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#41 |
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![]() Daniel wrote:
> "ma" <[email protected]> a écrit dans le message de news: > [email protected]... >> C'est ton choix et je respecte. >> Des dominants, il y en plein chez les gays. >> > C'est mon éducation et la seule vraie valeur universelle pour l'être > humain. Tiens.. un autre qui s'imagine que son éducation, ses valeurs et sa vision du monde sont les seuls valables. |
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#42 |
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![]() "Eudémonix" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > ma wrote: > > C'est ton choix et je respecte. > > Des dominants, il y en plein chez les gays. > > Oui, c'est vrai. Ce qui n'a rien �* voir avec la virilité. D'ailleurs, > L'orientation sexuelle est sans aucun rapport avec la virilité. Un homme > peut être rose et hétéroé Un homme hoto effemminé peut être très viril > aussi. La virilité est la puissance sexuelle. Rien �* voir avec le reste. > Chez les gays, il faut qu'il y ai un dominant et un dominé. Le moins "normal" c'est le dominé. |
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#43 |
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![]() "Eudémonix" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > Daniel wrote: > > "ma" <[email protected]> a écrit dans le message de news: > > [email protected]... > >> C'est ton choix et je respecte. > >> Des dominants, il y en plein chez les gays. > >> > > C'est mon éducation et la seule vraie valeur universelle pour l'être > > humain. > > Tiens.. un autre qui s'imagine que son éducation, ses valeurs et sa vision > du monde sont les seuls valables. > Bien sûr, le comportement gay n'a jamais été un comportement universel. Nous sommes 95% �* le penser. Les gens normaux, ce sont eux qui ont fait le monde, qu'il a été peuplé par ces gens. Jusqu'�* nos jours se sont les femmes qui portent l'enfant suite �* un accouplement avec un mâle. |
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#44 |
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![]() "Eudémonix" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > Daniel wrote: > > "ma" <[email protected]> a écrit dans le message de news: > > [email protected]... > >> Comment peux tu savoir sans m'avoir vu et essayer ? > >> > >> Bisous dany > >> > > > > Ben, je suis du type dominant et ma virilité je la garde pour les > > filles. > > > Si tu as besoin d'être dominant pour te sentir viril, c'est que, au fond, tu > as un grave problème psychologique. En 2006, les rapports dominant-dominé > sont avérés abusifs, disfonctionnels et asociaux. Regarde notre planète et > constate les effets néfastes de cette attitude orgueilleuse et primitive sur > notre monde. > > Quand on n'est pas capable d'entretenir des rapports d'égal �* égal, c'est > qu'on fait pitié. > Je ne parle pas de politique ou de rapport humain,. Je parlme de baise entre homos. Je ne sais pas comment ca se passe chez les gays. Est ce a tour de rôle? D'après ce que j'ai entendu, il y a souvent un qui porte la culotte et l'autre qui se laisse faire. |
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#45 |
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![]() Daniel a écrit:
> Chez les gays, il faut qu'il y ai un dominant et un dominé. > Le moins "normal" c'est le dominé. Bien sûr. Et chez les couples formés d'un homme et d'une femme, le dominant c'est celui qui porte des couilles... Mon pauvre garçon... Vous êtes bien jeune, encore, et manquez cruellement d'expérience. Ou bien vous êtes bien vieux et ne vous souvenez plus... À moins que vous soyez tout simplement tellement sans intérêt que vous n'en intéressez aucune ? -- Anne G |
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#46 |
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![]() Daniel a écrit:
> "Eudémonix" <[email protected]> a écrit dans le message de news: >>Quand on n'est pas capable d'entretenir des rapports d'égal �* égal, c'est >>qu'on fait pitié. > Je ne parle pas de politique ou de rapport humain,. Je parlme de baise entre > homos. > Je ne sais pas comment ca se passe chez les gays. Est ce a tour de rôle? > D'après ce que j'ai entendu, il y a souvent un qui porte la culotte et > l'autre qui se laisse faire. Mon pauvre garçon... Et chez les lesbiennes ? -- Anne G |
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#47 |
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![]() "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > Daniel a écrit: > > > Chez les gays, il faut qu'il y ai un dominant et un dominé. > > Le moins "normal" c'est le dominé. > > Bien sûr. Et chez les couples formés d'un homme et d'une femme, le > dominant c'est celui qui porte des couilles... > > Mon pauvre garçon... > Vous êtes bien jeune, encore, et manquez cruellement d'expérience. > > Ou bien vous êtes bien vieux et ne vous souvenez plus... > > À moins que vous soyez tout simplement tellement sans intérêt que vous > n'en intéressez aucune ? > > -- > Anne G > Jusqu'�* nouvel ordre, je pense que les femmes préfères les hommes. Elles ont besoin d'affection, de sécurité, etc.... Elles sont conçues de façon �* jouir durant l'acte d'amour. C'est en principe, l'homme qui mène la danse amoureuse, si vous voyez ce que je veux dire.Par dominant, j'entends ce genre de chose, puisque l'on parle de sexe. Et il en est de même pour les gays. Loin de moi de penser �* un caractère dominant, répressif.... |
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#48 |
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![]() "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > Daniel a écrit: > > "Eudémonix" <[email protected]> a écrit dans le message de news: > > >>Quand on n'est pas capable d'entretenir des rapports d'égal �* égal, c'est > >>qu'on fait pitié. > > > Je ne parle pas de politique ou de rapport humain,. Je parlme de baise entre > > homos. > > Je ne sais pas comment ca se passe chez les gays. Est ce a tour de rôle? > > D'après ce que j'ai entendu, il y a souvent un qui porte la culotte et > > l'autre qui se laisse faire. > > Mon pauvre garçon... > > Et chez les lesbiennes ? > > -- > Anne G > Le sexualité des lesbienns est différente. Mais je ne connais pas trop le sujet. Mais je peux appronfondir. Et cessez de m'appeler ' mon pauvre " ma vieille, ca fait pathétique. |
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#49 |
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![]() "Daniel" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > > "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: > [email protected]... > > Daniel a écrit: > > > "Eudémonix" <[email protected]> a écrit dans le message de news: > > > > >>Quand on n'est pas capable d'entretenir des rapports d'égal �* égal, > c'est > > >>qu'on fait pitié. > > > > > Je ne parle pas de politique ou de rapport humain,. Je parlme de baise > entre > > > homos. > > > Je ne sais pas comment ca se passe chez les gays. Est ce a tour de rôle? > > > D'après ce que j'ai entendu, il y a souvent un qui porte la culotte et > > > l'autre qui se laisse faire. > > > > Mon pauvre garçon... > > > > Et chez les lesbiennes ? > > > > -- > > Anne G > > > Le sexualité des lesbienns est différente. Mais je ne connais pas trop le > sujet. Mais je peux appronfondir. > Et cessez de m'appeler ' mon pauvre " ma vieille, ca fait pathétique. > Encore que chez les lesbiennes, le problème est le même. Il y en a une qui joue au mec. |
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#50 |
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![]() Daniel a écrit:
> C'est en principe, l'homme qui mène la danse amoureuse, si vous voyez ce que > je veux dire.Par dominant, j'entends ce genre de chose, puisque l'on parle > de sexe. Vous devriez aller vivre un peu, et revenir qund vous saurez de quoi vous parlez, alors. -- Anne G |
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#51 |
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![]() Daniel a écrit:
> "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: >>>Je ne sais pas comment ca se passe chez les gays. Est ce a tour de rôle? >>>D'après ce que j'ai entendu, il y a souvent un qui porte la culotte et >>>l'autre qui se laisse faire. >>Mon pauvre garçon... >>Et chez les lesbiennes ? > Le sexualité des lesbienns est différente. Mais je ne connais pas trop le > sujet. Ah bon. Donc les femmes, brusquement, ne cherchent plus protection... > Mais je peux appronfondir. Faites, faites. > Et cessez de m'appeler ' mon pauvre " ma vieille, ca fait pathétique. Certainement pas autant que « mon pauvre garçon ». On vieillit contre sa volonté. On est aussi niais que vous parce qu'on s'y trouve bien, mon pauvres niais. -- Anne G |
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#52 |
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![]() "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > Daniel a écrit: > > > > Encore que chez les lesbiennes, le problème est le même. Il y en a une qui > > joue au mec. > > Mon pauvre garçon... > > -- > Anne G > C'est que l'amour t'aveugle et tu ne sais même pas qui dirige. Toi ou ta partenaire. |
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#53 |
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![]() "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > Daniel a écrit: > > "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: > > >>>Je ne sais pas comment ca se passe chez les gays. Est ce a tour de rôle? > >>>D'après ce que j'ai entendu, il y a souvent un qui porte la culotte et > >>>l'autre qui se laisse faire. > > >>Mon pauvre garçon... > > >>Et chez les lesbiennes ? > > > Le sexualité des lesbienns est différente. Mais je ne connais pas trop le > > sujet. > > Ah bon. > Donc les femmes, brusquement, ne cherchent plus protection... > Mais si elle cherche protection dans les bras de la fille mâle. > > Mais je peux appronfondir. > > Faites, faites. > > > Et cessez de m'appeler ' mon pauvre " ma vieille, ca fait pathétique. > > Certainement pas autant que « mon pauvre garçon ». Ma povre fille, t'es pas gaté par la nature et tu en veux aux autres. > > On vieillit contre sa volonté. > On est aussi niais que vous parce qu'on s'y trouve bien, mon pauvres niais. > > -- > Anne G > La question de l'homosexualité féminine soulève généralement deux problèmes, qui se rejoignent d'ailleurs : le premier concerne le rapport apparemment asymétrique entre les formes masculines et féminines de l'homosexualité, le second est celui de l'existence éventuelle d'une forme typiquement féminine de perversion, dont participerait justement l'homosexualité. Lacan avait apporté une réponse unique aux deux questions en avançant que l'homosexualité ne pouvait signifier que l'amour du même, c'est-�*-dire du sexe universellement masculin symbolisé par le phallus, tandis que l'amour des femmes méritait de quelque forme qu'il se présente le qualificatif d'hétérosexuel, puisque aimer une femme revient toujours �* aimer l'autre sexe. De ce point de vue, écartant résolument le critère de l'inversion, il n'y aurait tout simplement pas d'homosexualité féminine. Pour répondre �* ce syllogisme lacanien, Serge André (L'Imposture perverse, Seuil, 1993) s'attache �* reconsidérer la deuxième question, celle de la perversion. Si l'on parvient �* montrer en effet que le fantasme de certaines femmes est de structure indéniablement perverse, incluant même une forme particulière de fétichisme, il faudra bien admettre que leur identification phallique les éloigne radicalement de l'amour des femmes et donc de l'hétérosexualité. Un chose est sûre, si l'homosexualité féminine semble moins scandaleuse et moins surveillée que l'homosexualité masculine, c'est parce qu'elle ne remet pas fondamentalement en cause la dignité du sacro-saint phallus, symbole de la Loi et de l'ordre dans notre civilisation. En effet on ne peut s'affranchir de l'impression que les homosexuelles, quelque soit leur structure, ne peuvent éviter de "faire l'homme" quand bien même elles passeraient leur temps �* le défier. Il convient d'abord, au moins �* titre heuristique, de repérer une forme d'homosexualité féminine relevant clairement de la structure hystérique. La question fondamentale porte sur la nature du désir féminin, via une identification au père imaginaire (comme dans toute névrose). L'hystérique refuse de considérer que ce désir se satisfasse, pour une femme, �* accepter le rôle d'objet de jouissance que les hommes leur attribue, plus ou moins systématiquement, dans leur fantasme. Elle pose donc - �* une femme d'abord, mais au-del�*, �* l'homme - la question de savoir comment on aime une femme. Elle ne veut rien savoir du désir masculin, elle ne veut que l'amour ; elle ne veut pas être objet de fantasme, mais objet d'adoration. C'est pourquoi elle a recourt �* l'autre femme, aimée ou amante, pour médiatiser son rapport avec les hommes dans l'ordre du désir. Or, cette distinction fondamentale du désir et de l'amour nous amène �* considérer que, certaines fois, c'est bien de désir qu'il s'agit entre femmes et non d'amour. Ce qui compte, ce n'est pas seulement le choix d'objet (sans discrimination a priori entre amour et désir), mais l'identification sexuelle, au niveau du fantasme, impliquant cette fois les dimensions du désir et de la jouissance. Certaines femmes, en effet, désirent les femmes exactement comme les hommes peuvent les désirer, c'est-�*-dire en les réduisant d'abord �* des objets de jouissance, et n'y incluant l'amour qu'après-coup. Comment une telle différenciation sexuelle, entre femmes. du même sexe, peut-elle se constituer ? C'est ici que la dialectique phallique reprend ses droits, en ce sens que l'identité sexuelle n'est pas biologique mais qualifie un certain rapport symbolique au Phallus (en tant qu'unique symbole sexuel), soit deux types de rapports qui se spécifient grammaticalement sur les modes de l'avoir et de l'être. Avoir le Phallus, ce n'est pas spécialement posséder un pénis, mais signifier �* l'autre sexe (donc une femme) que l'on peut, sinon satisfaire, du moins répondre �* son désir. Or c'est précisément sur ce mode de l'avoir que l'homosexuelle véritable, que l'on va qualifier de perverse, entend rivaliser avec l'homme. En quoi elle est crue d'ailleurs, du moins quelque temps, par l'homosexuelle hystérique (avec laquelle elle peut faire couple) qui a discrédité depuis longtemps le désir masculin, comme incapable de satisfaire son "vrai" désir féminin "au-del�*" même du désir, désir transcendant et infini (preuve qu'elle le confond avec la demande et l'amour). Naturellement, presque narcissiquement, elle s'imagine que seule une femme, une "vraie femme", l' "Autre femme" peut satisfaire le vrai désir comme Autre désir. C'est ici qu'elle se leurre, elle qui rêve d'hétérosexualité absolue, car qu'est-ce qu'une vraie femme ? Serait-ce l'homosexuelle perverse, qui ne demande qu'�* la faire jouir (éventuellement l'aimer) comme un homme le ferait, mais mieux que lui, c'est-�*-dire comme un sur-homme ? Se laissera-t-elle berner, abuser même ? Car le désir pervers, lui, ne s'embarrasse pas de question sur l'essence de la féminité, et ne joue pas �* repousser la jouissance : il se rabat plutôt sur un impératif de jouissance immédiate. D'autre part l'homosexuelle véritable n'aime pas les femmes au sens où l'hystérique aime la féminité ; de ce point de vue elle les déteste plutôt. Son identification est double : en tant qu'homosexuelle, elle connaît l'identification "régressive" au Père (comme le dit Freud). Mais en tant que perverse, elle s'identifie �* la mère phallique primordiale qui châtre les hommes et les exclut partiellement de leur univers. Pas entièrement (comme pour les psychotiques) : l'homme reste présent dans la vie de l'homosexuelle perverse en tant que châtré précisément, en tant que défié, et s'il s'agit d'un analyste spécialement, en tant que trompé. Perverse elle l'est au sens où la répartition n'est pas seulement du genre : les hommes d'un côté (le mal), les femmes de l'autre (le bien), mais bien plus narcissique : d'une part la femme et sa mère apparaissent non châtrées, d'autre part les autres femmes (les hommes sont laissés tombés comme objets sexuels) sont réduites �* des objets potentiels de jouissance et sont châtrées. Cette identification �* une maternité primordiale, non sexuée, nous met sur la piste pour reconnaître l'existence d'un fétiche spécifique �* l'homosexuelle perverse, peut-être �* toute femme perverse. Chez la femme, le fétiche se ramène �* sa progéniture, disait Lacan. Quelle fonction ce fétiche pourrait-il avoir ? La même que le fétiche masculin qui est censé masquer et dévoiler en même temps ce que le petit garçon n'a pas vu au niveau du sexe maternel, de sorte que le fétiche représente le phallus imaginaire maintenu �* cette place. Il est clair que l'enfant, s'agissant d'un être imaginaire et fantasmé le plus souvent, ou bien plus rarement d'un être réel en position directe d'objet de jouissance (et donc d'objet surprotégé) constitue un phallus idéal pour l'homosexuelle désireuse de prouver aux hommes qu'ils sont �* peu près inutiles, tant pour fabriquer des enfants que pour assurer la jouissance sexuelle d'une partenaire féminine. L'enfant fétiche n'a le plus souvent d'existence qu'imaginaire, invisible plutôt que visible, intérieure plutôt qu'extérieure : il est censé appartenir originellement et de plein droit au corps féminin, en commençant par le corps maternel, "gros" depuis toujours d'une telle potentialité de vie et de jouissance. Dans l'analyse célèbre de la "jeune homosexuelle", Freud a montré la position d'enfant-objet auquel se réduisait la jeune fille au moment de son passage �* l'acte, en chutant du haut d'un pont de chemin de fer. Elle réalisait par-l�* ce phallus imaginaire, sur le mode du dépit causé par l'attitude du père, en accouchant potentiellement d'un enfant mort. Mais dans le cas des homosexuelles perverses et déclarées, ce stade de l'adresse au père n'est plus de mise : le phallus, elles l'ont, elles ne le sont pas, et elles s'en servent (c'est une puissance). Elles n'ont pas l'intention de devenir mère, et se conduisent plutôt comme des surhommes, fortes de l'enfant-fétiche qu'elles ont en elles imaginairement et qu'elles ne céderont jamais, vu qu'il s'identifie �* leur organe sexuel et �* sa puissance supérieure �* celle de l'homme, comme en constante érection interne. L'explication psychanalytique semble ainsi parfaitement achevée. Il reste qu'on ne peut pas réduire l'existence d'un sujet, fût-il pervers, �* un rapport simplement autistique avec cet objet de jouissance et de puissance qu'est le fétiche. Relançons au moins la réflexion, et traçons une piste. Loin d'être seulement une sujétion �* la mère toute puissante, l'essence de l'homosexualité féminine ne réside-t-elle pas plutôt dans l'extériorisation et l'utilisation politique du fétiche, et ne faut-il pas reconnaître une dimension proprement éthique �* la provocation homosexuelle ? En admettant la thèse de l'enfant-fétiche, porté par les femmes homosexuelles, de quel message est-il porteur, lui ? Quelle génération d'"hommes" annonce-t-il ? |
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#54 |
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![]() Daniel a écrit:
> Encore que chez les lesbiennes, le problème est le même. Il y en a une qui > joue au mec. Mon pauvre garçon... -- Anne G |
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#55 |
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![]() "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > Daniel a écrit: > > > C'est en principe, l'homme qui mène la danse amoureuse, si vous voyez ce que > > je veux dire.Par dominant, j'entends ce genre de chose, puisque l'on parle > > de sexe. > > Vous devriez aller vivre un peu, et revenir qund vous saurez de quoi > vous parlez, alors. > Une femme, quand on l'aime, on la prend dans toute les positions. |
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#56 |
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![]() Daniel a écrit:
> "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: >>Vous devriez aller vivre un peu, et revenir qund vous saurez de quoi >>vous parlez, alors. > Une femme, quand on l'aime, on la prend dans toute les positions. Mon pauvre garçon... -- Anne G |
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#57 |
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![]() On Wed, 09 Aug 2006 17:43:43 -0400, Anne <[email protected]> :
>Daniel a écrit: >> "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: > >>>Vous devriez aller vivre un peu, et revenir qund vous saurez de quoi >>>vous parlez, alors. > >> Une femme, quand on l'aime, on la prend dans toute les positions. > >Mon pauvre garçon... Pauvre vieille fille... |
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#58 |
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![]() "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > Daniel a écrit: > > "Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news: > > >>Vous devriez aller vivre un peu, et revenir qund vous saurez de quoi > >>vous parlez, alors. > > > Une femme, quand on l'aime, on la prend dans toute les positions. > > Mon pauvre garçon... > > > -- > Anne G > C'est que l'on ne t'as jamais aimé, ma povre fille. Désolé pour toi. Sur ce chemin plein d'embûches, Lacan précise que " l'homosexualité féminine se rencontre chaque fois que la discussion s'établit sur le sujet des étapes que la femme a �* remplir dans son achèvement symbolique. " Elle ignore en effet la vérité et la justesse de ce qu'elle met en scène, ce que peut être l'amour d'un homme pour une femme, une femme assumant sa privation phallique. |
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#59 |
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![]() "Eudémonix" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > ma wrote: > > C'est ton choix et je respecte. > > Des dominants, il y en plein chez les gays. > > Oui, c'est vrai. Ce qui n'a rien �* voir avec la virilité. D'ailleurs, > L'orientation sexuelle est sans aucun rapport avec la virilité. Un homme > peut être rose et hétéroé Un homme hoto effemminé peut être très viril > aussi. La virilité est la puissance sexuelle. Rien �* voir avec le reste. Il faudrait définir la virilité. Pour moi, elle ne tient pas que dans le slip. Et ça les homos, préfère suivre les biens pensants et la pensée unique que de chercher le conflit. C'est de cette virilité surtout dont je parle. |
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#60 |
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![]() Daniel a écrit:
> une femme assumant sa privation phallique. Il y a bien 30 ans que cette théorie freudienne ridicule est tombée en désuétude. |