Zwaar antisemitisch geweld te Aartselaar

[DucDEnghien]

Oorspronkelijk geplaatst door fonne

Maar zij was niet het slachtoffer, kemel.

En waarom mag ze van De Wever zonder probleem in het Hebreeuws klacht indienen in Antwerpen, waar ze niet eens woont, en mag ze dat niet in Aartselaar waar eveneens een N-VA burgemeester de schepper zwaait?

[fonne]

Oorspronkelijk geplaatst door DucDEnghien

En waarom mag ze van De Wever zonder probleem in het Hebreeuws klacht indienen in Antwerpen, waar ze niet eens woont, en mag ze dat niet in Aartselaar waar eveneens een N-VA burgemeester de schepper zwaait?

Denkt ge nu echt dat er ook maar iemand in Aartselaar Hebreeuws spreekt bij de politie?

[fonne]

Oorspronkelijk geplaatst door DucDEnghien

Wat is jouw probleem eigenlijk : dat ze joods is, lesbisch, de nederlandse taal niet machtig, of alle drie tesamen?

Nee, dat ze een zat loeder is dat voortdurend de buurt verpest met haar wangedrag.

[DucDEnghien]

Oorspronkelijk geplaatst door fonne

Denkt ge nu echt dat er ook maar iemand in Aartselaar Hebreeuws spreekt bij de politie?

Dat spreken ze ook niet bij de Antwerpse politie, maar daar kunnen ze dus wel een tolk bijhalen.

[DucDEnghien]

Oorspronkelijk geplaatst door fonne

Nee, dat ze een zat loeder is dat voortdurend de buurt verpest met haar wangedrag.

Bart De Wever heeft dan wel veel tijd voor loeders.

[Tema]

Oorspronkelijk geplaatst door fonne

Nee, dat ze een zat loeder is dat voortdurend de buurt verpest met haar wangedrag.

Een paar pagina's terug noemde je die moerders met een kind, twee sletten. Mogen we uw moeder dan ook een slet noemen?

[Tema]

.

[Another Jack]

Fonne is een brave katholieke huisvader met een smetteloze reputatie, die scheldt geen vrouwen uit.

[fonne]

Oorspronkelijk geplaatst door Tema

Een paar pagina's terug noemde je die moerders met een kind, twee sletten. Mogen we uw moeder dan ook een slet noemen?

Geef je adres maar, dan stuur ik ze wel langs

[fonne]

Oorspronkelijk geplaatst door Another Jack

Fonne is een brave katholieke huisvader met een smetteloze reputatie, die scheldt geen vrouwen uit.

Alleen Antwerpse foorwijven.

[fonne]

Oorspronkelijk geplaatst door DucDEnghien

Bart De Wever heeft dan wel veel tijd voor loeders.

Bart de Wever zou zich beter niet op sleeptouw laten nemen in een ordinaire burenruzie. Maar hij stond toch maar weer in de gazet he?

[Another Jack]

Oorspronkelijk geplaatst door fonne

Alleen Antwerpse foorwijven.

Dat gaat circe niet graag lezen.

[fonne]

Oorspronkelijk geplaatst door Another Jack

Dat gaat circe niet graag lezen.

Staat Circe aan de foor?

[DucDEnghien]

Oorspronkelijk geplaatst door fonne

Staat Circe aan de foor?

Nee, ze staat op de foor.

[Another Jack]

Oorspronkelijk geplaatst door DucDEnghien

Nee, ze staat op de foor.

[Eberhard Leclerc]

Opper francophoon, en oorlogsheld van na de oorlog, Marcel Sel had een zeer uitvoerige, en boze, reconstructie op zijn blog:

Een paar stukjes:

Nederlands
Ruth se rend donc au poste de police d’Aartselaar, de la zone de police HEKLA (Hove-Edegem-Kontich-Lint-Aartselaar). Elle a le document en main. Le policier de faction refuse de l’entendre : elle ne parle pas néerlandais et donc, elle ne peut pas porter plainte. C’est aussi simple que ça. Ni français, ni anglais, ni hébreu. Seulement néerlandais. Il n’enregistre même pas le constat du médecin. Deux autres policiers sont dans la pièce. Ils ne réagissent pas. Ruth ne peut rien faire. Elle se rendra au moins �* trois reprises dans deux commissariats distincts, �* Aartselaar et �* Anvers, sans jamais pouvoir déposer sa plainte. In het Nederlands, mevrouw ! Ou alors, on invoque le fait qu’elle n’est pas dans la commune de son domicile officiel. Elle est prise au piège d’une zone de police qui ne veut pas l’entendre, cercle infernal, morbide, invraisemblable dans un État de droit. En Belgique, lorsqu’une victime ne parle pas néerlandais ou français, la police doit lui fournir un(e) interprète ou lui répondre dans sa langue s’il la comprend. À Aartselaar et �* Anvers, apparemment, plus aucun policier, commissaire ou inspecteur ne parle donc un mot de français ou d’anglais.

On ne lui épargnera rien. Depuis le matin de l’agression, Ruth cherche un autre logement. Impossible de rester dans cet appartement. Elle n’a pas beaucoup de moyens. Elle a expliqué la situation �* la propriétaire qui accepte de la laisser partir contre trois mois de loyer supplémentaires. Mais dès après son déménagement, début juin, Ruth reçoit la facture : la propriétaire lui demande… 22.750 euros de dédommagement.


Comme si ça ne suffisait pas, un policier d’Aartselaar appelle Sverdloff pour lui annoncer que Cindy Meul va recevoir un PV. Cindy est toujours �* l’hôpital. Quelques heures plus tôt, �* la maison, Ruth a vu arriver un policier anversois venu vérifier son nouveau domicile. Quelques heures plus tard, un flic d’Aartselaar vient lui remettre le PV. Cindy Meul va être poursuivie, tenez-vous bien, pour coups et blessures envers les deux jeunes Flamands d’en bas !

Ivresse
Donc, je récapitule : la bagarre aurait eu lieu dans le hall de l’immeuble, et ce sont les deux jeunes d’en bas qui sont les victimes. Alors comment le sang est-il arrivé dans l’appartement ? Comment le miroir est-il tombé ? Comment Cindy s’est-elle coupé le poignet ? Comment un commissaire établit-il qu’une personne qui vient d’être tabassée est «clairement ivre» sans alcootest, sans prise de sang, sans la moindre «preuve» autre que les déclarations des agents et éventuellement des agresseurs présumés (par moi, pas par la police) ? Et surtout, comment peut-il affirmer qu’il ne s’est rien passé dans l’appartement ?

Pourtant, nous savons que notre police n’est pas fiable. Le Chilien tabassé par un poulet �* Zaventem n’a jamais existé ; Bart Debie, commissaire anversois, condamné pour violence et racisme envers des musulmans fut innocent des mois durant ; un jeune, nu, tué dans sa cellule par une brigade spéciale n’a pas intéressé grand monde ; Semira Adamu, morte dans un avion, c’était un accident


http://blog.marcelsel.com/archive/20...azis.html#more

[BonBon]

Oorspronkelijk geplaatst door Eberhard Leclerc

Opper francophoon, en oorlogsheld van na de oorlog, Marcel Sel had een zeer uitvoerige, en boze, reconstructie op zijn blog:

Een paar stukjes:

Nederlands
Ruth se rend donc au poste de police d’Aartselaar, de la zone de police HEKLA (Hove-Edegem-Kontich-Lint-Aartselaar). Elle a le document en main. Le policier de faction refuse de l’entendre : elle ne parle pas néerlandais et donc, elle ne peut pas porter plainte. C’est aussi simple que ça. Ni français, ni anglais, ni hébreu. Seulement néerlandais. Il n’enregistre même pas le constat du médecin. Deux autres policiers sont dans la pièce. Ils ne réagissent pas. Ruth ne peut rien faire. Elle se rendra au moins �* trois reprises dans deux commissariats distincts, �* Aartselaar et �* Anvers, sans jamais pouvoir déposer sa plainte. In het Nederlands, mevrouw ! Ou alors, on invoque le fait qu’elle n’est pas dans la commune de son domicile officiel. Elle est prise au piège d’une zone de police qui ne veut pas l’entendre, cercle infernal, morbide, invraisemblable dans un État de droit. En Belgique, lorsqu’une victime ne parle pas néerlandais ou français, la police doit lui fournir un(e) interprète ou lui répondre dans sa langue s’il la comprend. À Aartselaar et �* Anvers, apparemment, plus aucun policier, commissaire ou inspecteur ne parle donc un mot de français ou d’anglais.

On ne lui épargnera rien. Depuis le matin de l’agression, Ruth cherche un autre logement. Impossible de rester dans cet appartement. Elle n’a pas beaucoup de moyens. Elle a expliqué la situation �* la propriétaire qui accepte de la laisser partir contre trois mois de loyer supplémentaires. Mais dès après son déménagement, début juin, Ruth reçoit la facture : la propriétaire lui demande… 22.750 euros de dédommagement.


Comme si ça ne suffisait pas, un policier d’Aartselaar appelle Sverdloff pour lui annoncer que Cindy Meul va recevoir un PV. Cindy est toujours �* l’hôpital. Quelques heures plus tôt, �* la maison, Ruth a vu arriver un policier anversois venu vérifier son nouveau domicile. Quelques heures plus tard, un flic d’Aartselaar vient lui remettre le PV. Cindy Meul va être poursuivie, tenez-vous bien, pour coups et blessures envers les deux jeunes Flamands d’en bas !

Ivresse
Donc, je récapitule : la bagarre aurait eu lieu dans le hall de l’immeuble, et ce sont les deux jeunes d’en bas qui sont les victimes. Alors comment le sang est-il arrivé dans l’appartement ? Comment le miroir est-il tombé ? Comment Cindy s’est-elle coupé le poignet ? Comment un commissaire établit-il qu’une personne qui vient d’être tabassée est «clairement ivre» sans alcootest, sans prise de sang, sans la moindre «preuve» autre que les déclarations des agents et éventuellement des agresseurs présumés (par moi, pas par la police) ? Et surtout, comment peut-il affirmer qu’il ne s’est rien passé dans l’appartement ?

Pourtant, nous savons que notre police n’est pas fiable. Le Chilien tabassé par un poulet �* Zaventem n’a jamais existé ; Bart Debie, commissaire anversois, condamné pour violence et racisme envers des musulmans fut innocent des mois durant ; un jeune, nu, tué dans sa cellule par une brigade spéciale n’a pas intéressé grand monde ; Semira Adamu, morte dans un avion, c’était un accident


http://blog.marcelsel.com/archive/20...azis.html#more

Ik begrijp er de zak van en het wordt nog erger met Google translate. die lul mag wel eens berichten in het Nederlands over een Antwerpse zaak.

Ergens in die tekst staat er ook 'ongelovige', zijn het dan toch moslims?

[Salah]

Is het antisemitisch korps al in de cel beland?

[meneer]

Oorspronkelijk geplaatst door Eberhard Leclerc

Opper francophoon, en oorlogsheld van na de oorlog, Marcel Sel had een zeer uitvoerige, en boze, reconstructie op zijn blog:

Een paar stukjes:

Nederlands
Ruth se rend donc au poste de police d’Aartselaar, de la zone de police HEKLA (Hove-Edegem-Kontich-Lint-Aartselaar). Elle a le document en main. Le policier de faction refuse de l’entendre : elle ne parle pas néerlandais et donc, elle ne peut pas porter plainte. C’est aussi simple que ça. Ni français, ni anglais, ni hébreu. Seulement néerlandais. Il n’enregistre même pas le constat du médecin. Deux autres policiers sont dans la pièce. Ils ne réagissent pas. Ruth ne peut rien faire. Elle se rendra au moins �* trois reprises dans deux commissariats distincts, �* Aartselaar et �* Anvers, sans jamais pouvoir déposer sa plainte. In het Nederlands, mevrouw ! Ou alors, on invoque le fait qu’elle n’est pas dans la commune de son domicile officiel. Elle est prise au piège d’une zone de police qui ne veut pas l’entendre, cercle infernal, morbide, invraisemblable dans un État de droit. En Belgique, lorsqu’une victime ne parle pas néerlandais ou français, la police doit lui fournir un(e) interprète ou lui répondre dans sa langue s’il la comprend. À Aartselaar et �* Anvers, apparemment, plus aucun policier, commissaire ou inspecteur ne parle donc un mot de français ou d’anglais.

On ne lui épargnera rien. Depuis le matin de l’agression, Ruth cherche un autre logement. Impossible de rester dans cet appartement. Elle n’a pas beaucoup de moyens. Elle a expliqué la situation �* la propriétaire qui accepte de la laisser partir contre trois mois de loyer supplémentaires. Mais dès après son déménagement, début juin, Ruth reçoit la facture : la propriétaire lui demande… 22.750 euros de dédommagement.


Comme si ça ne suffisait pas, un policier d’Aartselaar appelle Sverdloff pour lui annoncer que Cindy Meul va recevoir un PV. Cindy est toujours �* l’hôpital. Quelques heures plus tôt, �* la maison, Ruth a vu arriver un policier anversois venu vérifier son nouveau domicile. Quelques heures plus tard, un flic d’Aartselaar vient lui remettre le PV. Cindy Meul va être poursuivie, tenez-vous bien, pour coups et blessures envers les deux jeunes Flamands d’en bas !

Ivresse
Donc, je récapitule : la bagarre aurait eu lieu dans le hall de l’immeuble, et ce sont les deux jeunes d’en bas qui sont les victimes. Alors comment le sang est-il arrivé dans l’appartement ? Comment le miroir est-il tombé ? Comment Cindy s’est-elle coupé le poignet ? Comment un commissaire établit-il qu’une personne qui vient d’être tabassée est «clairement ivre» sans alcootest, sans prise de sang, sans la moindre «preuve» autre que les déclarations des agents et éventuellement des agresseurs présumés (par moi, pas par la police) ? Et surtout, comment peut-il affirmer qu’il ne s’est rien passé dans l’appartement ?

Pourtant, nous savons que notre police n’est pas fiable. Le Chilien tabassé par un poulet �* Zaventem n’a jamais existé ; Bart Debie, commissaire anversois, condamné pour violence et racisme envers des musulmans fut innocent des mois durant ; un jeune, nu, tué dans sa cellule par une brigade spéciale n’a pas intéressé grand monde ; Semira Adamu, morte dans un avion, c’était un accident


http://blog.marcelsel.com/archive/20...azis.html#more

Heb ik het mis, of kies je partij voor de politie ? Omdat ze Nederlands praten ? En/of omdat die twee vrouwen joods zijn ? Of lesbisch ? Of Franstalig ?
Graag enige opheldering ?
Gewoonlijk is je positie immers zeer anti-flikken...

[alice]

Oorspronkelijk geplaatst door Salah

Tegenwoordig wordt geweld tegen een partner van een Jood ook al als antisemitisch gelabeld? Op die manier vijzelen ze dus die "antisemitische" incidenten op.

Hallo jongen leer eens lezen, die mevrouw werd wel degelijk zo behandeld omdat ze Joods is.