Moslims vallen 'joodse' vrouw met baby aan

[PollyCorrect]

Het ergste vind ik nog dit: "Niemand kwam de vrouw en baby te hulp."

Zo zie je meteen: een mens heeft weinig nodig om collabo te worden.

[Pascal L.]

Oorspronkelijk geplaatst door Jozef Ostyn

Mensen moeten beoordeeld worden op hun eigen daden en woorden en niet op die van anderen, ook al hangen die dezelfde religie, taal of nationale identiteit aan.

Inderdaad, mensen moeten beoordeeld worden op hun eigen daden ... maar waar die daden onaanvaardbaar zijn moet er ook sterk opgetreden worden ...

Indien de bevolking, inclusief het joodse deel ervan, stopt met geloven dat de overheid haar kan of wil beschermen is het hek van de dam ...

[Dr. Bos. Herz.]

Oorspronkelijk geplaatst door Rechtsliberaal

Wat een 'cultuurverrijkers' die moslims.....

[Panther]

Een noord-afrikaan is niet gelijk aan een moslim.

[Panther]

Oorspronkelijk geplaatst door Dr. Bos. Herz.

De Taj-Mahal is idd een prachtig gebouw

[maddox]

En heeft evenveel met de Islam te maken als de uitvinding van de microchip.

[dronyon]

Vanochtend gehoord op het radionieuws (VRT): de politie vermoedt dat de vrouw de feiten heeft verzonnen. Er zijn namelijk geen getuigen van de aanval opgedoken én de vrouw heeft een voorgeschiedenis van valse klachten. Hopelijk komt dit met evenveel aandacht in de media als haar verhaal zelf vorige week. Als het aan mij lag, kreeg ze hiervoor een proces, of zou dat dan weer overdreven zijn?

[filosoof]

Oorspronkelijk geplaatst door Rechtsliberaal

Franse vrouw en baby aangevallen door zes Noord-Afrikaanse mannen
Bron: Haarlems Dagblad, 10 juli 2004


PARIJS - Een jonge Franse vrouw en haar baby zijn zaterdag het slachtoffer geworden van anti-semitisch geweld. In een forensentrein vielen zes mannen van Noord-Afrikaanse afkomst de 23-jarige vrouw aan omdat ze dachten dat zij joods was.

Volgens de Franse politie sneden de mannen met een mes de vrouw letterlijk de kleren van het lijf en besmeurden haar met hakenkruizen. Voordat ze de benen namen gooiden ze de kinderwagen met daarin de 13 maanden oude baby van de vrouw om.

De Franse minister van Binnenlandse Zaken De Villepin heeft de wandaad scherp veroordeeld en heeft de politie opgeroepen alles in het werk te stellen om de daders zo snel mogelijk op te pakken. De Franse president Chirac heeft donderdag de bevolking opgeroepen wakker te worden en de normen en waarden van de Republiek te verdedigen tegen racistische en antisemitische daden die het land te schande maken. Het staatshoofd wil dat rechtbanken de strengst mogelijke straffen opleggen aan plegers van dergelijke misdrijven.

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Wat een 'cultuurverrijkers' die moslims.....

[size=4]Volgens de Figaro van heden zijn er toch zware twijfels:[/size]
FranceFigaro13/07/04
Marie-Léonie n'en était pas �* son coup d'essai.

Personne ne s'est manifesté hier pour corroborer la version de Marie-Léonie dont la personnalité est passée au crible par les enquêteurs

Nicole Guedj, Secrétaire d'Etat au Droit des victimes a renouvelé hier l'appel �* témoin.
(Photo AFP.)
RER D : l'agression en question
Quatre jours après la plainte déposée par Marie-Léonie L., 23 ans, qui affirme avoir été agressée avec son bébé de 13 mois vendredi dans la ligne D du RER, les enquêteurs ne disposaient toujours, hier soir, que de sa version des faits et de celle de son compagnon. Le témoignage de la jeune fille présente des «contradictions et des incohérences» ont estimé hier deux responsables du syndicat Synergie-officiers. Et d'ajouter : «Il faut faire très attention. L'enquête continue, avec des incertitudes.»
Jean Chichizola et Christophe Cornevin
[13 juillet 2004]

Recherche témoins despérément. Un appel �* témoin, lancé ce week-end, et des patrouilles de policiers dans les trains de la ligne concernée n'ont donné aucun résultat comme ont été également infructueuses les investigations effectuées dans les cités les plus sensibles de Sarcelles, où seraient descendus les présumés agresseurs.Plus encore, les seuls témoignages importants collectés pour le moment dans cette affaire sont en défaveur de la victime ! Le SRPJ de Versailles a en effet recueilli, hier après-midi, le témoignage spontané d'une femme se présentant comme étant proche de Marie-Léonie (lire ci-dessous) et qui a souligné sa «mythomanie» latente. Habitant le XVIe arrondissement, ancien arrondissement de Marie-Léonie, cette femme aurait notamment raconté aux enquêteurs que Marie-Léonie n'en était pas �* son coup d'essai. Des accusations particulièrement graves qui, si elles sont prises avec prudence par les policiers, vont naturellement être soigneusement vérifiées. Un second témoignage est plus embarrassant : la victime présumée aurait été vue montant dans le RER D, �* la station de Louvres (Val-d'Oise), avant son agression, mais avec les vêtements déj�* déchirés...

Combinant émotion populaire, fragilité de la preuve et polémique naissante, l'affaire du RER D est décidément des plus délicates.

Loin de ces considérations, les policiers poursuivent leur enquête en recueillant notamment les bandes vidéo de la SNCF pouvant aider �* identifier d'éventuels agresseurs. L'analyse de la bande vidéo de la gare de Garges-Sarcelles, où, selon la victime, les six jeunes agresseurs, trois étant armés «de couteaux d'une lame de 15 centimètres de couleur grise», auraient sauté sur le quai avant de s'enfuir n'a pas permis d'observer une scène semblable.

Reste donc aux policiers �* coller au plus près des faits et des déclarations de Marie-Léonie L., dont la personnalité a naturellement été passée au crible, comme c'est l'usage en pareil cas. Une source policière indiquait hier au Figaro que la jeune femme avait porté plainte six fois dans les cinq �* six dernières années dans des affaires de vol ou d'agression. Cette même source précisait que ces plaintes seraient restées sans lendemain avant de conclure que la victime ne présentait pas, en l'état de l'enquête, de troubles psychologiques ou psychiatriques.

Sa propension �* déposer plainte exceptée, la victime présumée du RER D a, en effet, un profil des plus classiques. Vivant en concubinage et mère d'une petite Léa, Marie-Léonie a passé deux ans au collège privé Notre-Dame-de-Grâce de Passy, entre 1995 et 1997, avant, �* 16 ans, d'être orientée vers des lycées professionnels, dont le lycée d'enseignement professionnel René-Cassin où elle a terminé ses études en 1999. Marie-Léonie vit aujourd'hui �* Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) où elle menait une existence sans histoire. Jusqu'au 9 juillet 2004.

Quel que soit le scénario finalement retenu, le tee-shirt de Marie-Léonie L. a bien été déchiré au niveau de la poitrine et son visage griffé. Dans le procès-verbal d'audition du vendredi 9 juillet �* 15 h 20, le policier du commissariat d'Aubervilliers a clairement indiqué «vu et constaté». La formule est absente, en revanche, quand le procès-verbal évoque des marques, au marqueur noir, au niveau du coeur et une mèche de cheveux coupés sur le côté gauche du visage. Le policier n'a-t-il pas constaté de visu les faits ou a-t-il oublié de le préciser sur son compte rendu ? Le dossier ne le dit pas, mais une source judiciaire proche de l'enquête précisait que les blessures légères avaient bien été «constatées médicalement et policièrement». Un petit hématome, sur le front de son bébé de 13 mois, a été constaté. Ces traces d'agression ont été dûment constatées par un praticien d'une clinique privée, puis par un médecin d'une unité médico-judiciaire où les policiers d'Aubervilliers avaient envoyé Marie-Léonie et la fillette.

Violence il y a bien eu, mais les policiers attendent toujours que des témoins viennent leur expliquer ce qui a pu se passer le vendredi 9 juillet dans le RER D. Marie-Léonie a cité trois individus susceptibles de les éclairer : un couple, «Marie-Thérèse, 45 ans» et son époux, qui l'ont soutenu après l'agression et lui ont promis qu'ils reprendraient contact avec elle et un jeune homme qui aurait assisté �* la scène. Hier soir, ces deux hommes et cette femme restaient introuvables.




A lire également
• Le témoignage qui crée le doute : «Marie-Léonie a l'habitude de raconter des histoires»
• Des faits toujours difficiles �* établir
• Un sentiment tenace d'insécurité dans les transports
• Réactions : Un appel au «sursaut citoyen»

[filosoof]

[size=4]Er zijn dus zware twijfels over de authenticiteit van dit verhaal..[/size]

[filosoof]

Une femme, proche de la victime présumée, a confié au «Figaro» ses doutes sur la réalité de l'attaque du RER D
«Marie-Léonie a l'habitude de raconter des histoires»
Madame X connaît Marie depuis une dizaine d'années. Elle est un des témoins clefs entendus par les enquêteurs qui se sont rendus �* son domicile hier après-midi. Son récit rend de moins en moins crédible la version d'une agression antisémite. Pour elle, Marie est une jeune fille victime de crises de mythomanie. Bouleversée par les répercussions de cette affaire, cette femme, qui souhaite rester anonyme, a accepté de se confier au Figaro.
Propos recueillis par Gildas des Roseaux et Marie-Christine Tabet
[13 juillet 2004]

[filosoof]

Kenmerkend hoe sommigen hieruit direct een conclusie naar de ganse Islam wilden trekken...(en tegelijk naar alle allochtonen??)
En nu wachten op alle copy-cats...

[Seba]

Oorspronkelijk geplaatst door filosoof

Kenmerkend hoe sommigen hieruit direct een conclusie naar de ganse Islam wilden trekken...(en tegelijk naar alle allochtonen??)
En nu wachten op alle copy-cats...

eveneens vreemd hoe jij hier ieneens opduikt ind e topic, enkel wanneer het mogelijk zou zijn dat dit verhaal misschien niet waar is....
indien het echt was (wat we wel moesten aannemen na de eerste berichten) hadden we neits van jou gehoord Filo, nietwaar?

[filosoof]

Het gaat erover hoe zelfs een buitenlands, in dit geval schijnbaar imaginair faits-divers direct wordt uitgebuit voor binnenlands gebruik, met direct een pak veralgemeningen...

[filosoof]

Oorspronkelijk geplaatst door EL TURCO

Dus daarom kunnen we aannnemen dat het was gepleegd door "moslims" of Noord-Afrikanen? Mogsten we zo redeneren dan moeten we Israël boycotten. En elke jood die we op straat tegen komen vermoorden. Want hun leider Sharon heeft honderden babies vermoord in Chatilla.

hahaha

Eerst bronnen verifiëren, mensen...

[filosoof]

Oorspronkelijk geplaatst door Seba

eveneens vreemd hoe jij hier ieneens opduikt ind e topic, enkel wanneer het mogelijk zou zijn dat dit verhaal misschien niet waar is....
indien het echt was (wat we wel moesten aannemen na de eerste berichten) hadden we neits van jou gehoord Filo, nietwaar?

Moraal: niet te vlug voortgaan op eerste berichten, zéker niet in komkommertijd!!

[Seba]

Oorspronkelijk geplaatst door filosoof

Moraal: niet te vlug voortgaan op eerste berichten, zéker niet in komkommertijd!!

je bedoelt zoals toen met het incident Verreycken waar Filosoof toch zeker niet eerst het onderzoek afwachtte en zeker geen voorbarige conclusies trok in al zijn anti-VB-ijver???

[Dr. Bos. Herz.]

Oorspronkelijk geplaatst door maddox

En heeft evenveel met de Islam te maken als de uitvinding van de microchip.

Die aparte torentjes zijn nochtanst minaretten hoor, yup yup yup.

[tabufferkwa]

Volgens de laatste berichten zou de vrouw gelogen hebben over de aanranding. De redenen zijn nog onbekend.

Dit neemt natuurlijk niets weg van al de echte aanrandingen volgens onderstaande studie.

Oorspronkelijk geplaatst door tabufferkwa

de vrouw is niet aangehouden maar in voorhechtenis voor 48u. Dat is toch iets anders.

Zelf indien het feit zou verzonnen zijn neemt het niets weg van de problemen in de franse RER volgens de Figaro en dit werd ook reeds door ex-minister Strauss-Kahn gisteren gezegd, toen hij het feit reeds met een grote korrel zout nam.

[filosoof]

Oorspronkelijk geplaatst door Raven

was de vrouw ook effectief joods?

[size=6]Affaire du RER
Il ne s'est rien passé dans le RER D[/size]

La jeune femme qui prétendait avoir été victime d'une agression antisémite a avoué aux policiers avoir tout inventé. Retour sur trois jours d'emballement.



mercredi 14 juillet 2004 (Liberation - 06:00)




arie L. a menti. La jeune femme de 23 ans qui a porté plainte vendredi pour une agression antisémite sur la ligne D du RER, en compagnie de sa petite fille de 13 mois, a avoué hier qu'elle avait inventé toute cette histoire. Lors de son audition en début d'après-midi �* l'antenne de police judiciaire de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise), les enquêteurs l'ont placée face �* ses «contradictions» et aux «incohérences» de son récit, apparues au fil de leurs vérifications infructueuses. Elle a commencé par déplacer le lieu de son agression en dehors du train, puis a fini par craquer. Elle a alors admis qu'elle avait imaginé toute cette fable de A �* Z et lui avait donné corps pour être crue.

La jeune femme a alors été placée en garde �* vue vers 16 h 30 pour «dénonciation de délit imaginaire» (1): «Il résulte des premières déclarations de la jeune femme que ses accusations étaient bien mensongères et qu'elle avait affabulé. Elle a reconnu s'être elle-même porté les marques de coups de couteau, s'être coupé la mèche de cheveux et avoir tracé elle-même les croix gammées sur son corps», a indiqué le procureur de la République de Cergy, Xavier Salvat, dans un communiqué. «Les investigations continuent, dans le cadre de la garde �* vue, pour établir toute la vérité et déterminer tous les contours de cette affaire.» Son concubin �* un jeune menuisier �* a lui aussi été placé en garde �* vue et interrogé dans un autre bureau de l'hôtel de police de Cergy .

«Coup de solitude.» Pourquoi Marie L. a-t-elle monté de toutes pièces ce fait divers, allant jusqu'�* taillader ses habits, ses cheveux, sa peau et la poussette de son bébé ?: «J'ai eu un coup de solitude», a-t-elle dit. Selon un commissaire, «elle a indiqué qu'elle voulait attirer l'attention sur elle et son entourage pour qu'on s'occupe d'elle. Elle avait le bourdon, ça n'allait pas dans sa tête et dans sa vie. En fait, elle est fatiguée du cerveau et, nous, on pédale depuis deux jours entre Louvres et Aubervilliers pour vérifier sa plainte.»

Lundi, l'absence de témoins de la scène du RER et le «blanc» sur les bandes vidéo de la gare de Sarcelles �* où elle était soi-disant descendue après l'agression �* ont alimenté le doute des enquêteurs. Ils ont eu de gros soupçons sur la véracité de ses déclarations quand l'analyse de la mémoire de son téléphone portable a démontré que Marie n'avait jamais téléphoné �* son compagnon depuis Sarcelles, mais de sa gare de départ, Louvres, et cela �* une heure antérieure �* son agression. Les auditions de sa mère et de son ex-voisine ont renforcé leur conviction. La première a parlé du «sentiment de persécution» de sa fille et de sa «santé mentale» défaillante. La seconde a rapporté des indices sur sa «mythomanie». Enfin, les cinq plaintes qu'elle a déposées entre 1999 et 2003 pour vols et pour une agression avec attouchements sexuels ont été épluchées lundi et ont révélé leur peu de fondement. Les enquêteurs ont repris pas �* pas sa plainte déposée vendredi �* Aubervilliers �* corroborée par un certificat médical de dix jours d'incapacité �* et ont refait «tout le cheminement évoqué par la plaignante. ça ne collait pas».

Hier matin, huit policiers sont allés �* son adresse �* Aubervilliers. Ils ont interrogé les voisins et les occupants de cet entrepôt de briques où Marie L. est censée résider au deuxième étage. Un escalier métallique en colimaçon conduit �* trois portes blindées et �* une autre de bois. La jeune femme a dit résider �* «la troisième porte �* gauche». Vendredi soir, les policiers avaient tenté de joindre en vain la jeune femme �* cette adresse. Marie L. était en fait dans la maison de l'employeur de son compagnon �* Louvres. Selon le voisinage, le couple et son bébé occupaient ce pavillon situé dans une rue tranquille de ce village de grande banlieue depuis le départ en vacances des propriétaires.

«Temps des enquêteurs.» Franck Carabin, du syndicat des officiers de police Synergie, qui, lundi soir, a pointé «les incohérences» et les «contradictions» dans les déclarations de Marie L., nous a indiqué hier soir que la précipitation «compréhensible» des politiques s'adapte mal «au temps des enquêteurs de police judiciaire, qui ont besoin de sérénité pour mener des investigations [...] Par rapport �* l'agression elle-même, personne ne pouvait rester insensible. On ne peut pas incriminer les hommes politiques, ni remettre a priori en cause les déclarations des victimes, mais juste laisser le temps �* la PJ d'investiguer, de vérifier».

Jacky Durand et Patricia Tourancheau

(1) Punie d'une peine maximale de six mois de prison et 7 500 euros d'amende.

De "heren" hier waren er weeral vlug bij om weer eens Rode Ridder te spelen

[Dixie]

die joodse jongen heeft volgens filozoog dat mes in zijn eigen rug geploft