgaires bandits.


Q: de quelle psychologie peuvent-ils se revendiquer ? En scientologie
il se feraient abattre (par leur victimes) et/ou totalement manger
(par leur supérieurs): trouvez autre chose.

En contrage de ses accusations de ma déficience mentale dont il
apparait qu'il a tenté de la nommer "psychotisme" ce que personne n'a
jamais cru ni pu constater, soupconner, ni finalement entendre cette
accusation tant ahurissante que tout le monde en a été choqué,

[mais que quand même quelques connards ont accepté comme éventualité
pour faire de moi un patient suplémentaire, �* inclure �* leur cheiptel]

choqués !.... au point de se demander alors CE qu'il pouvait bien me
chercher/me reprocher/me soupsconner comme bizarreté ! Le pourquoi il
me cherchait quelque chose était la jalousie, la jalousie de celui qui
n'est pas le seul mâle junior de sa "famille", mais on ne voulait pas
le savoir -ou- il _refusait de le savoir.

Balayé le pourquoi il est resté le Quoi, QUE lui cherche-t-il, QUE
tente-t-il de lui trouver comme annormalité ? Au lieu de se demander
POURQUOI il lui cherche .. des poux .. et de quel droit abuse-t-il
tout le monde �* leur prétendre qu'il y aurait �* lui trouver quelque
chose.

Bien sur cette accusation de propension �* l'ennervement de l'animal en
fabrication - qui se barrait en claquant la porte pour quitter un
silence assommant, insultant, endormissant - était la cause d'un bonne
part de ces dits ennervements, le tout étant le resulat d'un silence
ambiant .. dont il fut découvert et dont il est démontré ici par le
simple fait de l'évoquer qu'elle était la conséquence de cette
recherche de pathologie, charmante ambiance de vie qui virait �*
l'autorité voir �* l'hystérie de la part de ceux qui n'y comprenaient
plus rien:, tout le monde.

[comme ca despote peut lire ici une relation �* freud avec l'histoire
de la mere du père et de la toutti ... Pour l'oeudipe que freud �*
sorti de son trou de cul ce sale connard pervers cocaïnomane micheton
de ses collègues infirmières, pour le retour dans le ventre de la mere
pour finir la psyk de son petit frère le grand n'a qu'�* faire un stage
�* narconnon chez les scientoloues et aprrendre ce que c'est que de se
faire laver et casser la gueule par des scientistes: il y a des gens
qu'il faut mettre KO pour les réveiller]

On aurait pu savoir qu'il était rongé de jalousie, mais on ne pouvait
pas dire de quoi: il était simplement jaloux de la présence de ET
intéressé pour pur laborentisme de/par son petit frère qu'il ne
fréquentait pas, comme s'il n'existait pas, mais qu'il allait
travailler �* garder disponible pour de futures études
psychopathologiques- encore aurait-il fallu comprendre qu'il allait
devenir prétendant, laborantin.

Il apparait qu'il a épeluché les catalogues de psychologie et de
psychiatrie, qu'il fut catastrophé de ne pas m'y trouver, que ne m'y
trouvant pas il s'est entêté �* Croire (comme en dieu, comme en freud,
comme un voyou croit pouvoir faire un coup) qu'il pourrait un jour me
rajouter au catalogue des pathos, d'en inventer / d'en extraire et
d'en théoriser une pathologie ! comme l'a fait ce connard de freud
avec ses sujets d'obervation / ses frequentations.

Freud a théorisé la théorisation par sa pratique.


Mais son crime rajouté au précité est d'être trouvé �* ne pas mériter
de se faire flinguer ... il faut donc le sauver. Sa perversité est
d'avoir pronostiqué mon enfermement dans le cas où je le trouverais
afin que je ne puisse expliquer,

en conseillant �* mon entourrage de m'oberver pour découvrir ce qui
clochait en moi, entourrage qui s'en est pris le retour par hostilités
due �*l mon refus de me faire ainsi observer, psychologiser, chimiquer,

son échappatoire, son excuse, est l'incompétance et la faiblesse, son
excuse il devra la trouver lui-même dans ses freuderies qui disent
surement quelques part que .. c'est pas de sa faute, il a péché ...
donc freud est dieu et "Tout va bien" (restons sciniques concis et
réalistes sans quoi il va fallioir faire de la psychologie !).

La chimie a-t-elle été le moyen de me déstructurer, de me clouer pour
me rendre disponible �* des observateurs professionnels, réponse OUI,
elles a aussi installé le doute sur des crédules que j'étais peut-être
tout éventuelement porteur d'une pathologie ou d'une déficience tout �*
fait nouvelle et inconnue: mythique, ils allaient trouver et théoriser
une pathologie inconnue !

! Le jeu du despote est de se faire expliquer ad-vitam qu'on a rien �*
lui expliquer; son crime est d'engager la charge psychiatrique et
institutionnelle sur celui qui refuse de réfléchir �* des questions qui
n'existent pas:

"qu'est ce que t'as ? - j'ai rien c'est toi qui me cherche quelque
chose et tu ne sais même pas quoi: il apparait que tu me cherche
quelque chose POUR me demander ce qui ne va pas après m'avoir bien
gonflé �* me chercher "rien du tout" "; un jour on se prend le retour
de bâton �* ce petit jeu para-psychiatrique.

Il se fait donc un jour remettre en place quand le singe intelligent
parvient �* l'expliquer - encore fallu-t-il que le singe en ai
l'occasion: elle fut en même temps une stricte obligation �* le faire.

La psychologie n'a aucun droit de prendre place dans un tel contexte -
de guerre interpersonnelles avec comme arme la para-psychiatrie, comme
défense Rien que la parole d'un mineur qui ne sait et ne comprend rien
de ce qu'il lui arrive.


Pour sauver la vie de gens qui toute ma vie ont fait chier le monde
avec leurs histoires de freud et de dolto: on s'autrorise �* insulter
le tout relaté, voyant où cel�* a mené, ET voyant ce qu'on a trouvé en
analysant policierement la vie des concernés pour finir par être
obligé de leur mettre LE NEZ DANS LEUR CACA et démontrer que nulle
part la psyCHO ni la psyK ne trouvait sa place, nulle part ailleurs ..

... que dans la sereingue d'héro et dans le pétard de shitt qui pue le
pneu du despote ainsi déchiré, et par obligation: trouvé.

Faute �* dame la came alors ... et �* ce connard de freud.

Pas question de renverser les rôles en allant plus loin analyser sa
vie perso independante des faits relatés et me concernant puisque
constatant la réalité des choses - le tout - je refuse toute
littérature et toute incursion de la psychologie dans ma vie, j'ai
démontré que la "psychologie" est circonstentielle.

La psychologie, la psychiatrie, freud et dolto sont des fouteurs de
guerres: la guerre du parasitisme qu'on ne peut mener qu'�* la tchatche
sinon s'entre-tuer. Gagner quand on est contraint de vaincre c'est se
barrer ou les clouer.

Je n'ai pas subis cette pseudo analyse de ma tête et de mon cul pour
finir par me la péter écrivain et théoriser ma vie, je préfere en
faire des missives que de remplir une brique de papier et mettre mon
prix dessus et la destiner aux intellos, aux psychos, au schyzos, qui
auraient l'opportunité de l'acheter et de le lire _en _toute
_confidentialité,

ils liront sur usenet,

un véritable délire de gens rendus fous par leur propre machiavélisme,
voil�* qu'on trouve les despotes pour être des paranoîaques, au moins
leur aura-t-on évité la neurasthénie, ils peuvent dire merci aussi
pour le clouage de leur dépression.

L'histérie douce est une liberté qui ne doit être trop viruleusement
clouée sous peine de dégénérer en psychoapathie et s'effondrer en
schyzophrénie dépressive et neurasthénique (jakadit);

guillemets:OFF

les psy, en sa frange acharnée, sont des irresponsables.

>Mais l'amour n'existe pas chez Freud.

C'est un thème que les pervers ne doivent pas être autorisés �*
aborder, peut-être freud le savait-il.

- A combien vous estimez-vous ?
+ A tout ce que vous avez car votre incompétance ne vous vaut rien

"Poeple are strange when you arealone" (jim morrisson dans une
défonce).

++ ++ ++ ++ ++ ++ ++ ++
On Tue, 3 Apr 2007 15:43:07 +0200, "John" <[email protected]>
wrote:

>La psychologie est une douce psychiatrie. La psychiatrie est une fosse
>sceptique ou septique où des personnes s'enfoncent plutôt que de se
>redresser. Freud était un crétin qui n'a rien apporté. Un crétin qui se
>croyait utile et qui fait travailler désormais une armée de crétins
>congénitaux, tombés eux-mêmes dans les miasmes des remugles et profondeurs
>soi-disant humaines qui vont guérir par le savoir de ceux-ci, l'esprit
>humain. Tu parles.
>
>Que nenni!
>
>Trop c'est trop, bien sur, et seul la tendresse et compréhension vis �* vis
>d'une personne peut la guérir. C'est si simple. Ne me voyez pas comme un
>religieux : Je ne crois pas en Dieu. Mais ce simple contact humain tel un
>regard vers une personne qui se croit en difficulté, le sécurise et fusse
>cette personne simple, comme un passant, un parent ou ami, peut facilement
>faire comprendre qu'on est solidaire.
>
>Je connais beaucoup de gens meurtris par la psychiatrie et jamais je ne me
>rendrai chez ces gens qui veulent m'apprendre plus que je ne sais sur
>moi-même. J'en sortirai avec des vérités qui dépendent de ces gens car ils
>m'auront, par impression, inculqué que je ne suis pas moi-même et que je
>leur appartiens. Et par conséquences évidentes, je retournerai voir ces gens
>pour être sans cesse rassuré qu'ils ont raison et qu'ils détiennent la
>science infuse et que tout se passe dans la tête parce que je ne sais rien
>et que je suis un gros crétin qui s'ignore. Et que par l�*-même dans la
>foulée je m'inventerai de drôles de maladies mentales, avec ce que cela
>comporte de déviances diverses qui me feront disjoncter alors que putain de
>putain, tout allait bien avant. !
>
>Je fusille Freud. Il est mort et tant mieux. Ce fut un meurtrier qui a
>inventé une organisation de meurtriers du mental humain. Une désagrégation
>de l'esprit parce que son but fut pour emmerder le monde, �* savoir ce qui se
>passait dans les pensées les plus intimes, les plus privées, dans les
>abysses du cerveau qui ne lui appartenaient pas.
>
>Freud, j'irai cracher sur ta tombe et je pense �* cette petite anorexique que
>tu n'as pas réussi �* sauver et qui fut plus malade après t'avoir rencontré
>alors qu'elle ne demandait que de l'amour. De l'amour.
>
>Mais l'amour n'existe pas chez Freud.
>
>John Lucas
>
>
>