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#41 |
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![]() Vitae forma vocatur, "Yoki" <[email protected]>, die Sat, 17 Sep 2005
10:08:52 GMT, in littera <[email protected]> in foro soc.culture.belgium (et aliis) vere scripsit quod sequitur: <attention: ce genre de post attire Faelan, le défenseur "externe de toutes les turpitudes du PS> >"Vlad Defives" a écrit > >>>2. - La fort généreuse sécurité sociale dont jouissent, en effet, les >>>Wallons, n'est pas financée par les Wallons, mais par les Flamands. >>>Chaque >>>année, ce sont des milliards d'euros qui traversent la "frontière >>>linguistique", de la Flandre vers la Wallonie, pour financer les >>>prestations sociales diverses et variées dont bénéficient les Wallons. >>> >>>Inutile de préciser que les Flamands sont de plus en plus nombreux �* >>>s'interroger sur le bien-fondé économique et moral de ces transferts. >> >> Ethniciser un problème socio-économique est la spécialité des >> flamingants. >> Historiquement le développement économique de la Belgique s'est d'abord >> fait >> au sud (mines, métallurgie etc.), la Flandre étant restée longtemps >> rurale. >> Quand les activités industrielles classiques se sont mises �* décliner la >> Flandre qui n'avait pas ce handicap et qui disposait d'une infrastructure >> portuaire a pris le tournant des industries de pointe et des services. >> S'y ajoute une démographie qui pour des raisons socio-religieuses a vu >> décliner le sud par rapport �* un Nord nataliste. >> Votre raisonnement transposé dans l'hexagone consisterait �* demander des >> prestations sociales différenciées par exemple pour le Nord-PdC dans la >> meme >> situation que la wallonie et pour Rhone-Alpes. Encore que les soubresauts >> d'Hewlett-Packard montrent que cette région n'est plus �* l'abri des >> délocalisations. > >Je ne dis pas qu'il faut rompre la solidarité (encore que, car la Belgique >est un Etat fédéral bi-communautaire ayant naturellement vocation �* évoluer >vers le confédéralisme au fur et �* mesure que se concrétisera l'Europe des >régions), simplement prendre conscience que le modèle de société dont >bénéficient les Wallons ne doit rien aux socialistes, uniquement aux >travailleurs flamands (qui votent très peu �* gauche d'ailleurs). C'est >d'ailleurs avec le statut de Bruxelles la seule raison pour laquelle les >dirigeants wallons n'ont pas encore demandé l'indépendance. S'ils la demandent ils se coupent des fonds fédéraux alimentés principalement par la Région Flamande du pays. >Si vous voulez sauver la Belgique, la priorité est de redresser la >situation économique de la Wallonie. Bien sûr: Elio di Ropo le sachem du PS belge, veut in plan Marshall: ç�*d encore plus d'argent fédéral pour alimenter al Wallonie, sans qu'elle doivent rtrop trimer quand même, alors qu'un redressement purement wallon est parfaitement possible, rien que si on supprimait toutes les turpitudes PS-générées. Car le Wallon est travailleur, sauf si le PS lui rend la vie quasi aussi facile s'il ne travaille pas. Car si le Wallon est travailleur il n'est pas fou non plus. >Le vice fondateur de tous les "plans" wallons est l'idée que ce sont les >pouvoirs publics qui fabriquent la croissance économique : Absolument. >1/ Il faut regarder ce que font les autres pays. Pas la France, qui est en >passe de suivre l'Argentine dans la faillite. Ni l'Allemagne ou les >Pays-Bas, pays �* croissance nulle. Non, les pays qui connaissent une forte >croissance économique et des taux de chômage symboliques : Irlande, >Royaume-Uni, Singapour, Nouvelle-Zélande, Australie, Corée du Sud, >Etats-Unis, Chili, Estonie, etc. Deux éléments leur sont communs : des >impôts et charges faibles, des réglementations souples. Que l'on se tourne >maintenant vers les pays, européens ou non, �* croissance nulle et chômage >astronomique - Allemagne, France, Belgique, Pays-Bas, Italie, ... - et l'on >devra bien constater que tous ces pays connaissent des niveaux d'imposition >et de réglementation, en particulier du marché du travail, élevés ! Bien vu. > >2/ Comment expliquer ce constat ? Ce sont les entreprises qui développent >l'économie d'une nation, �* travers leurs investissements. Une entreprise >investit les moyens financiers que lui laissent le Trésor et la Sécurité >sociale, et dans la mesure où les diverses réglementations ne lui rendent >pas l'investissement trop onéreux, ni le retour sur investissement trop >dépendant des humeurs arbitraires des pouvoirs publics. Une entreprise qui >dispose de 1 million d'Euros de bénéfices investira davantage qu'une >entreprise qui, tous impôts et charges payés, ne dispose plus que de la >moitié de cette somme. C'est l'évidence même. > >Si les pouvoirs publics prélèvent cet argent par l'impôt pour le réinvestir >ensuite dans l'économie, cela entraîne des frais de fonctionnement qui >évaporent déj�* la moitié de la somme ; ensuite, ce sont les entreprises, et >non les pouvoirs publics, qui disposent de l'information économique la plus >pertinente. Enfin, historiquement, la Région wallonne n'a eu de cesse >d'investir dans des canards boîteux pour y maintenir artificiellement un >certain volume d'emploi : mines, sidérurgie. Ponctionnant ainsi les >entreprises saines et florissantes qui, elles, misaient sur le futur, des >moyens financiers de leur croissance. Hélas. > >Un Plan Marshall efficace pour sortir de soixante années de gestion basée >sur des idées économiques périmées passera impérativement par : > >1. - Réduction drastique des impôts, taxes et charges sur les salaires; >2. - Simplification législative qui passe par l'abrogation d'une bonne part >du "droit" actuel de l'environnement et de l'urbanisme. Cela signifie pas >que l'on créera autant de "vides juridiques" (expression a-juridique par >excellence) mais que l'on reviendra au droit commun appliqué par les cours >et tribunaux; >3. - Réduction drastique du volume de la fonction publique en ne remplaçant >qu'une partie des fonctionnaires qui partent en retraite; >4. - Instauration d'un système électoral majoritaire qui permette une >véritable alternance au pouvoir en Wallonie. >5. - Quitter progressivement les secteurs où les pouvoirs publics n'ont >rien �* faire, comme la culture et, pour une bonne part, l'économie. > >Au niveau fédéral : >6. - De ramener des syndicats qui prennent constamment les pouvoirs publics >en otage dans le giron de la légalité; >7. - De limiter les allocations de chômage dans le temps. > >Enfin, au niveau européen : >8. - De libéraliser les services en adoptant la directive prévue �* cet >effet (quel que ce soit le nom qu'on lui donne, pourvu que l'on conserve le >principe du pays d'origine). > >Il est certain que la réduction massive des impôts et charges confrontera >les pouvoirs publics �* l'alternative suivante : maintenir le niveau actuel >des dépenses publiques (solution américaine), ou réduire concomitamment ces >dépenses. La seconde branche de l'alternative est nettement préférable �* la >première, encore que celle-ci soit infiniment préférable �* la situation >actuelle. En diminuant de 30% le volume de l'impôt sans réduire les >dépenses au début des années quatre-vingt, Reagan a certes creusé le >déficit, mais il a aussi créé les conditions économiques de son >remboursement (l'administration Bush, quant �* elle, aurait avantage �* >freiner ses dépenses inconsidérées, même si l'endettement américain, >rapportée �* la richesse des Etats-Unis, n'est jamais que de 60 %. Le nôtre, >rappelons-le, est de 100 %). > >Tout "plan Marshall" qui n'en passe pas par l'essentiel des huit mesures >reprises ci-dessus - dont la plupart sont déj�* implémentées dans les pays �* >forte croissance et chômage faible - n'est que poudre aux yeux. C'est hélas le cas pour celui de la Wallonie. > >Plutôt que de geindre sur le "mépris" dont les accablent les Flamands, il >serait temps que les Wallons quittent leurs fantasmes économiques et >prennent conscience de la réalité économique et de leurs responsabilités. > Qu'on en finisse avec l'hégémonie du PS dans la vie publique. -- Fusti |