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Oud 27 augustus 2006, 16:47   #1
D'Iberville
 
Berichten: n/a
Standaard C'est encore de la faute des Blancs...

"Elle a 25 ans, lui 41 ans. Ils sont mariés, Blancs et fermiers. Se
revendiquent «patriotes zimbabwéens». «Nous ne partirons pas. Le
Zimbabwe est notre pays, nous en avons la citoyenneté, on ne nous en
dépossédera pas.»

Dépossédés, ils le furent pourtant. Voil�* quatre ans, ils durent
abandonner leur ferme achetée en 1999 dans la région de Koraï. «Avec
l'autorisation du gouvernement, nous avions acquis 600 hectares pour y
produire du tabac et faire de l'élevage. En 2001, nous avons pu
rembourser nos emprunts. L'année suivante, nous avons dû fuir.» Par un
matin d'hiver, ils se sont réveillés aux cris et algarades résonnant
dans la cour de leur ferme. Une trentaine d'hommes armés étaient l�*,
leur ordonnant de partir : «C'était tout, dit-il. Ils nous disaient de
débarrasser le plancher. Pas d'explications, rien. Juste cet ultimatum :
partir ou subir les conséquences de notre refus.» Elle ajoute : «J'étais
enceinte de sept mois. Il y avait déj�* eu plusieurs évictions les
semaines précédentes. Et des fermiers tués par ces soi-disant vétérans
de la guerre d'indépendance du Zimbabwe. En réalité, nous n'avions aucun
choix.»

Ils ont jeté en toute hâte trois valises dans une voiture. Et sont
partis. Sous la protection de leurs 75 employés agricoles tentant de
refréner les ardeurs des envahisseurs. «C'était très surprenant, se
souvient-elle. La violence était contenue, maîtrisée. Il fallait nous
faire peur. Mais nous sentions que si nous avions résisté, cela aurait
été plus loin. Il ne s'agissait pas que d'intimidation.»

Arrivés �* Harare, la capitale du Zimbabwe, �* 200 km, ils ont loué un
appartement. Pendant deux mois, ils ont tout tenté pour récupérer leur
bien. «Nous avons voulu faire intervenir la police, dit-il, mais elle
refusait, elle avait peur. Le chef de la police nous disait qu'il ne
pouvait rien faire, que c'était politique, qu'il y avait des
instructions.» Après huit mois d'efforts vains, ils obtiennent
l'autorisation de revenir dans leur ancienne exploitation. Pour
embarquer leurs effets personnels. «Nous avons pu prendre nos vêtements,
dit-elle. Nous avons aussi vu la ferme. Le nouveau propriétaire vivait
dans notre maison. Il roulait dans une voiture volée. Tout l'équipement
avait été vendu. Les terres étaient en friche et les employés de la
ferme vivotaient sur de petits potagers. C'était catastrophique et ça
nous a définitivement ôté tout désir de retour.»

Ils doivent refaire leur vie : «Nous n'allions pas débarquer �*
l'aéroport de Londres avec deux valises, deux enfants et pas un sou.»
Ils achètent donc un métier �* tisser afin de réaliser des robes de
mariée. Se font une clientèle. Dont quelques-uns de ces nouveaux riches
qui, sur fond de paupérisation grandissante du pays, tiennent le haut du
pavé.

Ils s'en sortent. Difficilement. Parviennent �* louer, après plusieurs
années d'efforts, un potager de 37 acres dans la banlieue d'Harare. Y
produisent des tomates qu'ils transforment en sauce et distribuent dans
les supermarchés. «Il fallait survivre, nous avons dû nous adapter aux
nouvelles conditions économiques», note-t-il. Avec 1 200% d'inflation
annuelle, une rupture de tous les circuits de production et un manque
criant de devises, le Zimbabwe, pays anciennement développé, s'est comme
eux mis �* bricoler de tous côtés pour survivre.

Aujourd'hui, ils emploient une vingtaine d'anciens employés de leur
ferme. «Ils nous avaient protégés lors de notre éviction, nous leur
avons proposé de continuer �* travailler ensemble. Sur place, leurs
conditions de vie étaient devenues intenables, il n'y avait plus rien �*
manger. Alors, ils sont venus. C'était peut-être dur pour nous. Ça
l'était cent fois plus pour eux...»
http://www.lefigaro.fr/international..._faillite.html


--
Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
"Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".
 
Oud 27 augustus 2006, 16:47   #2
Rudy
 
Berichten: n/a
Standaard Re: C'est encore de la faute des Blancs...

Le Mon, 10 Jul 2006 06:31:43 -0400, D'Iberville a écrit�*:

> "Elle a 25 ans, lui 41 ans. Ils sont mariés, Blancs et fermiers. Se
> revendiquent «patriotes zimbabwéens». «Nous ne partirons pas. Le
> Zimbabwe est notre pays, nous en avons la citoyenneté, on ne nous en
> dépossédera pas.»


Les mésaventures de deux zimbabouins blancs �* Harare, je suppose (encore
une fois...), qu'aujourd'hui, ici, en France, après la défaite des bleus
et le coup de boule de Zidane, beaucoup vont s'en tamponner le coquillard.
Dommage, l'histoire est touchante et, en grattant un peu, on pourrait
même trouver un fond de racisme qui pourrait plaire...mauvaise
programmation, �* re-diffuser �* une heure de grande écoute.
 
Oud 27 augustus 2006, 16:47   #3
à la pointe de l'épée
 
Berichten: n/a
Standaard Re: C'est encore de la faute des Blancs...

ce sont des réalités qu'sos racisme ne traite pas et que les soi-disant
anti-racistes snobent de façon édifiante
.... mais la roue tourne...
tic tac tic

"D'Iberville" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]...
> "Elle a 25 ans, lui 41 ans. Ils sont mariés, Blancs et fermiers. Se
> revendiquent «patriotes zimbabwéens». «Nous ne partirons pas. Le Zimbabwe
> est notre pays, nous en avons la citoyenneté, on ne nous en dépossédera
> pas.»
>
> Dépossédés, ils le furent pourtant. Voil�* quatre ans, ils durent
> abandonner leur ferme achetée en 1999 dans la région de Koraï. «Avec
> l'autorisation du gouvernement, nous avions acquis 600 hectares pour y
> produire du tabac et faire de l'élevage. En 2001, nous avons pu rembourser
> nos emprunts. L'année suivante, nous avons dû fuir.» Par un matin d'hiver,
> ils se sont réveillés aux cris et algarades résonnant dans la cour de leur
> ferme. Une trentaine d'hommes armés étaient l�*, leur ordonnant de partir :
> «C'était tout, dit-il. Ils nous disaient de débarrasser le plancher. Pas
> d'explications, rien. Juste cet ultimatum : partir ou subir les
> conséquences de notre refus.» Elle ajoute : «J'étais enceinte de sept
> mois. Il y avait déj�* eu plusieurs évictions les semaines précédentes. Et
> des fermiers tués par ces soi-disant vétérans de la guerre d'indépendance
> du Zimbabwe. En réalité, nous n'avions aucun choix.»
>
> Ils ont jeté en toute hâte trois valises dans une voiture. Et sont partis.
> Sous la protection de leurs 75 employés agricoles tentant de refréner les
> ardeurs des envahisseurs. «C'était très surprenant, se souvient-elle. La
> violence était contenue, maîtrisée. Il fallait nous faire peur. Mais nous
> sentions que si nous avions résisté, cela aurait été plus loin. Il ne
> s'agissait pas que d'intimidation.»
>
> Arrivés �* Harare, la capitale du Zimbabwe, �* 200 km, ils ont loué un
> appartement. Pendant deux mois, ils ont tout tenté pour récupérer leur
> bien. «Nous avons voulu faire intervenir la police, dit-il, mais elle
> refusait, elle avait peur. Le chef de la police nous disait qu'il ne
> pouvait rien faire, que c'était politique, qu'il y avait des
> instructions.» Après huit mois d'efforts vains, ils obtiennent
> l'autorisation de revenir dans leur ancienne exploitation. Pour embarquer
> leurs effets personnels. «Nous avons pu prendre nos vêtements, dit-elle.
> Nous avons aussi vu la ferme. Le nouveau propriétaire vivait dans notre
> maison. Il roulait dans une voiture volée. Tout l'équipement avait été
> vendu. Les terres étaient en friche et les employés de la ferme vivotaient
> sur de petits potagers. C'était catastrophique et ça nous a définitivement
> ôté tout désir de retour.»
>
> Ils doivent refaire leur vie : «Nous n'allions pas débarquer �* l'aéroport
> de Londres avec deux valises, deux enfants et pas un sou.» Ils achètent
> donc un métier �* tisser afin de réaliser des robes de mariée. Se font une
> clientèle. Dont quelques-uns de ces nouveaux riches qui, sur fond de
> paupérisation grandissante du pays, tiennent le haut du pavé.
>
> Ils s'en sortent. Difficilement. Parviennent �* louer, après plusieurs
> années d'efforts, un potager de 37 acres dans la banlieue d'Harare. Y
> produisent des tomates qu'ils transforment en sauce et distribuent dans
> les supermarchés. «Il fallait survivre, nous avons dû nous adapter aux
> nouvelles conditions économiques», note-t-il. Avec 1 200% d'inflation
> annuelle, une rupture de tous les circuits de production et un manque
> criant de devises, le Zimbabwe, pays anciennement développé, s'est comme
> eux mis �* bricoler de tous côtés pour survivre.
>
> Aujourd'hui, ils emploient une vingtaine d'anciens employés de leur ferme.
> «Ils nous avaient protégés lors de notre éviction, nous leur avons proposé
> de continuer �* travailler ensemble. Sur place, leurs conditions de vie
> étaient devenues intenables, il n'y avait plus rien �* manger. Alors, ils
> sont venus. C'était peut-être dur pour nous. Ça l'était cent fois plus
> pour eux...»
> http://www.lefigaro.fr/international..._faillite.html
>
>
> --
> Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
> sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
> "Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".



 
Oud 27 augustus 2006, 16:47   #4
D'Iberville
 
Berichten: n/a
Standaard Re: C'est encore de la faute des Blancs...

On Mon, 10 Jul 2006 06:31:43 -0400, D'Iberville wrote:

Hey, tichke,
On peut avoir les droits d'auteur pour en faire un film bien collant et
dramatique ? Avec E. Béart comme fermière, Reno comme fermier,
Dieudonné comme le chef des mauvais, Mouss Diouff comme chef de la police
etc..

Puis gagner des Oscars et des Césars.

En faire une série TV "J'ai des petits problèmes dans ma plantation".

Non ?



 
Oud 27 augustus 2006, 16:47   #5
Flanagan
 
Berichten: n/a
Standaard Re: C'est encore de la faute des Blancs...


Ça fait des années que ça dure, les gauchistes ne bougent pas, les
Blancs ne sont pas des victimes instrumentalisables dans le combat pour
le métissage de la France, rien comparé �* l'équipe de France,
instrumentalisée en publicité du "métissage" (entendre invasion) qui
réussit. Les gauchistes ne bougent pas, 80-90% de la presse ne bougent
donc pas (cf. enquête de Marianne sur opinions politiques des
journalistes : 80-90% �* gauche, le reste �* droite, et ici la droite molle).

Même au Figaro il y a plein de journalistes �* gauche ou de la droite
molle. On compte sur les doigts de la main, les journalistes qui ont des
couilles au Figaro comme Rioufol. Je pense que c'est le journaliste de
droite traditionnelle de service pour tromper les lecteurs du Fiaro qui
croient lire un journal de droite.

Faut vraiment effectuer des purges.



D'Iberville a écrit :
> "Elle a 25 ans, lui 41 ans. Ils sont mariés, Blancs et fermiers. Se
> revendiquent «patriotes zimbabwéens». «Nous ne partirons pas. Le
> Zimbabwe est notre pays, nous en avons la citoyenneté, on ne nous en
> dépossédera pas.»
>
> Dépossédés, ils le furent pourtant. Voil�* quatre ans, ils durent
> abandonner leur ferme achetée en 1999 dans la région de Koraï. «Avec
> l'autorisation du gouvernement, nous avions acquis 600 hectares pour y
> produire du tabac et faire de l'élevage. En 2001, nous avons pu
> rembourser nos emprunts. L'année suivante, nous avons dû fuir.» Par un
> matin d'hiver, ils se sont réveillés aux cris et algarades résonnant
> dans la cour de leur ferme. Une trentaine d'hommes armés étaient l�*,
> leur ordonnant de partir : «C'était tout, dit-il. Ils nous disaient de
> débarrasser le plancher. Pas d'explications, rien. Juste cet ultimatum :
> partir ou subir les conséquences de notre refus.» Elle ajoute : «J'étais
> enceinte de sept mois. Il y avait déj�* eu plusieurs évictions les
> semaines précédentes. Et des fermiers tués par ces soi-disant vétérans
> de la guerre d'indépendance du Zimbabwe. En réalité, nous n'avions aucun
> choix.»
>
> Ils ont jeté en toute hâte trois valises dans une voiture. Et sont
> partis. Sous la protection de leurs 75 employés agricoles tentant de
> refréner les ardeurs des envahisseurs. «C'était très surprenant, se
> souvient-elle. La violence était contenue, maîtrisée. Il fallait nous
> faire peur. Mais nous sentions que si nous avions résisté, cela aurait
> été plus loin. Il ne s'agissait pas que d'intimidation.»
>
> Arrivés �* Harare, la capitale du Zimbabwe, �* 200 km, ils ont loué un
> appartement. Pendant deux mois, ils ont tout tenté pour récupérer leur
> bien. «Nous avons voulu faire intervenir la police, dit-il, mais elle
> refusait, elle avait peur. Le chef de la police nous disait qu'il ne
> pouvait rien faire, que c'était politique, qu'il y avait des
> instructions.» Après huit mois d'efforts vains, ils obtiennent
> l'autorisation de revenir dans leur ancienne exploitation. Pour
> embarquer leurs effets personnels. «Nous avons pu prendre nos vêtements,
> dit-elle. Nous avons aussi vu la ferme. Le nouveau propriétaire vivait
> dans notre maison. Il roulait dans une voiture volée. Tout l'équipement
> avait été vendu. Les terres étaient en friche et les employés de la
> ferme vivotaient sur de petits potagers. C'était catastrophique et ça
> nous a définitivement ôté tout désir de retour.»
>
> Ils doivent refaire leur vie : «Nous n'allions pas débarquer �*
> l'aéroport de Londres avec deux valises, deux enfants et pas un sou.»
> Ils achètent donc un métier �* tisser afin de réaliser des robes de
> mariée. Se font une clientèle. Dont quelques-uns de ces nouveaux riches
> qui, sur fond de paupérisation grandissante du pays, tiennent le haut du
> pavé.
>
> Ils s'en sortent. Difficilement. Parviennent �* louer, après plusieurs
> années d'efforts, un potager de 37 acres dans la banlieue d'Harare. Y
> produisent des tomates qu'ils transforment en sauce et distribuent dans
> les supermarchés. «Il fallait survivre, nous avons dû nous adapter aux
> nouvelles conditions économiques», note-t-il. Avec 1 200% d'inflation
> annuelle, une rupture de tous les circuits de production et un manque
> criant de devises, le Zimbabwe, pays anciennement développé, s'est comme
> eux mis �* bricoler de tous côtés pour survivre.
>
> Aujourd'hui, ils emploient une vingtaine d'anciens employés de leur
> ferme. «Ils nous avaient protégés lors de notre éviction, nous leur
> avons proposé de continuer �* travailler ensemble. Sur place, leurs
> conditions de vie étaient devenues intenables, il n'y avait plus rien �*
> manger. Alors, ils sont venus. C'était peut-être dur pour nous. Ça
> l'était cent fois plus pour eux...»
> http://www.lefigaro.fr/international..._faillite.html
>
>
>

 
Oud 27 augustus 2006, 16:47   #6
D'Iberville
 
Berichten: n/a
Standaard Re: C'est encore de la faute des Blancs...

D'Iberville a écrit :
> On Mon, 10 Jul 2006 06:31:43 -0400, D'Iberville wrote:
>
> Hey, tichke,
> On peut avoir les droits d'auteur pour en faire un film bien collant et
> dramatique ? Avec E. Béart comme fermière, Reno comme fermier,
> Dieudonné comme le chef des mauvais, Mouss Diouff comme chef de la police
> etc..
>
> Puis gagner des Oscars et des Césars.
>
> En faire une série TV "J'ai des petits problèmes dans ma plantation".
>
> Non ?


Usurpation d'identité


--
Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
"Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".
 
Oud 27 augustus 2006, 16:47   #7
La giraFFFFF (timbrée)
 
Berichten: n/a
Standaard Re: C'est encore de la faute des Blancs...

D'Iberville <[email protected]> (soc.culture.belgium ; Mon, 10 Jul
2006 15:36:13 +0200):

>On Mon, 10 Jul 2006 06:31:43 -0400, D'Iberville wrote:
>
>Hey, tichke,
>On peut avoir les droits d'auteur pour en faire un film bien collant et
>dramatique ? Avec E. Béart comme fermière, Reno comme fermier,
>Dieudonné comme le chef des mauvais, Mouss Diouff comme chef de la police
>etc..
>
>Puis gagner des Oscars et des Césars.
>
>En faire une série TV "J'ai des petits problèmes dans ma plantation".
>
>Non ?


Avec un journaliste paumé pour faire la voix off?
-
°\
/\ (timbrée)
___________
http://cf.geocities.com/girafffff/Ic...girAFFFFF.html
 
Oud 27 augustus 2006, 16:47   #8
FrankB
 
Berichten: n/a
Standaard Re: C'est encore de la faute des Blancs...

On Mon, 10 Jul 2006 22:54:56 -0400, La giraFFFFF (timbrée) wrote:

> D'Iberville <[email protected]> (soc.culture.belgium ; Mon, 10 Jul
> 2006 15:36:13 +0200):
>
>>On Mon, 10 Jul 2006 06:31:43 -0400, D'Iberville wrote:
>>
>>Hey, tichke,
>>On peut avoir les droits d'auteur pour en faire un film bien collant et
>>dramatique ? Avec E. Béart comme fermière, Reno comme fermier,
>>Dieudonné comme le chef des mauvais, Mouss Diouff comme chef de la police
>>etc..
>>
>>Puis gagner des Oscars et des Césars.
>>
>>En faire une série TV "J'ai des petits problèmes dans ma plantation".
>>
>>Non ?

>
> Avec un journaliste paumé pour faire la voix off?


Pfff, il n'y a pas de voix off dans le grand cinéma français.
(des fois il n'y a même pas de bande de son : c'est ça, l'Art)
 
Oud 27 augustus 2006, 16:48   #9
La giraFFFFF (timbrée)
 
Berichten: n/a
Standaard Re: C'est encore de la faute des Blancs...

FrankB <[email protected]> (soc.culture.belgium ; Tue, 11 Jul 2006
10:00:37 +0200):

>On Mon, 10 Jul 2006 22:54:56 -0400, La giraFFFFF (timbrée) wrote:
>
>> D'Iberville <[email protected]> (soc.culture.belgium ; Mon, 10 Jul
>> 2006 15:36:13 +0200):
>>
>>>On Mon, 10 Jul 2006 06:31:43 -0400, D'Iberville wrote:
>>>
>>>Hey, tichke,
>>>On peut avoir les droits d'auteur pour en faire un film bien collant et
>>>dramatique ? Avec E. Béart comme fermière, Reno comme fermier,
>>>Dieudonné comme le chef des mauvais, Mouss Diouff comme chef de la police
>>>etc..
>>>
>>>Puis gagner des Oscars et des Césars.
>>>
>>>En faire une série TV "J'ai des petits problèmes dans ma plantation".
>>>
>>>Non ?

>>
>> Avec un journaliste paumé pour faire la voix off?

>
>Pfff, il n'y a pas de voix off dans le grand cinéma français.
>(des fois il n'y a même pas de bande de son : c'est ça, l'Art)


Avec le paumé, y a pas de grand cinéma.
-
°\
/\ (timbrée)
___________
http://cf.geocities.com/girafffff/Ic...girAFFFFF.html
 
 



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