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Oud 25 december 2006, 16:34   #1
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Standaard Fin de la famille traditionnelle, comme c'est amusant !


Une étude est parue chez Bayard, sous le titre Quel avenir pour la
famille ? Elle est signée de six experts : sociologues, psychologues ou
philosophes. Ils donnent des chiffres. En 2003, il y a eu en France 270
000 mariages et 125 000 divorces (contre 417 000 mariages et 40 000
divorces en 1972). Plus de 20 % des enfants français ont aujourd’hui un
mode de vie fixé par un juge… L’étude ajoute d’autres chiffres : il y a
eu 44,7 % de naissances hors mariage en 2003 (contre 7 % en 1972). Entre
1990 et 2000, le nombre des familles monoparentales a augmenté de 20 %
(il y en a une sur six).

Cette situation égaie des journalistes. Elle amuse moins les contrôleurs
des dépenses publiques. L’hôpital et le pénitentiaire coûtent cher. Or
80 % des jeunes internés en psychiatrie, 70 % des jeunes en centre de
redressement, et 50 % des jeunes toxicomanes, viennent de familles
éclatées… La Société française de psychiatrie de l’enfant, réunie le 24
novembre dernier, signale « de nouvelles formes de souffrances
psychiques des jeunes », allant jusqu’�* des comportements pathologiques
d’automutilation – que le pédopsychiatre Maurice Corcos attribue au
sentiment de solitude et d’abandon, dans des familles « éparpillées et
désemparées ». En 1998, une étude scientifique du CFES (Baromètre santé
jeunes) indiquait un lien entre « les ruptures familiales » et la
violence, voire le suicide, qui augmentent chez les adolescents. Le taux
d’échec scolaire des enfants est multiplié par deux en cas de séparation
des parents, surtout dans les familles ouvrières : pour y remédier, les
profs parlent de « soutien individuel » et réclament « plus de moyens »
; ce qui coûte toujours plus cher �* l’Education nationale.

Dans les institutions d’éducation spécialisée, 95% des pensionnaires ont
des parents séparés ; ces jeunes victimes sont 6000 dans le seul
département des Bouches-du-Rhône. Chacun de ces enfants coûte 150 euros
par jour au budget d’aide sociale départemental.

Les élus locaux sont donc aux premières loges. Ils savent �* quoi s’en tenir.


LE SONDAGE DES MAIRES DE FRANCE

Au congrès de l’Association des maires de France, réuni en novembre �*
Paris, les dix mille congressistes se sont passé de main en main un
sondage : il venait d’être réalisé par l’Ifop auprès de 500 d’entre eux.
C’était une enquête éloquente : 81 % des interrogés déclaraient – « au
nom des intérêts de l’enfant » – vouloir maintenir la famille
traditionnelle. Seuls 16 % des maires acceptaient (au nom de la « lutte
contre toutes les discriminations ») le mariage homosexuel et autres «
nouveaux modèles parentaux », fabriqués autour de l’individualisme et de
l’éphémère.

L’éphémère : c’est le problème. Si le mariage traditionnel est en train
de fondre comme le Pôle, c’est que l’air du temps est hostile �* toute
stabilité : et d’abord au mariage, qui stabilise l’amour dans la durée.
Le 18 novembre, lors des premières assises de l’Observatoire
socio-politique lancé par l’évêque de Toulon (Mgr Rey), le philosophe
Pierre Benoît soulignait que la famille était le pilier du «
développement durable » dans la société. Au lieu – disait-il – de tout
ramener au « très court terme » selon l’esprit politicien, l’Etat
devrait comprendre que la famille est « un chantier social �* long terme
»… et qu’�* déconstruire le mariage, �* le remplacer par un contrat
facilement résiliable, simple expression d’un lien affectif éphémère, on
n’aboutit qu’�* pulvériser la société. Ce qui n’est pas, en principe, la
vocation des hommes-et-des-femmes-d’Etat…

Ceux-ci objectent : « Nous sommes dans une société pluraliste ; il faut
faire droit aux libertés nouvelles, donc aux nouvelles formes de projet
de vie ».

Pierre Benoît répond : « Le pluralisme vous oblige �* aider et soutenir
– aussi – ceux qui ont le projet de vivre le mariage traditionnel ! »

L’Etat y trouverait son compte, puisqu’il est le gardien du lien social.
Le mariage est la seule structure qui fédère tous les aspects de la
famille (sexuel, juridique, économique, éducatif, etc) et qui leur donne
un sens ; la perte de cette structure désorienterait donc un peu plus
une société déj�* sans repères.


LES SOLUTIONS NE SONT PAS LIBERALES

Comment éviter que cette institution irremplaçable - la famille
classique - ne continue �* se dissoudre ? Le mariage est le pilier de la
famille, mais fonder une famille aujourd’hui est jugé trop risqué par
les jeunes. Si l’on veut relancer le marital, il faut donc sécuriser le
familial, matériellement et moralement.

Est-ce possible ? Oui : en Norvège. Dans ce pays d’Europe occidentale,
en 2006, 75 % des enfants grandissent au sein de familles
traditionnelles avec deux parents biologiques… D’où vient ce miracle
politiquement incorrect ? Le sociologue Georges Eid en donne
l’explication : la Norvège est « un Etat militant, qui octroie 48
semaines de congé parental couvrant le salaire �* 100 %, une excellente
infrastructure de la petite enfance, et des heures de travail flexibles.
Ce n’est pas un hasard si les protections familiales et le bien-être
familial vont la main dans la main. »

La France en est loin. Son Etat ne « milite » pas pour les familles : il
a tendance �* les dédaigner, �* les pénaliser, �* jeter sur elles le
soupçon �* force de campagnes ne parlant de la famille que sous l’angle
de l’inceste, et du mariage que sous l’angle des violences conjugales.


On peut donc s’étonner qu’il y ait encore, dans ce pays, des Don
Quichotte de la cause familiale.

En voici par exemple une vingtaine : ce sont les auteurs et
collaborateurs de La Grande Encyclopédie des parents et de la famille.
Un manuel de survie ! Depuis le chapitre Vivre �* deux (« le couple,
l’engagement, le mariage, le désir d’enfant ») jusqu’au chapitre Vivre
l’épreuve (« le deuil, la maladie, le handicap »), en passant par les
chapitres Mettre au monde, Faire grandir, Etre parents, Vivre en
famille, c’est un énorme outil pratique, une masse d’informations sur
l’art et les moyens de naviguer par tous les temps quand on se lance
dans l’aventure familiale. Les vingt auteurs de cette encyclopédie sont
effectivement des Don Quichotte, mais �* l’envers : ils s’attaquent au
géant (l’idéologie anti-familles) comme si ce n’était qu’un moulin, en
lui lançant dans les ailes un beau pavé de mille pages tout en couleurs.
Les jeunes ménages vont s’emparer de ce gros livre et remercier
l’éditeur Fleurus : ce n’est pas seulement Don Quichotte, c’est le Père
Noël.

P.P.
http://plunkett.hautetfort.com/archi...e-pr.html#more
 
 



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