Quand on ne peut pas tuer belle-maman...

.... on se défoule sur beau-papa.

http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=157249

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PGå

Kiss me out of the bearded barley
Nightly, beside the green, green grass...

Vachus Simplex wrote, a écrit, schreef, escribio in soc.culture.belgium,
<[email protected]> :

> ... on se défoule sur beau-papa.

Putain, sans cette info de première importance je me sentais tout petit.
Vive le MH^H^H euh.. DH.

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Vitae forma vocatur "Vachus Simplex" <akahhr(mortauspam)@yahoo.com>,
die Mon, 2 Oct 2006 10:55:39 +0200, in littera
<[email protected]> in foro
soc.culture.belgium(et aliis) vere scripsit quod sequitur:

>... on se défoule sur beau-papa.
>
>http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=157249
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Il éventre son beau-père (02/10/2006)

Béchir, 18 ans, a poignardé Robert, 60 ans, pour une dispute sans
intérêt

MOLENBEEK Béchir est âgé de 18 ans. Originaire de Tunisie, il a
rejoint l'an dernier sa maman qui est établie dans notre pays depuis
12 ans. Celle-ci qui a refait sa vie a aujourd'hui un autre enfant âgé
de 12 ans mais vit séparée de Robert, 60 ans, qui est par la force des
choses l'ex-beau-père de Béchir.

Samedi après midi, le jeune homme a téléphoné �* Robert avec qui il
s'entend plutôt bien et lui a proposé de venir boire un verre �* la
maison située rue de Dilbeek, �* Molenbeek. L'ambiance est �* la fête de
16 h 30 �* environ 23 h, les deux compères ont éclusé une dizaine de
bières chacun.

C'est alors que tout a dégénéré. Le demi-frère de Béchir, âgé de 12
ans, n'a pas voulu aller se coucher. Béchir qui ne l'entendait pas de
cette oreille s'est quelque peu emporté et a été jusqu'�* gifler
l'adolescent. Un geste que son père, Robert, n'a que très modérément
apprécié. Le ton est monté entre les deux hommes. Le père estimait que
son fils pouvait encore rester un peu. Pour Béchir, c'était hors de
question. Comme Robert ne voulait rien entendre, Béchir a décidé
d'employer les grands moyens.

Il est allé chercher un couteau �* la cuisine. Pas le petit �* steak
mais le grand, plutôt du style de ceux utilisés par les grands chefs.
De retour dans la pièce où se tenaient les débats, Béchir a brandi son
arme. Robert s'est retourné et c'est �* ce moment que Béchir lui a
planté le couteau dans le ventre. Robert s'est écroulé sur le sol,
grièvement touché. Il n'a pas survécu �* ses blessures. Béchir a bien
évidemment été privé de liberté.

Le parquet de Bruxelles, avisé des faits, est bien entendu descendu
sur les lieux dans le courant de la nuit. Béchir a expliqué qu'il
n'avait pas voulu lui faire de mal. Il voulait simplement lui faire
peur en tailladant un peu ses vêtements. Le seul souci, c'est que le
médecin légiste, �* la première analyse du corps de Robert, a déj�*
remarqué que le couteau était au moins rentré deux fois dans l'abdomen
de la victime qui, vu la taille de la lame, a été littéralement
éventrée...
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Quand on pratique l'immigration des classes dites laborieuses d'un
pays en voie de développement, ce sans importer également leurs élites
qui devraient les diriger, on s'expose �* ce genre de pratiques
moyen-âgeuses, vu que nous sommes incapables de punir adéquatement les
coupables de méfaits.
Un séjour relativement court dans un hotel 3 étoiles de l'état, c'est
pas vraiment une punition.

Nous nous comportons comme des grands cons vis �* vis de la racaille
que nous avons importé en pratiquant l'immigration sans contrôle.
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Fusti