Wat volgt? Dictatuur en digitale apartheid?

[Der Wanderer]

Arno Wellens, die ook duidelijk maakte dat de coronapas gewoon het reeds in 2011 geplande biomedische paspoort inleidt, deelde het volgende document van de Franse senaat:

https://www.senat.fr/rap/r20-673/r20...no.html#toc168

Ik licht er twee passages uit (fasten your seatbells, het is de moeite...):

- over de algemene doelstelling:

"On le voit : les perspectives ouvertes par le recours aux technologies numériques sont immenses, et la crise du Covid-19 n'a donné qu'un avant-goût des multiples cas d'usage possibles, ?* court, moyen ou long terme.

Alors que la pandémie de Covid-19 n'est pas terminée, et qu'il est probable que celle-ci ne soit ni la dernière, ni la plus forte, il serait irresponsable de ne pas se saisir de telles possibilités. Les restrictions généralisées imposées aux libertés « physiques » ces derniers mois sont de moins en moins supportables. Elles ne sont ni durables, ni même très efficaces, en comparaison de ce que permettrait un usage plus systématique du numérique.

Le recours au numérique permettrait de contrôler précisément le respect des mesures sanitaires, ?* un niveau individuel et en temps réel : en contrepartie, les restrictions pourraient être ciblées sur un faible nombre de personnes, et être plus limitées dans le temps, tout en ayant une efficacité maximale. Peut-être pourrons-nous demain, grâce au numérique, retrouver nos libertés « physiques » plus vite, ou même ne jamais les abandonner, et avoir des pandémies sans confinement - et ceci même si aucun vaccin ou traitement n'est disponible.

Les outils envisageables sont multiples mais, ?* court et moyen terme du moins, les cas d'usage les plus évidents concernent le contrôle du respect des règles visant ?* limiter la transmission du virus (pass sanitaire, couvre-feu, confinements, quarantaines, etc.), qui implique de croiser trois types de données : données d'identification, données médicales, et données de localisation (des plus intrusives, avec le tracking GPS, aux plus légères et occasionnelles, avec l'accès conditionnel ?* certains lieux, en passant par les données de localisation relative avec le contact tracing).

L'utilité des outils numériques dans la gestion de crise dépasse le seul domaine sanitaire, et s'étend également ?* d'autres types de crises, liées en particulier aux risques dits « NRBC », pour nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques, qui ont en commun de présenter un danger élevé et imminent pour la population, appelant ?* une réaction rapide et efficace. Ceux-ci peuvent résulter d'une attaque volontaire (conventionnelle ou terroriste, en particulier bioterroriste), mais aussi d'un accident industriel ou d'une catastrophe naturelle (y compris sans dimension NRBC : tsunami, tremblement de terre, inondation, etc.). Le Safety Check de Facebook, par exemple, est utilisé dans l'ensemble de ces cas. Toutes ces situations peuvent nécessiter d'identifier rapidement des personnes, d'évaluer leur état de santé ou les risques qu'ils encourent, et de les localiser précisément pour leur porter assistance.

Les développements ci-dessous exposent donc quelques cas d'usage potentiels, au travers d'une typologie fondée sur les finalités des mesures, qui peuvent être très différentes pour une même technologie sous-jacente. Cette liste est nécessairement incomplète, incertaine, et discutable : il s'agit d'un exercice de prospective."

- over enkele mogelijke implicaties wat controle betreft:

"Même s'ils sont rarement présentés comme tels, des dispositifs tels que le pass sanitaire ou le passeport sanitaire relèvent bien de la catégorie des outils contraignants, car ils conditionnent, de facto ou de jure selon les cas, l'accès ?* certains lieux et ?* certaines activités. En soi, cela n'a rien d'exceptionnel : le « vrai » passeport, le carnet international de vaccination ou le permis de conduire font la même chose, c'est-?*-dire autoriser ou interdire, soit l'une des fonctions principales de la puissance publique.

Mais la contrainte change de nature dès lors qu'elle s'exerce par un contrôle, le cas échéant assorti de sanctions. Et c'est précisément l?* que le numérique pourrait être le plus « efficace ».

Précisons qu'il existe des formes de contrôle ou de contrainte plus implicites, mais non moins efficaces : un portique d'entrée dans le métro qui se mettrait ?* sonner très fort au passage d'une personne contagieuse ou censée être confinée serait dans la plupart des cas suffisamment dissuasif pour qu'il ne soit même pas nécessaire de transmettre cette information aux autorités chargées de contrôler le respect des règles. Début 2021, la presse a rapporté le cas d'un boîtier connecté, porté autour du cou, qui sonnerait (avec un son de 85 décibels) en cas de non-respect des règles de distanciation par les salariés d'une entreprise37(*). L'initiative a été dénoncée comme anxiogène et inacceptable. Techniquement, toutefois, nul besoin d'un boitier autour du cou : un smartphone peut faire la même chose avec son Bluetooth, et un son de 100 décibels. En Asie, le contrôle social a pris des formes beaucoup moins anecdotiques : en Corée du Sud, les habitants positifs d'un quartier pouvaient être géolocalisés sur une carte accessible ?* tous, et en Chine, on a vu d'honnêtes citoyens prendre eux-mêmes en charge la « police sanitaire » de leur immeuble. Plus généralement, le système du crédit social (cf. supra), s'il n'implique que rarement des sanctions effectives, se rattache ?* cette logique de contrôle social.

Enfin, dans les situations de crise les plus extrêmes, les outils numériques pourraient permettre d'exercer un contrôle effectif, exhaustif et en temps réel du respect des restrictions par la population, assorti le cas échéant de sanctions dissuasives, et fondé sur une exploitation des données personnelles encore plus dérogatoire.

Ces outils sont les plus efficaces, mais aussi les plus attentatoires aux libertés - mais une fois de plus, il serait irresponsable de ne pas au moins les envisager, ne serait-ce que pour se convaincre de tout faire en amont pour ne pas en arriver l?*. De nombreux cas d'usages sont possibles, et notamment :

- le contrôle des déplacements : bracelet électronique pour contrôler le respect de la quarantaine, désactivation du pass pour les transports en commun, détection automatique de la plaque d'immatriculation par les radars, portiques de contrôle dans les magasins, caméras thermiques dans les restaurants, etc. ;

- le contrôle de l'état de santé, via des objets connectés dont l'utilisation serait cette fois-ci obligatoire, et dont les données seraient exploitées ?* des fins de contrôle ;

- le contrôle des fréquentations, par exemple aller voir un membre vulnérable de sa famille alors que l'on est contagieux ;

- le contrôle des transactions, permettant par exemple d'imposer une amende automatique, de détecter un achat ?* caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie), ou encore la poursuite illégale d'une activité professionnelle (commerce, etc.) en dépit des restrictions."

Er wordt erkend dat over nog verdere implicaties dan de genoemde grondig nagedacht moet worden, maar toch lezen we alvast als mogelijkheid:

"Mais ?* plus long terme, il est probable qu'émergent des technologies prédictives, soulevant des questions bien plus difficiles encore. Un employeur pourra-t-il refuser de recruter quelqu'un au motif que celui-ci pourrait, un jour, faire courir un risque sanitaire aux autres employés, non seulement en raison de ses prédispositions (une comorbidité, un gène spécifique, etc.) mais aussi du fait de sa personnalité ou de ses comportements (parce qu'il a un cercle social élargi, qu'il fréquente certains lieux, etc.) ?"

[Hoofdstraat]

Google translate doet nog redelijk z’n best met de tekst.

Dit is erger dan 1984, al moet ik zeggen dat gezichtsherkenning overal plaatsen hetzelfde kan doen, daar waren we voordien ook al mee bezig. Het is dus onvermijdelijk, ze willen controle.

[Der Wanderer]

Ik zal ook even de google-vertaling van het tweede fragment toevoegen voor wie moeite heeft met het Frans:

Opgemerkt moet worden dat er meer impliciete vormen van controle of dwang zijn, maar niet minder effectief: een toegangsportaal in de metro dat heel luid zou rinkelen als een besmettelijke persoon of persoon die zou moeten worden opgesloten, voorbijkomt. het is zelfs niet nodig om deze informatie door te geven aan de autoriteiten die verantwoordelijk zijn voor het toezicht op de naleving van de regels. Begin 2021 berichtte de pers het geval van een aangesloten box, om de nek gedragen, die zou rinkelen (met een geluid van 85 decibel) bij het niet naleven van de afstandsregels door de medewerkers van een bedrijf37 (*) . Het initiatief werd aan de kaak gesteld als angstaanjagend en onaanvaardbaar. Technisch gezien is er echter geen doos om de nek nodig: een smartphone kan hetzelfde met zijn Bluetooth en geluid van 100 decibel. In Azië nam sociale controle veel minder anekdotische vormen aan: in Zuid-Korea konden de positieve bewoners van een wijk worden gelokaliseerd op een toegankelijke kaart? politie" van hun gebouw. Meer in het algemeen is het sociale kredietsysteem (zie hierboven), hoewel het zelden effectieve sancties met zich meebrengt, verbonden met deze logica van sociale controle.

Ten slotte zouden digitale instrumenten het in de meest extreme crisissituaties mogelijk kunnen maken om een ??effectieve, volledige en realtime controle uit te oefenen op de naleving van de beperkingen door de bevolking, eventueel vergezeld van afschrikkende sancties, en gebaseerd op de uitbuiting van nog meer denigrerende persoonlijke gegevens.

Deze instrumenten zijn het meest effectief, maar ook het schadelijkst voor vrijheden - maar nogmaals, het zou onverantwoord zijn om ze niet op zijn minst in overweging te nemen, al was het maar om jezelf ervan te overtuigen alles van tevoren te doen om niet te arriveren. Er zijn veel use-cases mogelijk, en in het bijzonder:

- bewegingscontrole: elektronische armband om de naleving van de quarantaine te controleren, deactivering van de pas voor het openbaar vervoer, automatische detectie van de nummerplaat door snelheidscamera's, controlepoorten in winkels, thermische camera's in restaurants, enz. ;

- controle van de gezondheidstoestand, via verbonden objecten waarvan het gebruik dit keer verplicht zou zijn en waarvan de gegevens zouden worden geëxploiteerd * voor controledoeleinden;

- controle van de gezondheidstoestand, via verbonden objecten waarvan het gebruik dit keer verplicht zou zijn en waarvan de gegevens zouden worden geëxploiteerd * voor controledoeleinden;

- de controle van medewerkers, bijvoorbeeld naar een kwetsbaar familielid gaan terwijl iemand besmettelijk is;

- de controle van transacties, waardoor bijvoorbeeld een automatische boete kan worden opgelegd, een aankoop kan worden opgespoord? * medische aard (die in tijden van schaarste kan wijzen op besmetting of smokkel), of zelfs op illegale uitoefening van een professionele activiteit ( handel, enz.) ondanks de beperkingen."

(...)

Op de langere termijn is het waarschijnlijk dat er voorspellende technologieën zullen ontstaan, die nog moeilijkere vragen oproepen. Kan een werkgever weigeren iemand in dienst te nemen op grond van het feit dat deze op een dag een gezondheidsrisico zou kunnen alleen vanwege zijn aanleg (een comorbiditeit, een specifiek gen, enz.) Maar ook vanwege zijn persoonlijkheid of zijn gedrag (omdat hij een bredere sociale kring heeft, die 'hij bezoekt bepaalde plaatsen, enz.)?

[Der Wanderer]

Oorspronkelijk geplaatst door Der Wanderer

in Zuid-Korea konden de positieve bewoners van een wijk worden gelokaliseerd op een toegankelijke kaart? politie" van hun gebouw.

Hier is in de vertaling een stuk weggevallen: er is sprake van "eerlijke burgers" die zelf in hun gebouw een semi-politionele taak op zich nemen om de naleving van maatregelen te verzekeren. Die onironische vermelding van "eerlijke burgers" die eerlijk zijn omdat ze het spel meespelen lijkt daadwerkelijk op de overname van een "Chinese" denkwijze.

[TREBRON]

Ik vrees dat we stilaan voorbereid worden op het einddoel, en dat is volgens mij, het plaatsen van een chip bij iedereen zodat de staat en de staats veiligheid volledige controle hebben op ons hele doen en laten.

[denkimi]

Oorspronkelijk geplaatst door TREBRON

Ik vrees dat we stilaan voorbereid worden op het einddoel, en dat is volgens mij, het plaatsen van een chip bij iedereen zodat de staat en de staats veiligheid volledige controle hebben op ons hele doen en laten.

Een chip is al achterhaald, met gezichtsherkenning kan hetzelfde bereikt worden.

[Erw]

Het probleem dat Nazi's hebben met fysiek contact is dat het even gespreid is als de bevolking. Er is in de communicatie / het contact, niet de gemakkelijk te controleren centraliteit.
Nazi's streBen naar centralisering, met motief controleren.
Een virus hanteren als excuus om mensen te doen communiceren via computers, servers, laat toe centraal te registreren en te spioneren. Vanaf bureaus, niet meer nodig ter plekke te gaan.
Voor zover dat allemaal niet voor de hand ligt...