typerend voor de mentaliteit van "de walen" - Pagina 6

Gargamel · 13 november 2007, 17:47

@Den Ardennees

6 juin 2007
Péronnes est dans le gaz

Péronnes-Lez-Binche
L’explosion, le 26 mai dernier, d’une station-service �* Peronnes-Lez-Binche continue de poser des questions quant �* l’origine du drame. Pour rappel, une première explosion avait eu lieu la veille et le service d’incendie de la ville de Binche était intervenu pour sécuriser l’endroit. Le lendemain, une autre déflagration détruisait complètement les locaux de la station Q8.

Par chance, les occupants n’ont été que légèrement blessés mais ils sont toujours sous le choc actuellement.
Plusieurs hypothèses restent en cours et notamment une fuite de gaz de ville. Mais les responsables de la ville de Binche ont soulevé une autre possibilité, celle d’un écoulement de bio-gaz depuis le terrain situé un peu plus haut et sous lequel se trouvent encore des déchets de toutes sortes.

Deux décharges deux mesures
Le terrain Sainte-Margueritte était, voici plus de 50 ans, un trou de carrière exploité par les cimenteries de Thieu avant de laisser place �* une décharge. Les riverains de l’endroit se souviennent de cortèges interminables de camions, appartenant �* une firme bruxelloise et qui empruntaient la chaussée de Mons pour aller déverser des milliers de tonnes de détritus.
Certains se demandent encore pourquoi la décharge de Cronfestu (�* quelques km de l�*) a fait l’objet d’une étude et d’une réhabilitation et pas celle de Péronnes, simplement recouverte de terre.
Le bio-méthane a continué �* se produire sous terre au point de donner lieu �* des feu-follets. Ce gaz pourrait, selon l’hypothèse émise, s’être faufilé dans un ancien égouttage pour provoquer ces explosions.
La SPAQUE (Société Publique d’Aide �* la Qualité de l’Environnement) effectue, en ce moment des sondages du sous-sol.
Du gaz dans les galeries
Mais des observateurs locaux ont aussi émis une hypothèse différente. Au début des années 80, l'entreprise Distrigaz (actuellement reprise par Fluxis) avait stocké des centaines de milliers de tonnes de gaz dans son sous-sol et plus précisément dans les galeries de mine des anciens charbonnages. Selon Fluxis, il ne resterait plus rien de ce gaz dans les galeries et d'énormes chapes de béton de 10 mètres de profondeur scellent les entrées de puits.
Pour le secrétaire communal de l'époque et actuel échevin Jean-Pierre Jaumot, le nécessaire a été fait pour évacuer ces réserves de gaz mais on ne peut pas exclure quelques résidus de gaz dans les roches. On ne peut donc pas exclure cette piste de façon absolue mais c'est quand même peut probable.
Rappelons que Distrigaz a soldé sa redevance �* la commune de Binche en 2001, soit un montant de 125 millions de francs.
Il n'empêche que les péronnais ont été assis pendant une dizaine d'années sur un fameux réservoir de gaz même s'il s'agissait de basse pression.
Guy Dewier
.........................................
Reactie van een lezer op het artikel....

Peronne-Lez-Binche vit sur un véritable gruyere. Au terme de l'exploitation minière, les galeries ont été abandonnées. Sauf... certaines qui sont utilisées pour stocker du gaz. Les succésseurs de Distrigaz utilisent ainsi un puit �* Anderlues, et �* Morlanwelz toute proche. Qui sait se certaines galeries ne communiquent pas ? Que le gaz que le voisinnage de la station sent depuis une semaine ne provient pas du sous-sol ? Y a-t'on simplement pensé ?

Dus ze pompen daar wel degelijk gas in.

Kwestie pensioen,we kennen er die maar 1 of 2 maal afdaalden.Italianen,en vet ziekenkaspensioen.Het truukje,zeer bekend trouwens bij de ritals.Sigaret met zout erin roken,hopla,longaandoening door de "mijn".

Den Ardennees · 13 november 2007, 18:30

Citaat:

Du gaz dans les galeries
Mais des observateurs locaux ont aussi émis une hypothèse différente. Au début des années 80, l'entreprise Distrigaz (actuellement reprise par Fluxis) avait stocké des centaines de milliers de tonnes de gaz dans son sous-sol et plus précisément dans les galeries de mine des anciens charbonnages. Selon Fluxis, il ne resterait plus rien de ce gaz dans les galeries et d'énormes chapes de béton de 10 mètres de profondeur scellent les entrées de puits.
Pour le secrétaire communal de l'époque et actuel échevin Jean-Pierre Jaumot, le nécessaire a été fait pour évacuer ces réserves de gaz mais on ne peut pas exclure quelques résidus de gaz dans les roches. On ne peut donc pas exclure cette piste de façon absolue mais c'est quand même peut probable.
Rappelons que Distrigaz a soldé sa redevance �* la commune de Binche en 2001, soit un montant de 125 millions de francs.
Il n'empêche que les péronnais ont été assis pendant une dizaine d'années sur un fameux réservoir de gaz même s'il s'agissait de basse pression.
Guy Dewier
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Reactie van een lezer op het artikel....

Peronne-Lez-Binche vit sur un véritable gruyere. Au terme de l'exploitation minière, les galeries ont été abandonnées. Sauf... certaines qui sont utilisées pour stocker du gaz. Les succésseurs de Distrigaz utilisent ainsi un puit �* Anderlues, et �* Morlanwelz toute proche. Qui sait se certaines galeries ne communiquent pas ? Que le gaz que le voisinnage de la station sent depuis une semaine ne provient pas du sous-sol ? Y a-t'on simplement pensé ?

Dus ze pompen daar wel degelijk gas in.

Kwestie pensioen,we kennen er die maar 1 of 2 maal afdaalden.Italianen,en vet ziekenkaspensioen.Het truukje,zeer bekend trouwens bij de ritals.Sigaret met zout erin roken,hopla,longaandoening door de "mijn".

straf!

dat is de eerste keer dat ik daarvan hoor. Zeer vreemd alleszins, want bij mijn weten is het in België verplicht om oude mijnschachten dicht te storten (bij niet-onderhoud kunnen ze instorten, wat enorme verzakkingen teweeg kan brengen). Ook galerijen zouden op termijn instorten (tenzij onder water in combinatie met dichtgegooide schacht, aangezien water dragend is).

Nu ja, het interesseert me wel, ik ga es verder kijken en vragen aan een kennis van me die expert is in de materie.

ICE-MAN · 14 november 2007, 01:51

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Hans1

Ook al denk ik dat je dit verhaaltje uit je klein duimpke hebt verzonnen, dan nog zie ik er alleen maar een reden in om tweetaligheid en meertaligheid aan te moedigen.

Dat jij erop wou kloppen, zegt vooral veel over jou.

erop "kloppen" zoals jij insinueert is het enige dat ik zeker NIET zou doen (daar ben ik te beleefd voor) maar het antwoord dat die kerel van mij zou gekregen hebben, (ik zou hem eerst gevraagd hebben of hij "english" sprak of "deutsch" of "espagnol" of "italiano" of "nederlands" om hem dan te laten weten "aah.... Vous ne parlez que le wallon") moest hij met zijn klacht bij mij komen aanlopen zou even arrogant geweest zijn als de vraag die hij stelde.....

en by the way het voorval deed zich voor op zaterdagmiddag in de pier A aan gate 58 (KLM vlucht KL1730 naar Amsterdam) en de persoon in kwestie zijn naam ken ik niet maar hij droeg een badge van Brussels Airport en zijn functie op de badge is Passenger Researcher..... met die gegevens kan je mss eens checken of mijn story klopt nietwaar.... dit totaal ter zijde en enkel voor de ongelovige thomassen op dit forum

born2bewild · 14 november 2007, 05:52

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Den Ardennees

oh, de 20ste eeuwse geschiedenis van de Waalse mijnen is er één van ongelofelijke toestanden en fouten. Wist je dat ze er in de jaren zestig in geslaagd zijn om verlieslatende mijnen die door de staat gesubsidieerd werden, nog dividenden te laten uitkeren?

ge meent het

nu ja, allemaal in het kader van:
Behoudt de solidariteit (met A. Frere, E. di rupo, Guy, Guy, Guy) uitroepteken zeker.

13 november 2007, 17:47	#101
Gargamel Banneling Geregistreerd: 11 februari 2004 Berichten: 2.765	@Den Ardennees 6 juin 2007 Péronnes est dans le gaz Péronnes-Lez-Binche L’explosion, le 26 mai dernier, d’une station-service �* Peronnes-Lez-Binche continue de poser des questions quant �* l’origine du drame. Pour rappel, une première explosion avait eu lieu la veille et le service d’incendie de la ville de Binche était intervenu pour sécuriser l’endroit. Le lendemain, une autre déflagration détruisait complètement les locaux de la station Q8. Par chance, les occupants n’ont été que légèrement blessés mais ils sont toujours sous le choc actuellement. Plusieurs hypothèses restent en cours et notamment une fuite de gaz de ville. Mais les responsables de la ville de Binche ont soulevé une autre possibilité, celle d’un écoulement de bio-gaz depuis le terrain situé un peu plus haut et sous lequel se trouvent encore des déchets de toutes sortes. Deux décharges deux mesures Le terrain Sainte-Margueritte était, voici plus de 50 ans, un trou de carrière exploité par les cimenteries de Thieu avant de laisser place �* une décharge. Les riverains de l’endroit se souviennent de cortèges interminables de camions, appartenant �* une firme bruxelloise et qui empruntaient la chaussée de Mons pour aller déverser des milliers de tonnes de détritus. Certains se demandent encore pourquoi la décharge de Cronfestu (�* quelques km de l�) a fait l’objet d’une étude et d’une réhabilitation et pas celle de Péronnes, simplement recouverte de terre. Le bio-méthane a continué � se produire sous terre au point de donner lieu �* des feu-follets. Ce gaz pourrait, selon l’hypothèse émise, s’être faufilé dans un ancien égouttage pour provoquer ces explosions. La SPAQUE (Société Publique d’Aide �* la Qualité de l’Environnement) effectue, en ce moment des sondages du sous-sol. Du gaz dans les galeries Mais des observateurs locaux ont aussi émis une hypothèse différente. Au début des années 80, l'entreprise Distrigaz (actuellement reprise par Fluxis) avait stocké des centaines de milliers de tonnes de gaz dans son sous-sol et plus précisément dans les galeries de mine des anciens charbonnages. Selon Fluxis, il ne resterait plus rien de ce gaz dans les galeries et d'énormes chapes de béton de 10 mètres de profondeur scellent les entrées de puits. Pour le secrétaire communal de l'époque et actuel échevin Jean-Pierre Jaumot, le nécessaire a été fait pour évacuer ces réserves de gaz mais on ne peut pas exclure quelques résidus de gaz dans les roches. On ne peut donc pas exclure cette piste de façon absolue mais c'est quand même peut probable. Rappelons que Distrigaz a soldé sa redevance �* la commune de Binche en 2001, soit un montant de 125 millions de francs. Il n'empêche que les péronnais ont été assis pendant une dizaine d'années sur un fameux réservoir de gaz même s'il s'agissait de basse pression. Guy Dewier ......................................... Reactie van een lezer op het artikel.... Peronne-Lez-Binche vit sur un véritable gruyere. Au terme de l'exploitation minière, les galeries ont été abandonnées. Sauf... certaines qui sont utilisées pour stocker du gaz. Les succésseurs de Distrigaz utilisent ainsi un puit �* Anderlues, et �* Morlanwelz toute proche. Qui sait se certaines galeries ne communiquent pas ? Que le gaz que le voisinnage de la station sent depuis une semaine ne provient pas du sous-sol ? Y a-t'on simplement pensé ? Dus ze pompen daar wel degelijk gas in. Kwestie pensioen,we kennen er die maar 1 of 2 maal afdaalden.Italianen,en vet ziekenkaspensioen.Het truukje,zeer bekend trouwens bij de ritals.Sigaret met zout erin roken,hopla,longaandoening door de "mijn". Laatst gewijzigd door Gargamel : 13 november 2007 om 18:01.