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![]() 7) EXISTANCE DU LOFT-PRISON * Depuis X temps environ je suis détenu dans une prison loft, mise en place par ou du moins avec la connivence de ma famille, et par un cinéaste macro dont on m’a bourré das le crâne qu’il me prenait pour son acteur. Prison privée pour le compte d’une Autorisé membre d’une des plus hautes qui soit, Maître dont j’aurais prétendument violé la fille mineure, dans les faits une rencontre de quelques jours ou de quelques semaines dont il apparaît qu’elle a été fabriquée sinon induite. “On” aura peut-être voulu se venger de lui en utilisant sa fille, on aura voulu me mettre �* l’écart �* l’hôpital ou en prison pour une longue période. coupé: Rencontre coïncidant avec Six ans de ce [dvc²] de merde * Ces écrits sont pour leur plus grande partie aidés parfois dictés par des souffleurs utilisant [dvc²] depuis les bureaux et salles de conférences qu’il m’est donné de supposer, j’ai toujours refusé l’idée de “faire un livre” de ma séquestration loftée. L’on s’attache, et c’est est une idée fixe depuis le début de mon loftage, �* me faire “attendre” pour retrouvailles avec la personne prétendument abusée. Mes gardiens et quelques souffleurs qui parlent dans mon dos en extérieur prétendent au situationnisme, mais n’ont fait que très peu de faux pour y noyer la vérité, on profite de ma prison pour jouer, pour situationner, pour simuler une véritable guerre dans le but d’étudier [dvc²] qui est �* l’origine sinon conjoint aux prémices de mon incarcération. * Ma psychanalyse totale et redondante s’est révélée comme je l’ai toujours dis en avertissement abusive et s’est retournée contre mon entourage et personnages extérieurs psychologistes négationnismes et parasites. Loft véritable guerre psychologique, fait de déstabilisation, fabulation, exactions, manipulations. Épié, surveillé, cinégraphié par un système de caméras, scanner thermique, �* ultrasons ou toute autre technologie camouflée qui ne m’on pas été révélées elles sont présentes dans mes domiciles, voitures, dans mon entourage et mes lieux de fréquentations depuis un temps inconnu mais bien entendu correspondant ou aura de peu précédé l’arrivée de [dvc²]. * J’ai dénoncé mon historique, subissance d’empoisonnement chimique pseudo pharmaceutique, le harcèlement psychologique et la prétention �* mon encontre de déficience mentale, en fait expectatives colonialistes, en psychiatrie, justice police et services sociaux, depuis l’on me fait vivre dans des appartements loftés en pirate divulgués �* moi seulement par l’entremise de loftages actifs par la *. Les staffs gardiens de la prison prétendent le probable, alternativement tentent de situationnisme moi et le public consterné. Ils sont en guerre et usent de schizophrénie et de psychopatisme,; ils sont plusieurs, se mélangent, se rejoignent, s’alternent et se succèdent, découvrent au fil du temps et sont eux-mêmes situationnés, font de l’auto situationnisme vis �* vis de moi et de ma prison, vis �* vis de [dvc²]. ===== coupé: La production ===== EXPRIME TOI * On m’a décrété handicapé dans la crainte que je puisse me défendre du fait qu’on m’a taxé d’handicapé. On m’a utilisé comme animal d’observation, considéré �* disposition pour expérimentation psychologique et chimique et par situationnsisme, puis pour tester l’effet de pseudo médicaments, eux-mêmes destinés �* handicaper et �* fare taire par impossibilité de conscientiser, de s’expliquer, de se défendre d’abus et de déficientage qui a pour but même de déficienter, * Ce type de boucles traduit le malsain du fondement de la psychologie et de ses pendants chimiques. * Par pleine conscience considérant abusives ces accusations, utilisations, manipulations et devant l’impossibilité de le démontrer sachant aussi que victime je n’avais pas �* le faire mais que l’on - qui - avait �* agir pour faire cesser ces agissements, * Refusant de me soumettre �* perdre mon temps �* faire de la dialectique et de la psychologie pour démonter et faire cesser des psychologistes devenus fous empoisonneurs et exacteurs chimistes, accusateurs s’acharnant �* me trouver une maladie mentale pour cacher leur exaction de séquestration de ma personne/personnalité dans leur agissement de me taxer d’handicapé dans le but de me garder disponible �* leur expérimentation, * Expériences le plus souvent visant �* trouver les moyens de continuer �* me faire taire, �* rattraper des situations ou périodes dangereuses pour eux par le fait que j’allais les comprendre éventuellement les expliquer les dénoncer. * Des gens se sont acharnés �* me séquestrer dans leur observation de ma personne, dans leur situationnisme par suggestion de questions, par l’affirmation de l’éventuelle présence en moi de maladie mentale sans bien entendu jamais mettre de nom dessus (on ne sait pas - on ne dit pas ce qu’on cherche, on pourra chercher d’autant plus longtemps) - il fallait d’abord m’observer pour la détermine. Il fallait continuer l’exaction d’observation pour m’empêcher de dénoncer le fait qu’on me cherchait des maladies dans le but de pouvoir continuer, dans le but de justifier l’observation.. * Des gens pathologiques dont la tarre est de chercher pathologie �* leurs semblables, abusant d’autorité, de supériorité suggérée par - et par le fait de, ce qui devrait les crédibiliser par cette prétendue étude du domaine de la psychologie - leur lecture de livres psychologiques dans lesquels personne n’a jamais expliqué leurs pratiques - on trouve plus facilement depuis Internet les antithèses �* toutes ces balivernes - . * Ces livres visent �* fournir �* de tels personnages les moyens de tromper leur entourage ou des autorités afin que l’on ne mette fin �* leurs pratiques, afin que l’on trouve justifié ou que l’on ne comprenne pas les faits de séquestration dans une observation situationniste, faits de gens qui pratiquent le psychologisme, cette activité de camouflage d’intentions malsaines abusives devenant maladives quand on en abuse, maladives car ils doivent s’attacher �* cacher le caractère abusif de leur activité. * On psychologise dans le but de psychologiser, on prétend au besoin d’observation dans le but de garder �* disposition de qui s’adonne �* cette nauséabonde des sujets d’études et d’expérimentation. * Qui n’est pas fait, et c’est évidement le cas de tout mineur, de tout enfant ou adolescent, au verbe et �* la défense orale ou écrite, �* la dialectique, ne pourra contrer de tels personnages, et restera victime de leurs agissements. Ce n’est pas sur leur terrain de la psychologie qu’il faut les combattre mais sur celui de l’analyse. Sur celui du verbe ils sont généralement peu compétents, vite satisfaits de reprendre citations, belles phrases et surtout théories de livres signés de grands noms. Ils se font démonter par qui prend le temps de le faire précisément, méticuleusement; chaque parole et l’expression de chaque idée est pour eux terrain de jeu, au jeu de la déstabilisation par l’exigence de précisions, de re- formulation leurs exactions. * Connaissant parfaitement la boucle, les pires de ces abuseurs se gardent de trop scolariser les enfants qu’ils ont trouvé utilisables, qu’on leur �* confié, sur la personnes desquels ils ont les intentions malsaines précitées. Dans le cas contraire ils risqueraient de se voir émettre accusatoire, réquisitoire et condamnation, conséquence la plus naturelle et �* espérer �* la collonisaton de l’esprit d’autruche, �* son accaparation, aux faits ou volontés d’expérimentation. * Ces pratiques sont opportunistes, camouflage de jalousie, du sentiment d’encombrement de l’exaltant pour sa victime, par exemple un mineur dont elle ne peut se séparer ni s’éloigner.. Dis-moi qui je suis cela donnera de l’eau �* mon moulin �* situationnisme. Dis-moi pourquoi je ne t’aime pas ca me facilitera la tâche pour dénoncer que tu crois que je ne t’aime pas, attention si tu parviens �* démontrer que et pourquoi je ne t’aime pas tu seras accusé de me diffamer. Le pratiquant est psychopathe. * “exprime-toi”; dans ce contexte d’un silence imposé par le danger qu’il serait d’y parvenir, est une injonction psychotisante, une exaction, que subissent comme je l’ai vécu tous les enfants non désirés ou encombrants, extrapolable �* tout un chacun devenu encombrant ou victime de la volonté d’autrui de son accaparation, de sa colonisation..Le silence imposé autant que la colonisation sont hypnose, la peur est instaurée par le danger que représenterait l’action de s’en défendre, aussi bien que de n’y parvenir (�* la dénoncer, l’injonction - dialectique plus facile �* lire). * Appliqué �* une personne faible (enfant ou adulte) on trouve l’abus par supériorité, le pire qui soit étant bien sûr celui du fait de membres de sa propre famille dont un enfant ne peut s’extraire, si ce n’est et s’il est en âge et en force de le faire par disparition volontaire (fugue, suicide) sinon distentiation psychique (drogue) ou participée par des tièrs (refuge extra-famillial); dans le cas contraire qui s’applique aux plus jeunes on peut craindre et on constate d’expérience introversion, psychotisme, reprises fallacieusement en dépression et autres pathologies imaginaires, généralement par d’incompétents et dangereux professionnels de la psychologie. * Eux-Mêmes pathologiques de leur pratique consistant généralement �* observer et étudier les victimes; en lieu et place de faire cesser ces agissements leur inculquer l’idée soit qu’ils sont responsables soit ou complémentairement qu’ils ont �* gérer les conflits objet de leur subis. * Les analystes d’étudier et d’exprimer les responsables du subis devraient s’en prendre un peu plus aux psychologues qui permettent par leur [promenades batelières] que de telles situations perdurent jusqu’�* parfois dégénérer en conséquences scolaires ou psychiques et relationnelles. * La pathologie du psychologisme: tant qu’il ne nous aura pas trouvé il sera déficient, quand il nous aura trouvé s’il ne peut s’exprimer il sera psychotique, quand il nous aura démonté nous le dirons psychopathe; dans l’attente nous n’avons rien d’autre �* faire que de lui (le) soumettre (�*) notre pathologie. Pontumas * Après apparent abandon prolongé dans ce qu’il m’a été informé être un “loft” par paroles distantes et �* travers murs, après un vrais ou faux procès rapide par Pontumas �* travers loft mêlé d’hypnose et de chimie s’en est suivi un retour toujours caché de prétendus loftants ou cinéastes jamais avoués mais pour partie rencontrés auparavant; lofts croisés, loftants successifs se partageant des tranches horaires; après coup situés tels que amis (même inconnus), justice, psychiatrie, analystes, récupérateurs pour fin de loft prison et autres membres familiaux ou familiers dont les sentiments �* mon égard m’échappent parfois. Vol de (blah.. censuré) ou visites de services secrets ou de paranoïaques venant extorquer les travaux, savoirs acquis ou (psych)analyses, sujets d’études situationnés ou réels. Pays situationné, placé en guerre civile, aboutissement �* prolongations ou suites prévues, �* fins expérimentales et analytiques, en // je ne connais pas la date de fin de ma séquestration, celui qui suggérera le contraire est un paranoïaque, quel dingue m’a fait un procès de nuit par Pontumas �* l’hypnose et �* la chimie �* travers loft ? * A fins expérimentales; �* fin attendue par moi chaque jour, toutes fins possibles imaginées et analysées en directions multiples et infinies, acharnement analytique et discussions sur et vu l’ampleur des faits; étude de la situation, prétendu situationnisme. Frénésie, pathologie, découverte et analyse de la psychologie du situationnisme, drill de nombreuses personnes. * Description concise, interminable, d’uns situation révèle, le jeu de la guerre mis en place ne l’aura été que pour fins de psychanalyse mais prémisse �* une vraie guerre, celle du vol de ses travaux, clôturée par échanges et vols de découvertes pour auto extinction d’hostilités vraies et fausses, inter- personnelles et de hautes sphères, militaires et de protection publiques, journalistiques et des professions de la psychologie, de la psychanalyse. MENACE * Le bordel engendré par le jusque boutisme des intervenants aboutis �* extériorisation protectrice et rassurante, et �* obligation de fin de la part des emmerdeurs pathologiques; après qu’on eu chassé les vrais ou faux voleurs ou terroristes, vrais ou faux vol des travaux.. Extériorisation protectrice car dénonciatrice si besoin était même si seuls ceux qui savent savent et qu’ils sont tenus par un secret de plus en plus intenable et dévoilé de l’existence �* la fois du loft et celle de [dvc²]. Dans ce loft je suis alternativement gardé, séquestré, situationné, drillé, malmené, insulté, analysé, mis en guerre, actorisé, cobayé, menacé, rassuré, testé, cinégraphié, etc. Ma résistence aussi bien physique que mentale ont permis ... MAITRE DE CONFERENCE * La plus part de mes écrits sont participés par des intervenants distants, je suis comme ils se plaisent �* le dire comme le maître de conférence approuvant, corrigeant les récits, leur contenu, concision dialectique et limites, précision et exactitude; je n’ai que peu de moyens de savoir ce qui peut / doit être mis sur papier (manuscrits) , �* quelles fins nous les rédigeons, tout ceci nse refuse strictement �* être de la littérature de fiction et n’est que base de travail �* un futur mais impossible car évidement interdit et dangereux relat précis de ma captivité et des activités y pratiquées; au moment de la retranscription de ces notes je n’ai toujours pas de réponse quand �* leur but ou futures utilisations, depuis peu j’ai trouvé du matériel me permettant de dactylographier et de backuper l’ensemble sur supports magnétiques, par sécurité j’en posterai copie cryptées ou non dans les méandres d’Internet, par exemple en me mailant �* moi-même entre multiples adresses de courrier électronique redondantes ou au-re- postantes Le danger de la divulgation m’est inconnu mais m’apparaît comme pur situationnisme pour ce qui est de ma prison, elle a fait tellement de bruit, je suis si connu que je me demande qui n’en a pas entendu parler même si personne ne me le dit ouvertement, autrement que par paroles distantes et subliminales. Qui est peut-être exagéré mais où est probablement approprié, �* partir du moment ou une telle affaire est connue du voisinage on ne peut certifier que l’information n’a pas fait le tour du monde, et ce depuis des années que cette prison loft existe, il existe évidement une sorte de production qui diffuse et filtre je ne sais quoi �* l’attention de je ne sais qui, de toute évidence ceux qui ont fait leur crise de démago en fabriquant ce loft m’auront rendu célèbre; un peu plus ou peu moins, le secret me devient indifférent, je suis encore séquestré pour écrire ce relat.. * Pour ce qui est de la divulgation de la * il me conviendrait �* moins que l’on ne m’oblige �* agir autrement, de m’en tenir �* la raisonnable suggestion que l’on me fait d’attendre que cette * un jour soit dévoilée au public avant de poster ce relat sur internent, sur usenet le plus simplement et anonymement qu’il soit, éventuellement de le vendre en rue si d’ici l�* on venait �* supprimer mes allocations sociales comme il m’en est fait la menace administrative et non par loftage. Pesonne n’envisage cette dénonciation dont on ne peut mesurer les conséquences, quoi qu’il en soit si je devais distribuer ce relat par de l�* divulguer la présence d’un (*) il serait libre �* chacun de me taxer de fictionniste, de romancier et de fabulateur. Mes geôliers pour partie fous de son utilisation mais aussi fous du faux loft dont je suis l’animal occupant s’effaceront je l’espère définitivement dans les plus courts délais, peut-être me soumettra-t-on encore le temps de recopier la totalité de mes notes et d’y ajouter interminables analyses, elles-mêmes participées par d’impatients correspondants, l’on se refuse �* me faire savoir la date de clôture de ma séquestration prétendument comme il en est depuis longtemps pour me garder sous pression - dégeulasse exaction. * Si celui qui m’a fait lofter sans informations de date de fin est Autorité comme on me l’a prétendu je ne souhaite �* mon pire ennemi que d’un jour avoir �* répondre d’actes délictueux devant elle. * Par l’entremise de ma séquestration nous aurons fait une démonstration in situ par tout le pire et l’abject de ce �* quoi pourrait mener une utilisation pirate et crapuleuse du matériel évoqué dans une optique contre--humaniste, dans de futurs conflits psychologiques d’ampleurs et justifiants variés qui assurément se produiront dans +/- longtemps. RETRANSCRIPTION AUDIO * Compte-rendu de la situation, étude concise et description de (presque) l’ensemble du temps passé dans ce loft. * Tu veux la date et l’heure ? Ca fait deux heures que ca dure aujourd’hui, depuis le réveil. Donc ils veulent un film, la fin du loft qui dure depuis cinq ans, ou trois ans, ou sept mois, ils me donnent deux heures pour faire la fin, les démonter, les déchirer, les expliquer totalement et mettre un point final �* une guerre �* [dvc²] (�*, et faite au moyen de). * Ce qui est dit ne leur plait pas ? Toutes toutes les façons possibles ont déj�* été utilisées, analytiques psychologiques et autres accusatoires et dénonciatrices, de décrire ce que l’on m’a fait (de ce qu’ils, pour qui �* fait quoi, chacun en �* fait son petit lot) et de ce qu’il a été fait au cours de ma prison. Accessoirement, pour qui principalement, de tout ce qu’il s’est passé dans ma vie depuis toujours, * Un macro, prétendu cinéaste, m’a mis en guerre contre lui-même et contre cette machine qu’il aura ramené de je ne sais où, il a par de l�* situationné ce pays en la même guerre. Le voisinage n’en peut plus d’entendre cette histoire, ils sont victimes collatérales de par l’extériorisation de ma défense comme de celle de ma subissance, et séquestrés dans un silence semble-t-il obligé, en même temps ils sont complices car ma situation leur a été dévoilée, pour qui pas elle leur est connue par les conversations qui sont tenues dans mon domicile; moi communiquant au système de surveillance camouflé tel que parlant aux murs, cel�* n’interpelle plus personne ce qui démontre qu’ils ont été contactés ou ont été demander explications aux autorités qui leur auront indiqué les auditoires pour visionner ce faux loft, vraie prison pirate même si protection de mon temps que l’on tient �* ce que je désigne par le mot de pénitence. * La menace est constante, physique et psychologique, que cet enregistrement ne puisse avoir lieux. A l’heure où j’écris ceci mes correspondants me facilitent la tâche, me complètent, m’aident �* dialectiser le relat, on m’injonctione même �* le faire car tout le temps que je ne passe pas �* dactylographier - le relat de cette merde - l’on continue sur moi les exactions déj�* tant subies via toujours le même loftage vidéo et *. * On me fait passer pour schizophrène: certains se délectent semble-t-il de me prétendre manipulable, je n’ai pas les moyens de comprendre qui ils sont et de savoir ce qu’il en sera après cette séquestration. On se refuse ouvertement comme pour m’en remettre des couches �* admettre que je ne suis pas le doux handicapé mental et déficient animal devant vivre �* disposition d’une caste psychologiste ou de celle de faux cinéastes avides de me faire passer pour un acteur, cette idée de me prostituer �* une galerie de pervers et de cons admirateurs du paraître de simulateurs professionnels, au del�* d’insulter tout qui sait que je suis victime et qu’ils le sont de façon collatérale; * de mon point de vue “acteur” désignerait victime consentante et ad vitam manipulée dans le mensonge et l’inconnu de qu’il sera arrivé - je n’ai d’autre projet de vie que de réfuter mon acceptance au projet d’un cinéaste, vrais ou faux. Tant qu’il me sera conversé de cette ignominieuse suggestion qui aura situationné et trompé le public sur ma personne; la suite sera ma privée et personnelle ainsi que celle de mon futur entourage, nouveau ou retrouvé. * Les exacteurs, sont tous les fous, sadiques et psychopathes que l’on fait défiler pour leur offrir �* se driller �* la psychologie sur ma personne, viande, et �* l’usage de [dvc²], pour leur part �* apprendre �* casser la gueule �* qui par ce moyen. * Durant les premières périodes du loftage on m’a suivi, pisté, de visu ou �* distance par le truffage de ma voiture, dans tous mes déplacements. Pendant ce temps quelq’un faisait son journaliste et remontait ma vie totale, lieux fréquentés, faits et gestes et rencontres, pour me les soumettre en les injectant �* ma psychanalyse plus que totale et redondante qui suivi l’apparition, le dévoilement, de [dvc²] * Auparavant l’on m’avais déj�* lofté de façon traditionnelle �* la façon de pirates, par voisinage et caméras cachées, �* plusieures escients. * Parfois bons et positivistes, pour faire passer du temps et me garder en terme de pénitence et espoir de retrouvailles avec qui prétendument abusée au jour de sa majorité, sinon simple libération sans traces judiciaires de cette affaire; * Parfois hostiles et situationnistes �* la façon de terroristes; de mon vécu je ne peux croire qu’�* de véritables hostilités envers moi et entre plusieurs groupes de personnes, mais personne ne s’est encore dévoilé, de toute façon au vu des exactions subies périodiquement depuis le début de mon loftage et n’étant pas légume imbécile pour croire que tous ces gens m’ont toujours été favorables, je ne peux dire autre chose que des groupes de personnes ont vécu en guerre autour de ma prison loft, avec pour injonction aux positivistes de ne pas se dévoiler �* moi, et libre court aux autres de ma pourrir la vie et de me casser le figure, �* distance par exactions de loftage en voisinage direct puis via (blah..censuré). * De tout temps on m’a cherché des maladies, durant ce loft on s’est acharné �* me faire accepter que j’allais être acteur, que j’avais été acteur, ou que j’étais un acteur, pour cacher les premiers, si pas les mêmes que les entremetteurs de moi et qui rencontrée trop jeune. Qui aura voulu que je sois acteur ? * Ils simulent et tentent de me transmettre la schizophrénie qu’ils pratiquent par effet de groupe, me suggérant dans ce climat de l’inconnu pour ma part de ce qu”il m’a été fait toutes les possibilités, si pas pour les analyser pour brouiller mes idées et me faire croire alternativement �* tous les tenants et aboutissants possibles �* cette séquestration. * Pour moi seule la réalité et le connu sont véritablement prenable, le reste est fabulation, on m’a obligé et aidé �* découvrir les tenants et le contenu de mon loftage en me donnant ainsi matière �* analyser. * En aboutissement d’une analyse (généraliste ou de faits précis) il ressort le démontré vrais, le démontré faux et le non aboutis, nonobstant le nombre d’éléments mis en relation, étudiés ou informations qui peuvent se corréler, se confirmer ou s’infirmer, ou rester non- aboutis. Une analyse de grande ampleur ou de personnalité ou de vécu ne se veut pas analyser que des éléments précis, le plus souvent c’est par constat que l’on classifie des éléments, qu’on garde en suspend tant qu’ils ne sont pas aboutis, qu’on garde �* disposition pour constituer au fil du temps corrélations. * Toute étude analytique comme c’est le cas du présent document et de mon loftage (qui se veut aussi �* but analytique de moi et de lui-même sur fabrication historique - ils m’ont de tout temps fais subir leur observation et hystérique de qui de secte familiale) amène son lot d’informations, �* vérifier ou pas, en l’occurrence mon analyse in situ du loft a amené multitude de questions et d’informations jamais répondues ou remémorées, ce qui est le principe et le fondement même de la psychanalyse. * La complexité de la tâche est évoquée par sa définition, d’aucuns y prenant plaisir ou en faisant pathologie ne finissent jamais leur psychanalyse, d’autres font souffrir leur entourage �* les y (r)envoyer, de ceux-l�* il vaut parfois mieux s’éloigner pour ne pas vivre perpétuellement dans le négationnisme, le mensonge et le non-dit, fondant un climat d’accaparation par mise en situation, par suggestion �* la victime d’avoir �* comprendre l’autre et surtout elle-même. * On trouve ces personnages en menteurs pathologique, en exacteurs. J’y trouve personnellement plusieurs membres de ma famille, rapport �* l’”historique” évoqué ci-dessus, puisque ils ils m’ont de tout temps donné matière �* rajouter �* une future analyse, chose que je leur ai toujours refusé; constatant ce qu’il advenait d’eux et de leur vie accaparée et basée par et sur leur frénésie toujours considérée par moi comme pathologique �* tout ce qui �* trait �* la psychologie. Ce loft n’a d’ailleurs pas été ma psychanalyse mais la leur, pas l’analyse de ma vie mais celle de la leur que j’ai vécu �* mes dépends. * Ce loft est une psychanalyse forcée et obligatoire se clôturant - sinon ceci sera posté sur Internet �* leur attention personnelle mais en public - par la rédaction de ce qu’ils ne méritent pas, de ce qui me pompe l’air depuis qu’ils m’ont de façon subliminale annoncé attendre de moi: me faire analyser et leur expliquer pourquoi ils ont raté ma vie(), accessoirement la leur. EUX * Ils se sont de tout temps acharnés �* refuser d’admettre que je refusais d’être concerné par la psychologie, jusqu’�* réaliser qu’ils pourraient profiter de mes compétence ainsi inculquées, par ce qu’il m’en ont fait subir de leurs attitudes, pour se faire psychanalyser, dans tout le non-sens que cela suggère mais qui se retourne par le besoin de se faire expliquer la vie que nous avons mené. Cras tout �* la fois retour cras le fait que cela aura été fait devant un certain public, en contradiction totale avec le principe de confidentialité de la vie privée, induit par le principe de ma prison loft, ils ont été trouvés en public pour des exactions privées qui m’auront amené �* être placé devant public, justement pour m’y faire analyser; le dévoilement de leur analyse est juste retour �* leur volonté de me faire faire la mienne par obligation, qui plus est en public. Ils se voient prendre le retour de bâton �* leur psychologisme, leur situationnisme, leur mensonge et silence pathologique, leur psychiatrisation de ma personne; �* leurs abus. * Dans toute analyse chaque élément vrais ou non répondu est gardé �* disposition pour l’intégrer ou le retraiter quand, de futures analyses, ressortiront des éléments �* même ou nécéssitant de le reconsidérer; aboutissant �* le classifier vrais ou faux si pas encore répondu, ou simplement quand lors de l’étude d’autre chose cet élément mis de côté pourra venir se placer en complément d’hypothèse, plusieures inconnues mises en relation peuvent confirmer ou infirmer leur bien-fondé voir apporter réponses. * Je suis suis de formation analytique, formé �* l’informatique, de personnalité en accord et vivant dans un état d’esprit scientifique et absolu �* conrario de celui de l’interprétation suggestive, porte ouverte �* tous les abus. Dans le loft * Des situationneurs (improvisés, deviendront-ils professionnels on a du mal �* leur trouver compétence autre que celle au mensonge, ce qui rejoint le situationnisme et les trouve ), �* moins qu’ils ne soient véritablement acteurs désabusés d’avoir raté ma conversion, comme religieuse. * Ainsi sont-ils trouvés d’avoir voulu me lobotomiser pour me faire accepter d’être un acteur ou me légumiser jusqu’�* devenir enclin �* accepter �* (ne pas me rendre compte qu’il s’agirait de) vivre �* perpette dans ce qui serait la honte par le mensonge et la manipulation d’autrui pour prétendre �* une volonté de cinématographie; * pour comme les premiers ne jamais dévoiler la * tout en justifiant du moins récupérant les faits de plusieures années d’enregistrements de ma prison en rejoignant la volonté première (et cras) de qui de faire de ma vie du cinéma, * idée installée quelque part et prétendue seul possible camouflet, �* la * et �* ses prémices utilisations, * ou suggéré nécessaire mensonge pour justifier de l’existence d’un loft, pour invoquer d’autres activités qu’une prison / qu’un pénitencier / qu’un lieu de patience �* retrouver éventuellement qui prétenduement abusée, * ou pour fabriquer une sortie - �* moi et �* qui cras aura eu besoin au vu d’activités de loft exacteur et/ou partiellement pirate s’il en fut d’autres que le premier des premiers de [dvc²]; s’il en est, de faits comparables �* charge d’autres bandits que les premiers, eux prétendus amis mais tous se prétendent �* vouloir être et avoir agis en de mes amis; * Je finirais ainsi acteur, sinon taxé de déficient pour l’avoir refusé comme seule sortie possible �* l’ensemble des faits, handicapé prétendu ou tellement j’aurais subis de faits de situationnisme que j’en serais lobotomisé au sens que je ne pourrais plus, que je n’aurais plus pu percevoir la réalité, * de part le mensonge et le non-dit de ce que je ne sais pas, tant de suggéré allant en tous sens et d’hypothèses et d’échafaudages affirmatives, que j’en serais venu �* douter même de certitudes, de faits avérés et constatés, finalement de douter de moi-même. = Ils m’auraient ainsi affublé de psychotisme et de schizophrénie. Avec cette constante prétention de me faire analyser le non-sens et leur pratique, pour les récupérer. = C’est ce que je suis en train de faire en cette écriture. Même si elle est participée par qui me soumet les sujets et idées �* traiter j’en suis le rédacteur, seul subissant de l’ensemble du dit qu’en aucun cas et ne fut-ce que pour partie aussi minime soit-elle je n’aurai été volontaire �* vivre ni responsable ni désireux de l’induire; �* ce titre je ne peux laisser bâcler cette analyse, ce relat, laisser possibilité �* qui fallas de m’emmerder encore dans le futur avec cette histoire d’acteur, de lofteur ni d’abuseur, pas plus que je ne peux laisser au risque de ternir ma vie et le travail ou la présence des bonnes volontés professionnelles ou simples volontaires qui m’auront accompagné, voir école �* expliquer pour n’avoir ensuite plus �* m’en défendre; ce document se doit d’être analyse plus qu’accusatoire sinon .. tout le petit monde qui m’a été / qui m’est hostile pourrait finir en prison pour faits de terrorisme, = [dvc²] au tribunal de guerre pour qui aura poussé la population témoin �* vivre tel un conflit, la tentative de camouflage et le premier loftage de ma personne/de mon domicile intrinsèquement pirate et crapuleux en son justifiant comme en son contenu. Population / témoins constamment sous la menace d’être ouvertement désignés responsables de sa divulgation si le cas eut été, cependant qu’au fil du temps n’�* cessé de croître le nombre de personnes informées de son existence, ahurissant tout un chacun par le simple constat de la réalité. = Les témoins ont vécu la guerre de l’injonction au silence.rajoutée de celle d’une volonté ou soumission �* injonction, �* ne pas me dévoiler ouvertement la situation, ma propre situation, ne me laissant aucun droit �* une vie normale ni �* envisager la fin en termes de date et de modalités, ne pouvant que faire patience, cela est fabrication diabolique et maléfique potentielle �* détruire psychiquement quiconque au plus point. Actes indignes de qui pratiquaient du cassage de gaule par la psychologie jusqu’�* de structuration, potentiellement jusqu’�* devenir incapable de vivre sa propre pensée. Très logiquement je devrais / j’aurais du me venger ou me suicider. Tout le monde est resté caché, je ne connais des intervenants ou des fabricants que ma famille et d’ex- fréquentations, tous ont refusés de m‘informer de la situation, ils sont négationnistes jusqu’�* nier les faits perpétrés par eux-mêmes ici relatés, ils sont inducteurs et fabricants volontaires de tout ce qui aura aboutis �* dommages collatéraux sur les autorités et témoins actifs ou non de ma peine qu’ils ont travaillé �* faire exister activistes de ses tenants et de ses prémices - par la fabrication de l’ensemble de son justifiant. Ce document = ne sera jamais qu’une ébauche, ne sera jamais terminé, il est comme le loft interminable, non- finissable. Il est le rapport d’une analyse qui s’analyse elle-même, de plus il s’analyse parfois lui-même et potentiellement peut s’étendre �* tous débordements le plus souvent analytiques agrémenté de quelques considérations ... distrayantes. = Il est le rapport d’un camouflet sauvegardant ou restituant l’intégrité de personnes et entités. Il décrit, explique, ne justifie pas mais expressionne les justificatifs invoqués �* l’existence du principal, �* ses raisons et �* ses prémices. = Ils s’acharnent �* me faire vivre tout le possible et imaginable invoquant le situationnisme, bien �* sa place bien entendu dans sa définition de la suggestion de situations �* pseudo vivre puis �* analyser, mais in situ poussé �* l’extrême puis �* l’absurde par le fait que je vis constement et depuis des années dans un loft pirate, cad dont personne ne m’a dévoilé ne fut-ce que l’existence en s’adressant �* moi autrement que par les moyens techniques du loftage, dans cette récupération psychanalytique si forte qu’elle m’est devenue �* la fois harassante et stimulante, mobilisatrice et re motivante. = Ainsi, par l’analyse, nous pratiquons une science exacte �* but de bien commun, de bien public. = [au compte de la presque farce] Mes correspondants, ils ne sont pas tous co- rédacteurs, compliquent la tâche de rédaction de ce document en me déstabilisant par leurs multiples interventions, me déconcentrent de sa rédaction et m’en éloignent par d’exacerbant interventions sans rapport avec celui-ci, par d’autres visant �* y ajouter matière. Indirectement, par discussions apparemment hors contexte, par re discussions du contenu de mon loftage, de manière injonctive ils m’amènent �* réfléchir �* des détails psychanalytiques (relats de mon vécu) qui n’ont pas encore été discutés in situ. En suspend reste constamment la question de savoir où, comment, ils ont pu apprendre ou prendre connaissance de cette foultitude de détails de ma vie privée, il ne m’est pas agréable de m’entendre déballent encore et toujours plus les faits de ma vie privée, dont les origines temporelles sont sans limites, du berceau jusqu’�* aujourd’hui. = Jamais tel déballage de la vie privée d’autrui n’aura été fait, je n’ai toujours pas été informé mais je peux deviner que mes proches ont relaté la stricte totalité de leur savoir �* mon sujet - je n’y vois, de plus dans un contexte de prison loft pirate, pas que du bienséance �* mon égard même si peu de choses sont �* mettre �* ma charge �* contrario d’a ma décharge c’est tout naturellement du fait que je n’ai pas grand chose �* me reprocher ni �* dénigrer de ma vie. = [sont-ils devenu Fous ... se sont-ils aussi vengés de qui de quoi en se lâchant �* tel point �* me faire ce que j’ai toujours refusé et dénigré: un déballage total de ma vie, qui plus est devant public, une psychanalyse qui pour plaisir ou déplaisir s’avère être plus la leur que la mienne, comme je l’avais prévenu �* pluviôses reprises, d’ailleurs préalablement �* ma prison] = Ce document sera indispensable �* qui en prendra connaissance, il ne fait pas injonction �* sa consultation, elle sera d’ailleurs - a priori - confidentielle, restreinte �* qui de droit [NDR je ne peux présumer de la listre de ses destinataires]; il démontre par son contenu que sa lecture est progressiste et suffisante. Il est le rapport, relat le plus souvent analytique mais pas seulement, de ma prison loft. incomplet ////////;raisons premières de ma prison qui a viré �* camp de torture et de rééducation, laissé faire complémentaire �* ma psychanalyse, rejoignant cette constante prétention, évocation, de me voir en sortir qualifiable si pas qualifié de compétence de (psych)analyste, positivistes parmi les récupérateurs / instigateurs de ma détention remplaçante d’une injustifiable peine pénale renvoyable tout aussi injustifiablement �* la psychiatrie qui aura renvoyé le tout �* la normalité fabriquée alors en peine de substitution, �* vie supervisée thérapeutiquement dénoncée injustifiable en sons sens premier lui même dénoncé comme volonté perverse de qui secte complice de sa fabrication de me voir me faire étudié ad vitam par des fabricants de silence qu’elle �* cru seuls pratiquants existants de toutes les activités annexes �* la psychiatrie, psychologie, sublimés qu’ils sont par celle de la psychanalyse et de ses professionnels qui n’auront pas manqué de s’attacher �* ne pas me laisser manger par cette lobotomisante et goulaguienne sectariste et handicapante prétention, camouflet de névrosés et hystériques ratés dans leur projet de vie de me voir cobaye jusqu’�* perpette, pour cacher cela même de leur fait et de leur pathologie - s’ils ne s’en remettent ils vivront en dépression, dans la honte jusqu’�* trépas d’avoir voulu m’infliger la déficience mentale, de me faire vivre pour toujours dans l’incompréhension de leurs actes et d’eux-mêmes. Eux-Mêmes devant être trouvés sinon placés en condamnables, en dépressifs, en hystériques, en victimes de leur passé de vie côtoiement de ma personne considérée par eux-mêmes parasitaire et encombrante, juste bon et bon que �* être leur sujet d’étude. [Aux chiottes le sectarisme] [Ce n’est pas parce que Freud �* dit “que” qu’il faudrait passer sa vie “�*” ... ] * Menant chacun leur lot de suggestions, d’affirmations, d’études vraies et fausses de réalités qu’ils aimeraient me faire croire et dont ils étudient ma perception. Ils s’acharnent et me harassent �* échafauder toutes les versions possibles des prémices et du déroulement du lofr, ils sont exaspérants dans cet acharnement. * Ils ont nombreux et me loftent de façon constante et permanente depuis des années, pas un instant [dvc²] ne s’est arrêtée depuis le début de ma psychanalyse il y a de cela près de trois ans. * Ils se sont entraînés �* me connaître, ils m’ont observé tellement qu’ils connaissent mes réactions, habitudes, mes manières de faire quoi que ce quoi, ils se sont entraînés �* pratiquer le loftage pirate jusqu’�* en être comme devenu pathologiques, spécialistes d’une pratique interdite des plus exactoires, sales, volontairement destructrices. * Ils m’ont été hostiles des mois durant, la dernière année, plus précisément ils ont d’abord étudié le potentiel exacteur de la psychologie surtout de la fabulation et de la communication orale le tout appliqué �* cette * au sens principal que ce qu’ils ont fait ne pourrait être pratiqué face �* face avec une victime. Dans un second temps et pour partie d’entre eux ils ont pété les plombs et poussé jusqu’�* me faire comme la vengeance de rien de ce que je n’ai fais dans ma vie ne peut justifier ni fournir prémisse �* quelconque justification d’une telle subissance. * D’aucuns comme de véritables ss déléguées par un Hitler, comme des ré éducateurs attachés �* un Staline, se sont autorisés �* pratiquer la torsion psychologique de façon psychopathe, salops poussant jusqu’�* (tenter de) se justifier - ou pas - par des rétorques tels d’imbéciles sadiques jouant de psychopathie �* mon encontre. On ne voudrait pas d’eux dans un hôpital psychiatrique, on leur casserait la gueule dans une prison, on les condamnerait pour crime dans un tribunal militaire. * Les plus tortionnaires récupèrent faussement et imbécilement l’appellation du situationnisme qu’ils évoquent pour qualifier ce qui n’est autre que de la torture. Même un enfant ne les qualifierait pas autrement que de débiles et de sadiques. * On les a laissé faire, je ne m’explique pas cet état de fait. Gageons qu’ils sont fichés auprès de leurs autorités civiles et judiciaires, qui par l’entremise d’une supervision psychiatrique les aura eux-mêmes étudiés et analysés. * Leurs autorités devraient les enrôler dans le plus contraignant des bataillons et les expatrier aux plus dures des activités de prévention ou humanitaires, injonctionnés �* servir autrui ils prendraient conscience de la petitesse de leurs activités ce qui pourrait soigner leur état d’esprit enclin �* de telles exactions. * J’y suis encore, la date de fin ne m’a pas été communiquée. Plusieurs fois on m’a joué, sketché, affirmé, le plus prenablement du monde que le loft allait se clôturer, plusieurs fois l’échéance aura donc été reportée, voir la fin en aura été sabordée. Je ne sais si il y a eu un planning du contenu de ce loft, fait d’observation silencieuse, de garde, de psychanalyse, devenu laboratoire d’étude du matériel, parallèlement et constement analytique de son contenu et des prémisses �* son existence. * Au sujet de ce cinéaste suggéré, de cette prétention �* me faire vivre dans un film ou de m’en faire un, il ne peut y avoir eu en terme de scénario que l’expectative du déroulement de ma vie au sein d’une prison loft, même si l’on a forcément projeté son but psychanalytique le reste est conséquence �* l’existence du loft et du matériel, il est effet collatéral. |