Violence conjugale: fini le laxisme !

Anne <[email protected]> wrote in news:[email protected]:

> jr a écrit:
>
>> Faut être tordue pour appeler un bébé Z.
>
> On l'appelle Mémé.

Moi c'est Bon Papa Junior.


s�*
--
jr

Thibaud :

> Cela dit, pourquoi ne peut-on, en France, demander une comparaison
> génétique?

On peut demander...au juge. On n'a pas le droit de faire soi-même, ni de
faire pour un tiers, ni même de faire faire �* l'étranger (autrement dit,
une analyse faite �* l'étranger ne peut pas être produite sauf �* se
retrouver du mauvais côté de la barre).

C'est encore bien trop, évidemment. Les analyses ADN devraient être
limitées au pénal dans les pays civilisés.


s�*
--
jr

"tortueninja" <tortue@ninja> a écrit dans le message de
news:[email protected]...

>
> C'est vrai que comme les femmes, les beaufs, c'est des brailleuses...
> L'homo, ce serait peut être la femme idéale. :)
>

Le travelo genre Naibed la belge c'est mieux et il tient �* ce qu'on
le prenne pour une nana. Manièré le petit chou. C'est pas comme jr
qui veut se faire passer lui pour un mec ! Quel monde de déjantés !

"Thibaud" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]...
> Anne a écrit:

>
> Et que penser de la dame en question?
>
> Cela dit, pourquoi ne peut-on, en France, demander une comparaison
> génétique?

Pour préserver un semblant d'ordre social.
Tu imagines, si tous les cocus avaient la preuve de leur état ?
Les seuls mariages qui tiendraient encore seraient les mariages homos :-)

--
Andrée

"Thibaud" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]...
> Anne a écrit:
>> jr a écrit:
>>
>>> Anne:
>>>
>>>> jr a écrit:
>>>>
>>>>> Anne:
>>>>
>>
>>>>>> Mon frère a fait reconnaître sa paternité d'un enfant que la mère
>>>>>> voulait obliger un autre �* reconnaître.
>>>>>
>>
>>>>> Soupir
>>>>
>>
>>>> Je sens que quelque chose vous dérange...
>>>
>>
>>> Ben oui. Mon enfant �* moi que j'ai avec la carte grise et le certificat
>>> de non-gage.
>>
>>
>> C'est bien ce qu'il me semblait.
>>
>> Comment dire... La femme aimerait bien que X soit le père obligé d'un
>> enfant qu'elle lui ferait dans le dos. Histoire de... vous comprenez.
>>
>> Seulement, la chair est faible. Et elle couche aussi avec Y qui, lui, ne
>> dirait pas non �* l'idée d'avoir un enfant. Mais pas histoire de..., lui.
>>
>> Et lorsque l'enfant paraît, que X affirme qu'il refuse d'être père, que Y
>> dit que lui, il veut bien; la toute petite Z se retrouve pas-de-papa,
>> parce que maman, elle dit que ce sera X ou rien.
>>
>> Alors Y s'arrange pour être reconnu légalement comme le père de Z. Du
>> coup, Z a un papa.
>>
>> Je sens bien que quelque chose vous dérange...
>>
>
> Et que penser de la dame en question?
>
> Cela dit, pourquoi ne peut-on, en France, demander une comparaison
> génétique?

Bien sûr que si, il y en a. D'où vient cette fable ?

"Anne" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]...
> Thibaud a écrit:
>
>>> Vous adhérez vraiment �* aux idées de « garscontent » ?
>
>> Connais pas.
>
> Tiens, je vous en ai trouvé un beau :
> http://www.entregars.com/archedito46.htm


C'est écrit dans quelle langue ????

Anne :

> Comment dire... La femme aimerait bien que X soit le père obligé d'un
> enfant qu'elle lui ferait dans le dos. Histoire de... vous comprenez.
>
> Seulement, la chair est faible. Et elle couche aussi avec Y qui, lui, ne
> dirait pas non �* l'idée d'avoir un enfant. Mais pas histoire de..., lui.
>
> Et lorsque l'enfant paraît, que X affirme qu'il refuse d'être père, que
> Y dit que lui, il veut bien; la toute petite Z se retrouve pas-de-papa,
> parce que maman, elle dit que ce sera X ou rien.
>
> Alors Y s'arrange pour être reconnu légalement comme le père de Z.

Mais comment fait-il?
Le pourrait-il s'il n'était pas le père génétique?
Si j'ai bien tout compris, il ne peut pas sans que la mère soit d'accord
(elle peut faire un recours, non?)


--
Lf.

Anne :

> Si les hommes veulent revendiquer leur droit de ne pas être pères, ils
> ont �* se préoccuper de ce problème personnellement, plutôt que de venir
> pleurnicher qu'elles « leur ont fait un enfant sans leur consentement ».

Hum.
Ca rappelle étrangement les arguments "anti-avortement", vous ne trouvez
pas?
Au lieu de pleurnicher, elles feraient mieux...


--
Lf.

Anne :

> jr a écrit:

> > Ben, on en revient toujours au même paradoxe: la nana peut abandonner le
> > bébé sans recours possible de personne, pas le mec (France).
>
> Euh... Le mec ne peut pas demander �* faire reconnaître sa paternité d'un
> enfant né sous X ?

Si mais il ne peut pas engendrer sous X, lui.

--
Lf.

Lf:

> Anne :
>
>> Comment dire... La femme aimerait bien que X soit le père obligé d'un
>> enfant qu'elle lui ferait dans le dos. Histoire de... vous comprenez.
>>
>> Seulement, la chair est faible. Et elle couche aussi avec Y qui, lui,
>> ne dirait pas non �* l'idée d'avoir un enfant. Mais pas histoire
>> de..., lui.
>>
>> Et lorsque l'enfant paraît, que X affirme qu'il refuse d'être père,
>> que Y dit que lui, il veut bien; la toute petite Z se retrouve
>> pas-de-papa, parce que maman, elle dit que ce sera X ou rien.
>>
>> Alors Y s'arrange pour être reconnu légalement comme le père de Z.
>
> Mais comment fait-il?

Je suppose qu'il va voir un juge qui ordonne une expertise.

> Le pourrait-il s'il n'était pas le père génétique?

Non.

> Si j'ai bien tout compris, il ne peut pas sans que la mère soit
> d'accord (elle peut faire un recours, non?)

Faut voir, ça se passe au Canada.


--
jr

jr:

> Faut voir, ça se passe au Canada.

(ou en Belgique)

--
jr

Lf a écrit:
> Anne :

>>Si les hommes veulent revendiquer leur droit de ne pas être pères, ils
>>ont �* se préoccuper de ce problème personnellement, plutôt que de venir
>>pleurnicher qu'elles « leur ont fait un enfant sans leur consentement».

> Hum.
> Ca rappelle étrangement les arguments "anti-avortement", vous ne trouvez
> pas?

Non. Lesquels

> Au lieu de pleurnicher, elles feraient mieux...

Il y a jolie lurette que les femmes ne pleurent plus pour avoir droit �*
l'avortement.

Et, oui, si ça dérange les femmes de se faire avorter ou d'avoir des
enfants, elles ont des tas de moyens pour éviter ces deux problèmes.

Les hommes aussi ont des tas de moyens. Mais ils préfèrent, bien
souvent, se dire que madame va s'en occuper. Comme de la vaisselle.

Anne <[email protected]> wrote in news:434C2158.8060107
@alussinan.org:

> Les hommes aussi ont des tas de moyens. Mais ils préfèrent, bien
> souvent, se dire que madame va s'en occuper. Comme de la vaisselle.

J'adore faire la vaisselle et j'ai des "tas de moyens".

Où et Quand donc ? :-*

Lf a écrit:
> Anne :
>>jr a écrit:

>>>Ben, on en revient toujours au même paradoxe: la nana peut abandonner le
>>>bébé sans recours possible de personne, pas le mec (France).

>>Euh... Le mec ne peut pas demander �* faire reconnaître sa paternitéd'un
>>enfant né sous X ?

> Si mais il ne peut pas engendrer sous X, lui.

On en revient au début : il peut très bien ne pas engendrer.

Lf a écrit:
> Anne :

>>Comment dire... La femme aimerait bien que X soit le père obligé d'un
>>enfant qu'elle lui ferait dans le dos. Histoire de... vous comprenez.

>>Seulement, la chair est faible. Et elle couche aussi avec Y qui, lui, ne
>>dirait pas non �* l'idée d'avoir un enfant. Mais pas histoire de...,lui.

>>Et lorsque l'enfant paraît, que X affirme qu'il refuse d'être père, que
>>Y dit que lui, il veut bien; la toute petite Z se retrouve pas-de-papa,
>>parce que maman, elle dit que ce sera X ou rien.

>>Alors Y s'arrange pour être reconnu légalement comme le père de Z.

> Mais comment fait-il?
> Se pourrait-il s'il n'était pas le père génétique?

Je vous montrerai des photos.

Comment savoir, lorsqu'on couche avec deux hommes dans une période
fertile, lequel est le père ?

> Si j'ai bien tout compris, il ne peut pas sans que la mère soit d'accord
> (elle peut faire un recours, non?)

Elle a fini par se rendre �* l'évidence :
1) que sa fille avait besoin d'un père,
2) que X n'avait aucune intention de la reconnaître
3) que Y lui, voulait bien : les gardes partagées, les sous que ça
coûte, les nuits sans sommeil, les angoisses, s'en occuper pendant que
maman part en voyage et tout et tout...

La demoiselle est majeure, aujourd'hui.

Cela dit, lorsque j'ai donné naissance �* mon premier fils, la loi
considérait que, comme il n'avait pas de père, il n'était pas le neveu
de mes frères, ni le petit-fils de mon père. Je l'ai adopté. Coupant du
même coup l'herbe sous le pied �* l'indécis qui l'avait engendré.

Tiens, l'histoire de ma soeur, aussi :
Elle est, depuis dix ans, la maîtresse d'un homme marié avec deux enfants.
Ce dernier refuse de quitter le domicile conjugal, considérant qu'il a
mis au monde des enfants �* qui il doit présence et assistance.

Les deux madames s'accomodent de cet arrangement.

L'aîné, maintenant :
Homme responsable, il s'est fait vasectomiser �* 20 ans. Ça ne l'a pas
empêché d'élever les deux enfants de sa compagne.

Quelle famille, j'vous dis !
Aucun divorce avec dispute d'enfants. De vrais dégénérés.

Anne :

> Lf a écrit:
>
>> Anne :
>
>
>>> Si les hommes veulent revendiquer leur droit de ne pas être pères, ils
>>> ont �* se préoccuper de ce problème personnellement, plutôt que de venir
>>> pleurnicher qu'elles « leur ont fait un enfant sans leur consentement ».
>
>
>> Hum.
>> Ca rappelle étrangement les arguments "anti-avortement", vous ne trouvez
>> pas?
>
>
> Non. Lesquels

Au temps pas si archaïque où il y avait des débats sur la
dépénalisation, on disait que les nanas n'avaient pas besoin d'avorter,
puisqu'elles avaient déj�* la pilule.
Ici même j'ai déj�* discuté avec des gus scandalisés que leurs impôts
servent �* financer les conséquences des actes d'étourdies.

>> Au lieu de pleurnicher, elles feraient mieux...
>
>
> Il y a jolie lurette que les femmes ne pleurent plus pour avoir droit �*
> l'avortement.

Oui mais bon. C'est un droit auquel je tiens, personnellement.

> Et, oui, si ça dérange les femmes de se faire avorter ou d'avoir des
> enfants, elles ont des tas de moyens pour éviter ces deux problèmes.

Vous n'oubliez jamais la pilule?
Vous n'avez jamais entendu dire qu'il y a des accidents de capote?

> Les hommes aussi ont des tas de moyens. Mais ils préfèrent, bien
> souvent, se dire que madame va s'en occuper. Comme de la vaisselle.

A mon avis ce n'est pas si simple.

--

Lf.

Anne :

>>> Et lorsque l'enfant paraît, que X affirme qu'il refuse d'être père, que
>>> Y dit que lui, il veut bien; la toute petite Z se retrouve pas-de-papa,
>>> parce que maman, elle dit que ce sera X ou rien.
>
>
>>> Alors Y s'arrange pour être reconnu légalement comme le père de Z.
>
>
>> Mais comment fait-il?
>> Se pourrait-il s'il n'était pas le père génétique?
>
>
> Je vous montrerai des photos.

Je voulais demander si sa demande aurait été entendue, au cas où il
n'aurait pas été le père génétique.

> Comment savoir, lorsqu'on couche avec deux hommes dans une période
> fertile, lequel est le père ?

Et surtout: est-ce si important?

>> Si j'ai bien tout compris, il ne peut pas sans que la mère soit d'accord
>> (elle peut faire un recours, non?)
>
>
> Elle a fini par se rendre �* l'évidence :
> 1) que sa fille avait besoin d'un père,

Bah, moi je ne crois pas que les enfants aient spécialement besoin "d'un
père". Ils ont besoin qu'on s'occupe d'eux. Mais sur ce "on", je suis
sûre qu'ils n'ont pas beaucoup de préjugés:)

> 2) que X n'avait aucune intention de la reconnaître
> 3) que Y lui, voulait bien : les gardes partagées, les sous que ça
> coûte, les nuits sans sommeil, les angoisses, s'en occuper pendant que
> maman part en voyage et tout et tout...

Oui, c'était certainement raisonnable.
Mais je me demande ce qui se serait passé s'il n'avait pas été le père
génétique de l'enfant.

> Cela dit, lorsque j'ai donné naissance �* mon premier fils, la loi
> considérait que, comme il n'avait pas de père, il n'était pas le neveu
> de mes frères, ni le petit-fils de mon père.

Comment ça? Vous ne pouviez pas être sa mère pour la loi?

> Je l'ai adopté. Coupant du
> même coup l'herbe sous le pied �* l'indécis qui l'avait engendré.

Pourquoi? Il ne pouvait plus le reconnaître, du coup?

[...]
> Quelle famille, j'vous dis !

En effet:)

--

Lf.

Anne :

> Lf a écrit:
>
>> Anne :
>>
>>> jr a écrit:
>
>
>>>> Ben, on en revient toujours au même paradoxe: la nana peut
>>>> abandonner le
>>>> bébé sans recours possible de personne, pas le mec (France).
>
>
>>> Euh... Le mec ne peut pas demander �* faire reconnaître sa paternité d'un
>>> enfant né sous X ?
>
>
>> Si mais il ne peut pas engendrer sous X, lui.
>
>
> On en revient au début : il peut très bien ne pas engendrer.

Oui mais, s'il crève un pneu, il n'a pas de roue de secours. Alors que
les nanas en ont deux.

--

Lf.

jr a écrit:

> Faut voir, ça se passe au Canada.

Mais non.
Quand j'ai émigré, j'ai laissé mes frères, mes soeurs et leurs conjoints
chez eux, en Belgique.

Lf wrote:

>
>
> Anne :
>
>> Lf a écrit:
>>
>>> Anne :
>>>
>>>> jr a écrit:
>>
>>
>>>>> Ben, on en revient toujours au même paradoxe: la nana peut
>>>>> abandonner le
>>>>> bébé sans recours possible de personne, pas le mec (France).
>>
>>
>>>> Euh... Le mec ne peut pas demander �* faire reconnaître sa paternité
>>>> d'un enfant né sous X ?
>>
>>
>>> Si mais il ne peut pas engendrer sous X, lui.
>>
>>
>> On en revient au début : il peut très bien ne pas engendrer.
>
> Oui mais, s'il crève un pneu, il n'a pas de roue de secours. Alors que
> les nanas en ont deux.
>

Veuillez être encore plus explicite.
Âne ne comprend toujours pas.