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Immigratie en integratie Het forum bij uitstek voor discussies over thema's zoals vreemdelingenbeleid, integratie versus assimilatie, (verplichte) inburgering,...

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Oud 11 januari 2004, 02:18   #41
Véronique
Schepen
 
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Geregistreerd: 29 november 2003
Locatie: Lokeren
Berichten: 482
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Citaat:
Oorspronkelijk geplaatst door filosoof

Druk? In hoeveel gevallen van huishoudelijk geweld wordt de klacht ingetrokken voor het proces, denk je? (en dat geldt voor alle volksstammen, Vlamingen inbegrepen...)
Onpartijdig? Denk je écht dat rechters geen mensen zijn, maar machines? Rechters hebben ook politieke en godsdienstige overtuigingen, een verleden, een "klassegevoel", soms onverwerkte traumas uit hun jeugd, ruzie(tjes) met hun vrouw, juist als gelijk wie...
Inderdaad, ik kan het me echt al voorstellen dat een rechter een zware echtelijke ruzie heeft gehad en dan heel neutraal moet kunnen blijven als hij over een identiek dispuut moet oordelen.

Een mens is inderdaad maar een mens
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Oud 11 januari 2004, 19:57   #42
1handclapping
Europees Commissaris
 
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Geregistreerd: 3 juli 2003
Locatie: Antwerpen-Deurne
Berichten: 7.132
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Vooreerst een opmerking : de sharia is niet van kracht in alle moslimlanden - bijgevolg indien we het privaatrecht volgens het land van oorsprong zouden invoeren/toepassen gaat het om het privaatrecht van het land van oorsprong en slechts in die uitzonderlijke gevallen waar dit de sharia zou zijn zou die tot grondslag van dit recht zijn. Het is evident dat om praktische redenen dit niet mogelijk is tenzij de betrokkenen voor de duur van het proces naar hun land van oorsprong zouden gaan.

Interessant is ook de denkpiste dat in een bepaalde rechtspraak de behandeling van mannen en vrouwen ongelijk is maar dat mannen en vrouwen wel als gelijkwaardig kunnen gezien worden - dat de rechten en plichten van man en vrouw m a w verschillend kunnen zijn. op zich is hier niets verkeerds aan , behalve dan in het geval dat die definities opgelegd zijn door ofwel mannen ofwel vrouwen dwz op eenzijdige basis. Laten we er even niet van uitgaan dat het god zelf is die de wet oplegt ?
__________________
Deze gebruikersnaam wordt niet meer benut - maar wel mijn werkelijke naam : Roger Verhiest
1handclapping is offline   Met citaat antwoorden
Oud 25 januari 2004, 10:01   #43
Laudi
Schepen
 
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Geregistreerd: 19 december 2003
Berichten: 409
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Ongehoord !!
Onbegrijpelijk , hoe men overweegt om een puur dictatoriaal systeem in te voeren , in Canada en blijkbaar , te oordelen aan reacties van sommige mensen op dit forum, ook in Belgie binnenkort !!
Geef ze een vinger , en ze nemen je arm
Binnenkort is het dan waarschijnlijk mogelijk als ik me in geschil met mijn allochtone medemens bevindt, dat ik , verplicht als het van de PC's afhangt, me moet verantwoorden voor een islamitische rechtbank en me onderwerpen aan de sharia
Een echte nachtmerrie : stel dat mijn vrouw een straf oploopt volgens de sharia
Laudi is offline   Met citaat antwoorden
Oud 6 februari 2004, 04:27   #44
filosoof
Banneling
 
 
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Geregistreerd: 22 mei 2003
Locatie: Brussel
Berichten: 49.496
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Nog een misrekening van de US:Waarom waren de Amerikanen ook weer in Irak? om de Westerse Waarden te verdedigen?
[size=6]Le gouvernement transitoire veut abroger le code de la famille et le confier aux religieux. [/size]
Les femmes irakiennes refusent le carcan de la charia


Par Hélène DESPIC-POPOVIC

Libération, vendredi 23 janvier 2004



http://<br /> http://www.liberation...Article=173291

«Les femmes attendaient une amélioration du code de 1959, pas ce retour en arrière.» Chimene Bajilan, vice-procureure kurde Bagdad envoyée spéciale


lles ont entre 30 et 50 ans, la démarche assurée, le verbe haut, et, surtout, ne portent pas le voile, qui, insécurité oblige, a envahi les rues de Bagdad. Musulmanes, kurdes ou chrétiennes, elles ont souvent payé cher, par la prison ou l'exil, le prix de leur liberté et n'entendent pas abdiquer au profit de leurs pères, maris ou frères �* la première semonce. Alors, dans les rues de Bagdad, où tous ceux qui avaient jadis été privés de voix n'en finissent plus de se rassembler, les uns pour réclamer un emploi, les autres, un logement, elles manifestent pour dénoncer la décision 137 du gouvernement transitoire, qui abroge l'ancien code de la famille en vigueur depuis 1959 �* considéré comme l'un des plus progressistes dans un pays musulman �* et confie les affaires de la famille aux religieux, statuant selon la charia.

«Nous savons que ce décret n'a aucune chance d'être appliqué, car, pour l'être, il devrait être ratifié par l'administrateur américain, Paul Bremer. Mais il ne sera pas toujours l�* et nous aurons un Parlement qui pourrait très bien prendre les mêmes décisions. Alors nous avons décidé de faire comprendre que rien ne se fera sans un dialogue avec nous», explique Selma Jabo, ancienne exilée et ex-communiste, militante bénévole de l'association El-Amal (l'espoir), qui porte élégamment sa petite cinquantaine.

Droit au divorce. Les femmes «attendaient une amélioration du code de 1959, pas ce retour en arrière», explique sa consoeur kurde Chimene Bajilan, 33 ans, actuellement vice-procureur d'un district du nord de l'Irak. Adopté après le départ des colonisateurs britanniques, ce code était le seul des pays musulmans �* accorder aux femmes le droit de divorcer. «L'homme était tenu de payer les dépenses de sa maison pendant trois ans. La femme conservait la garde de ses enfants jusqu'�* leurs 15 ans. Les enfants décidaient ensuite s'ils restaient avec leur mère ou partaient chez leur père», précise Selma. Le code de 1959 accordait aux femmes un long congé de maternité, interdisait la répudiation, leur donnait une part d'héritage et rendait difficile la polygamie. Au lieu des quatre épouses autorisées par l'islam, l'homme pouvait en avoir deux, mais �* condition seulement que la première donne son accord.

Dans ce pays, où la montée des sentiments religieux est perceptible depuis la chute de Saddam Hussein, il est difficile pour les femmes de se dire hostiles �* la loi islamique. Alors elles jonglent, �* la recherche d'aménagements satisfaisant Dieu, l'orgueil des hommes et leurs intérêts. «Le code de1959, explique Chimene, est aussi basé sur la charia, mais il a pris ce qu'il y a de plus favorable dans chacune des cinq doctrines islamiques présentes en Irak. Par exemple, dans la loi de 1959, la femme reçoit la moitié de la part d'héritage qui revient �* l'homme, ce qui est la coutume chez les chiites. Chez les sunnites, la doctrine l'exclut de l'héritage.» Opposées �* la polygamie, elles entendent y faire obstacle par des moyens détournés. «Le droit tunisien est basé sur la charia mais il interdit la polygamie. Car la loi islamique assortit les mariages multiples de nombreuses conditions. L'homme doit être juste avec ses quatre femmes. Et cela n'arrive jamais. Cette condition n'étant pas applicable, la polygamie ne peut donc pas se pratiquer», précisent les deux militantes.

Problèmes sociaux. La situation démographique est l'un des arguments avancés par les partisans de la polygamie. Les guerres et la terreur de Saddam ont creusé le déficit au profit des femmes, qui représentent 60 % de la population. Les femmes n'arrivent pas �* comprendre comment une telle décision a pu être prise �* la sauvette, un 29 décembre au soir, cinq minutes avant la fin d'une réunion du Conseil provisoire de gouvernement, sous la présidence du leader du Conseil suprême de la révolution islamique en Irak, Abdel Aziz al-Hakim, terminant alors sa période de rotation, alors que tous les délégués, notamment celui de la communauté chrétienne, n'étaient pas présents.

Aurait-on sacrifié les femmes pour se concilier les faveurs des leaders religieux, dont la grogne embarrasse les autorités actuelles, nommées et sans véritable légitimité ? C'est la question que se pose Pascale Warda, la responsable chrétienne de l'Union des femmes assyriennes, un groupe qui refuse la vision communautariste et confessionnelle qui sous-tend la décision 137 sur la famille. «Les femmes d'aujourd'hui sont médecins ou professeures d'université. Elles occupent les trois quarts des emplois dans les ministères. Elles ne toléreront pas qu'on leur dise qu'il leur manque quelque chose. Le problème, ce n'est pas le Coran mais l'interprétation qu'en font les mollahs», dit la jeune femme, qui refuse de voir l'islam devenir religion d'Etat.

Menace de grève. Deux fois par semaine, le groupe se réunit pour essayer de promouvoir la place de la femme dans la société. Avocates, ingénieures ou mères de famille, elles entendent être représentées dans le processus de démocratisation. «Nous avons adressé une lettre �* Paul Bremer dans laquelle nous demandons qu'�* l'avenir tous les organismes représentatifs comportent au moins 40 % de femmes», explique l'avocate Ban Jamil, ajoutant: «Si on ne nous écoute pas, nous ne ferons pas seulement des manifestations, mais aussi la grève.» Pris de court, le nouveau président en exercice du Conseil de gouvernement, Adnan Pachachi, s'est démarqué, jeudi dernier, de la décision 137 et a promis de nouvelles discussions
filosoof is offline   Met citaat antwoorden
Oud 6 december 2004, 10:22   #45
nadine
Parlementslid
 
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Geregistreerd: 25 mei 2004
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Citaat:
Oorspronkelijk geplaatst door Rudi Dierick
Bij deze grondige toelichting toch enkele bemerkingen:
1. De islamieten �* la AEL en de Moslim Executieve van belgie vragen niet enkel dat de sharia hier toegepast mag worden voor Marokkaans, Turkse, ... ingezetenen, maar OOK voor ALLE hier wonende islamitische belgen! Dit is dus een iets andere problematiek, maar, gezien de éénheid van argumentatie vand e islamisten één probleem.
2. Voor zover ik weet mogen de resultaten van arbitrage ook niet ingaan tegen de fundamentele mensenrechten. De gelijkheid van man en vrouw hoort daar toch bij. Dus zie ik niet in waarom zo'n door de islamitische rechter uitgesproken én afdwingbare ongelijke erfenisverdeling wel zou moeten kunnen.
3. Verschilt de sharia niet héél fundamenteel van het kanoniek en het Joodse recht in dat de sharia de voorrang van het burgerlijk recht niet radikaal afwijst, daar waar de hier werkende kerkelijke en Joodse rechtbanken dat wel doen?
4. Terzijde: wees maar NIET zo gerust met wat er in Canada gebeurt want straks worden alle andersdenkende islamieten, én alle ex-islamieten met de karwats aangepakt. Immers, weerom: de hardliners in de islam, dee islamisten weigeren te aanvaarden dat een islamiet een andere INTERPRETATIE van de Koram mag hebben, of dat hij de islamitische gemeenschap mag verlaten!
Als ze de sharia hier willen toepassen dat ze dan beginnen met de kleinere misdrijfen zoals op stelen bvb. Maar daarna niet komen klagen dat ze geen handenarbeid meer krijgen, hé
__________________
nadine is offline   Met citaat antwoorden
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