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Milieu Hier kunnen alle discussies woden gevoerd over milieu, kernenergie, klimaatswijziging, .... |
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#21 | |
Europees Commissaris
Geregistreerd: 17 mei 2010
Berichten: 6.576
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![]() Citaat:
Ik heb in ieder geval nog nooit iemand horen beweren dat duurzame ontwikkeling tegen evolutie zou zijn. De term 'ontwikkeling' duidt trouwens aan dat er wel degelijk evolutie is. Alleen staat er een adjectief 'duurzaam' bij. Waarmee bedoelt wordt dat je bij die evolutie rekening moet houden met de draagkracht van het ecosysteem waarin we leven. |
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#22 | |
Banneling
Geregistreerd: 31 mei 2012
Locatie: van perigee naar apogee.
Berichten: 4.345
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#23 | |
Minister-President
Geregistreerd: 3 april 2012
Berichten: 4.305
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__________________
The range of choice open to the individual is not the decisive factor in determining the degree of human freedom, but what can be chosen and what is chosen by the individual. -H. Marcuse |
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#24 | |
Europees Commissaris
Geregistreerd: 17 mei 2010
Berichten: 6.576
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![]() Citaat:
Als je wilt dat de toekomst (o.a. jouw kinderen, dus) de mogelijkheid heeft om 'hun ding te doen', dan moet jij niet in hun plaats gaan beslissen dat ze het wel zonder grondstof a of b kunnen stellen. |
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#25 |
Secretaris-Generaal VN
Geregistreerd: 29 juli 2004
Berichten: 35.744
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![]() Kunnen we het nog vergeten?
Het was de flegmatieke (ex-) Vice-President Al Gore die van in 1988 ongeveer tot ver in de jaren 2000 de vlot sprekende pleitbezorger was van "Global Warming"...Ongelukkigerwijze bleken de meest frappante onderdelen van zijn presentatie grafieken nogal....euhm...dramatisch,was er een misverstand over voor- en naijlende effecten en...erger nog....blijkt dat de computermodellen van 10-20 jaar geleden,die toch aan de basis lagen van de ganse hoelabahoela ,in hun prognoses van NU ,niet overeenkomen met gebeurtenissen die buiten de deur van 7 miljard mensen plaatsvinden(jaja de tijd sorteert altijd op waarheid )...... De heer Gore was verder een zelfverklaarde grote investeerder in groene technologie,tenslotte moet je je geld steken waar je mond over spreekt nietwaar... Wel,op Amerikaanse en Duitse websites (toegegeven,van "sceptische" strekking) is men dat ook eens gaan onderzoeken. Onze grote Amerikaan is druk doende bij Generation Investment Management LLP,gevestigd in...Londen,het VK..... http://www.sec.gov/Archives/edgar/da...ration2q12.txt Het Amerikaanse Securities and Exchange Comittee,publiceert de lijsten van waar beleggingsfirmas in doende zijn.... Laat ons zeggen dat "Groene technologietjes" niet echt doorslaggevend (meer)zijn in de portefeuille van onze vriend A.G. ![]() Laatst gewijzigd door kelt : 5 oktober 2012 om 17:01. |
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#26 |
Banneling
Geregistreerd: 24 november 2002
Locatie: Vielsalm
Berichten: 9.794
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![]() Les climatosceptiques ont-ils voix au chapitre?
"Il y a plusieurs argumentations différentes. On peut les résumer ainsi : un, le climat ne se réchauffe pas ; deux, les activités humaines ne sont pas en cause dans ce qui se passe". Sur le plan de la problématique climatique, comment vous situez-vous ? Je me situe dans la catégorie des gens qu’on pourrait appeler climato-agnostiques. C’est-�*-dire que j’essaie d’examiner d’un point de vue scientifique si les renseignements scientifiques que l’on a et les prévisions qui sont faites ont un sens et correspondent �* ce que l’on nous dit, et cela de manière détachée le plus possible de toute passion et de toutes tendances politiques. En ce moment, mon problème est que les preuves scientifiques qu’on a sur le climat ne corroborent pas les théories qui sont émises. Avez-vous l’impression que dans ce domaine, on crie un peu au loup ? On crie énormément au loup. Pas mal de gens ont tendance �* crier au loup. En fait, l’expérience montre que si vous voulez être entendu, il faut faire très peur aux gens. C’est ce qui est en train de se faire avec le réchauffement climatique. On explique aux gens que tout va fondre, qu’on va se retrouver sous 70 mètres d’eau, qu’il n’y aura plus de pôle Nord dans peu de temps, etc. Ceci pour finalement aller vers certaines politiques qui servent certains intérêts. Par exemple, le récent ouragan Sandy qui vient malheureusement de frapper les Etats-Unis ; instantanément, les médias ont repris cela comme étant, une fois de plus, la manifestation d’un changement climatique. Intrinsèquement, cela n’est pas faux puisque le climat change toutes les minutes ! Mais venir dire aux gens que cet ouragan est de leur faute puisqu’ils produisent du CO2 est absolument ahurissant. C’est un mensonge scientifique complet. Dans ce débat, vous êtes largement isolé. Comment le prenez-vous ? D’un certain côté, le plus frustrant est de se rendre compte qu’on manipule les gens. Il y a une voix unique. On m’a souvent dit que le débat est clos. Tout le monde s’est mis d’accord. Il y a un tas de scientifiques de par le monde qui sont arrivés �* un consensus. Or, ce consensus est loin d’être vrai. Il y a des milliers de personnes, des scientifiques, des industriels, des politiques qui ne s’accordent absolument pas avec ce soi-disant consensus. J’ai parlé avec des climatologues qui eux-mêmes disent qu’ils doivent garder leur place et qu’ils ne vont pas dire l’inverse de ce que dit le dogme. Vous vous plaignez ne pas avoir accès aux médias ? Cette manipulation est en fait colportée par les médias. Je ne les blâme pas. Vous avez un métier �* faire et des informations �* donner. Ce que je regrette, c’est que cette information n’est pas partagée, qu’il n’y a pas deux points de vue qui puissent s’opposer de manière égale, que les arguments des uns et des autres ne sont pas mis en parallèle. C’est quasiment �* sens unique. Et donc, la population, entendant un seul son de cloche, continue �* être persuadée que c’est la vérité sacro-sainte. Vous avez le sentiment de ne pas avoir voix au chapitre ? Certainement pas en Belgique. Il y a eu une exception quand même. Nous avons été invités �* parler devant la Chambre et �* expliquer notre démarche. La plupart des gens sont restés et nous ont écoutés avec intérêt. Seuls, les écolos, dans leur grande ouverture d’esprit, sont partis avant que nous ayons eu l’occasion de nous expliquer. On commence donc tout doucement �* nous entendre. Il faudrait maintenant que nous puissions avoir l’opportunité de débattre dans les journaux, �* la radio ou �* la télévision. Que pensez-vous du dernier sommet de Doha ? C’est un échec retentissant. Ce qui a été dit et fait est extrêmement minimaliste. On se trompe d’objectif en accusant le CO2 comme étant responsable d’un quelconque changement climatique. Il y a énormément d’arguments qui montrent que le CO2 est la conséquence d’une augmentation de la température plutôt que sa cause. On pourrait utiliser l’énorme quantité de fonds que l’on consacre �* ce pseudo-réchauffement climatique pour gérer les problèmes de pollution. Nettoyons nos sols et nos rivières. On a des problèmes plus concrets �* gérer que de dilapider de l’argent pour des choses que nous, humains, sommes incapables de maîtriser. "Ce que je regrette, c’est que cette information n’est pas partagée, qu’il n’y ait pas deux points de vue qui puissent s’opposer de manière égale, que les arguments des uns et des autres ne sont pas mis en parallèle. C’est quasiment �* sens unique." Réponse aux climatosceptiques Edwin Zaccai, Professeur �* l’ULB ; vice-président de l’Igeat (Institut de gestion de l’environnement et d’aménagement du territoire) Que pensez-vous de l’argumentation des climato-sceptiques ? Il y a plusieurs argumentations différentes. On peut les résumer ainsi : un, le climat ne se réchauffe pas ; deux, les activités humaines ne sont pas en cause dans ce qui se passe. Sur ces deux points, ce que j’ai constaté personnellement, c’est que la très grande majorité de la communauté scientifique reconnue met en doute ces affirmations, et l�*, de ce fait, pour moi, il n’y a plus vraiment de doute fondé. Vous refusez le débat ? Il y a toutes sortes d’incertitudes liées aux sciences du climat, mais les grands éléments que j’ai cités sont établis de façon cohérente. Cela dit, il y a beaucoup de débats tout �* fait légitimes sur le fait de savoir ce qu’il convient de faire. Faut-il tout de suite, de façon coûteuse, couper les émissions de CO2 ? Est-ce que, d’autre part, le réchauffement va avoir des effets positifs et/ou négatifs sur les sociétés ? Ces questions, pour moi, sont légitimes. Mais lorsque l’on remet en doute le fait d’avoir un phénomène de réchauffement climatique, alors cela ne tient plus. Les climato-sceptiques disent qu’on crie au loup… Si jamais il s’agit de dire que la menace climatique est exagérée dans la politique, je répète que c’est quelque chose qui est �* discuter. Par contre, prétendre qu’il n’y a rien d’anormal dans ce qui se passe et ce qui va se passer, l�* je pense que cela n’a pas de sens. Ce qu’on observe dans le discours des climato-sceptiques, c’est qu’il y a un doute jeté sur la science mais sans proposer d’alternatives. Il n’y a pas de contre-argumentation réellement élaborée par rapport �* ce que disent la grande majorité des scientifiques. Pensez-vous que les sociétés occidentales mais aussi les puissances émergentes appréhendent bien cette question du climat ? C’est un problème vraiment très difficile �* appréhender parce qu’il est très grave pour l’avenir de nos sociétés ; il remet en cause profondément notre mode de vie, et donc il faut un certain temps pour prendre la mesure du problème. Les dernières conférences internationales ont montré la difficulté �* se coordonner. N’êtes-vous pas déçu par les résultats de ces grandes conférences ? Je crois que le tournant a été pris en 2009 �* Copenhague lorsqu’a été établi l’échec d’une véritable coordination internationale sur des objectifs contraignants. Maintenant, il faut prendre acte qu’on est dans un autre moment. Il faut travailler non seulement au niveau international mais aussi �* celui des recherches technologiques, qu’il faut approfondir. Je pense qu’on est dans une phase de transition. On a échoué dans la coordination globale et on est en train de chercher de nouvelles voies. Je ne suis pas particulièrement pessimiste sur le fait qu’on va arriver �* de nouvelles dynamiques. N’y a-t-il pas beaucoup d’égoïsmes et d’hypocrisies dans ce débat ? On essaie toujours de faire reposer le problème sur d’autres. L’Europe va dire que c’est la faute des Etats-Unis ; ceux-ci vont accuser la Chine ; cette dernière va dire autre chose, et ainsi de suite. Donc, il y a effectivement une poursuite des intérêts de chaque pays. Mais ce n’est pas particulièrement un problème que l’on constate dans le cas du climat, c’est une attitude assez générale. La Belgique a-t-elle une attitude positive en la matière ? Il n’y a pas mal de sensibilisation qui est effectuée. Maintenant, ce qu’on a constaté, c’est que les difficultés politiques récentes ont freiné les accords �* prendre avec les Régions. Quelles pistes principales auraient votre préférence pour lutter contre ce phénomène de réchauffement ? Pour en revenir aux climato-sceptiques, c’est vraiment dommage de perdre son temps �* discuter du phénomène lui-même. Ce qu’il faut faire, c’est discuter des mesures �* prendre, sans s’encombrer de débats dépassés sur l’existence ou non du problème. Mais la clé réside sans doute dans le fait d’allier des objectifs �* long terme avec des mesures �* court terme, facilement perceptibles par les gouvernements et les populations. |
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