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Oud 7 april 2007, 17:44   #1
Abe
 
Berichten: n/a
Standaard 8) dernier bout /// On ne peut rire ni de tout ni avec tout le monde ///

suivi de, pour suite et fin: Re: Freud? Une plaie.

8, introduction:

Leur pathologie est de venir se faire expliquer leur sale maladie:
c'est de se faire expliquer cette sale maladie qui consiste �* se faire
expliquer sa maladie: c'est ce qu'ils ont appris �* faire dans de sales
bouquins de merde de freud et de dolto complétés des notices
pharmaceutiques crapuleusement erratiques et vides de sens: mettre les
gens dans des Boucles, les envoyer réfléchir, consulter, se faire
médicaliser, chimiquer psychologiser, etc ... bref se faire endormir,
ils endorment aussi tout qui viendrait �* chercher �* comprendre en se
justifiant: on croit qu'il �* une pathos mais on sait pas encore
laquelle et très honnêtement (c'_est estomaquant ca _rend physiquement
les gens malades) on est pas très sur, mais on vous préviens: il a
_peut-être "un problême". Le problême est d'avoir des gens comme ca
dans son dos, les problêmes commencent quand on les trouve, le
problême devient d'avoir �* les dénoncer pour les stopper sans les
envoyer �* la cage, ce genre de situation pose problême �* tout le monde
parce qu'on voudrait pas plus que ca qu'ils se fassent un jour abattre
_ni qu'ils recommencent avec qui que ce soit.

Ceci est un compte rendu analytique en 50.000 mots de cet accusatoire
de 10 lignes qui n'a jamais été pris en compte.

Aussi sur que les sionistes prendront un jour des sol-sol iraniens
dans leurs bunkers, il cloue et soigne et guérit les empoisonneurs qui
m'ont cherché des maladies: des freudoliens, des psy ratés, des
junkies sur eux-même et par procuration, il restera la version in situ
du roman qu'ils attendaient que j'écrive sur ma vie: je met pas mon
prix dessus ... je travaille pas pour autre chose que le bien public,
j'en ai fais ma théologie (ma religion) tellement on m'a fait chier,

tellement aussi on m'a fait chier �* chercher �* savoir si cette
phylosophie est innée ou acquise: jaloux parasites.

Après ? Apres je reposterai en boucle en signalant les quelques fautes
de typo que j'aurai trouvé �* sa derniere relecture avant ... pffff
réécriture, pas avant des années;

elles sont râres et le lecteur interloqué sera facilement �* même de
corriger au vol quelques inversions de mots ou râres fautes de
rédaction, de typo, mots manquants, si le sens d'un paragraphe est
dénaturé par une faute d'écriture le lecteur n'aura pas de mal �* la
corriger, il en reste très peu; le nr de version est paru en tête du
document.

8 )

* Il aura permis de démontrer que je ne vis pas dans ma réalité comme
il l’a été tant affirmé tout au fil de ma vie par ma famille puis par
les premiers cachottiers de la *, mais dans le même que tout un chacun
et que je suis par personnalité et que je l’ai toujours été, plus
enclin �* travailler pour le bien publique qu’�* des fins matérielles.
En aucun cas je n’aurais pu accepter l’idée de jouer l’acteur ne
fut-ce que d’en laisser courir le bruit, la suggestion, que je
considère et dénonce pour perversité et insulte, qui plus est de la
part de gens (ma famille) qui m’ont informé de cette expectative en me
parlant dans le dos, jamais en s’adressant �* moi de façon claire et
normale, utilisant tout le sectarisme pour m’informer subliminalement
puis m’injonctionner en me mettant devant des faits accomplis, ou
analytiquement de fait �* constater, de ce que l’on projetait de faire
de ma personne.

* Ils m’ont toujours considérer et désigné pour un légume handicapé,
pas de naissance mais de leur faits, qu’ils ont cru avoir réussi �*
berner ad vitam sur leurs considérations de moi, ils ont poussé le
vice jusqu’�* prétendre me faire vivre �* perpette dans le mensonge qui
aurait aboutis �* me faire accepter ouvertement que je serais devenu
acteur. Pour moi suprême insulte, camouflet �* leurs méfaits, je suis
d’esprit scientifique, ni menteur ni littéraire ni psychologiste,
encore moins acteur. Ils sont malades de mon extraversion qu’ils ont
pu constater ou se faire relater et qu’ils ont toujours travaillé �*
contrer, par peur de me voir découvrir normal, par qui refusant de
croire que j’étais tel qu’ils le suggéraient ouvertement, l’handicapé
toujours malade et fatigué - je n’ai jamais souffert de quelconques
pathologies physiques plus que quiconque, je n’ai été fatigué que par
leur chimicalisation pseudo pharmaceutique, leur frénésie �* me
psychiatriser.


re- Pathologiques de mon observation, doux bandits.

Démontrés oppresseurs, eux me taxer d’handicapé est me déclarer être
porteur de naissance de la même pathos qu’en l’occurrence ils ont
travaillé �* installer - le psychotisme. Puisque telle est leur
prétention depuis toujours ils sont coupables de diffamation, et
d’avoir travaillé �* s’en prémunir par agissements maldisants; ils sont
trouvés bandits psychologiques.

Qui me taxera d’être porteur de quelque pathos est négationniste de
non pas de la théorie mais de la pratique de ce qui se révèle n’être
justement pas concordante mais complémentaire �* ce que les
incompétents ou des religieux de la psychanalyse invoqueraient pour
mieux récupérer ces conclusions comme étant celle ou une variante de
la théorie �* laquelle ils voudraient la rapporter, celle de la
psychanalyse, variante pratiquée qu’ils pourraient pourquoi pas se
risquer �* taxer de dégénérescence de la leur, celle théorisée par
dieu-freud que mes détracteurs ont toujours négationné car pas
pratiquée, même pas comprise probablement mais pourtant étudiée en
scolarité, mais finalement induite sur ma personne après si longue
spéculation de parvenir �* une occasion de m’y envoyer pour m’y finir
moi-même et tout seul; se limitant �* faire de la psychologie -
utilisée �* fins de limiter chacun �* croire en moi une pathos de
naissance en lieu et place de chercher des responsabilités chez
ceux-l�* même ont le besoin pour se prémunir de voir réitérer et
perpétuer leurs pratiquant, devenue pathologique, de taxation,
d’observation, d’expérimentation, et de mensonge pour finir la boucle.

S’il en est, chieurs détracteurs de ma personne pour excès
d’explication, d’analyse de mes handicapeurs se contenteront d’être
cités en sympathisants exclusifs de trouvés tels; rejoindront
tranquillement l’adage qui dit qu’on a pas d’amis commun et ne
viendront pas se faire analyser par moi sans sortir chéquier - pour
les dissuader d’eux-mêmes perpétrer agissements injonctionnels de
l’analyse de tout et de tout le Monde jusqu’�* se faire clouer.
Perversité visant �* enfermer autrui dans l’analyse dont ils se
complaisent de les y voir attitrés pour mieux jouer avec en leur
présentant matière - fécale dont on se débarrasse pour vivre et non
travailler �* leur expliquer qu’ils sont oppresseurs �* prétendre avoir
besoin de se faire expliquer des évidences �* but d’accaparation et
d’occupation de gens qui n’ont PAS QUE ca �* faire que de se
débarrasser de parasites, au moins de parasitisme. Qu’on les envoie en
psychologie se faire expliquer cela.

Agressions et participation: paranoïa, hyperactivité, schizophrénie

= paranoïa: propension �* me taxer d’être incapable de comprendre ce
que l’on m’amène �* rédiger, prétention que j’attache plus d’importance
�* la dialectique et �* la ponctuation qu’au contenu - il le faut pour
conciser sans dénaturer - prétention que je ne fais qu’attendre les
suggestions de formulation alors qu’on ne m’envoie le plus clair du
temps que des bribes, des idées, des ébauches, qu’en plus elles sont
parsemées d’égarements ou de mal- formulations, de percutant �*
reformuler, d’imbroglios hyperactifs;

= enfin on me laisse aussi aller �* toutes les erreurs, ne me
corrigeant pas mais ne faisant que m’amener sans cesse des compléments
et suggestions, jamais de correctifs. Moi aussi je suis de nature
quelque peu hyperactive et travaille en deux temps, d’abord le
placement des idées puis leur mise au net, rajouté de consultations de
dictionnaires et de correcteurs orthographiques; énoncé de détails
presque autocongratulants qui eux aussi me sont quelque peu suggérés
et que je joins .. car ils ont leur place dans ce document me
justifiant.

= hyperactivité: ce qui est positif mais amène un gros travail de
démêlage, si pas ensuite de prise en compte et de développement de
chaque élément pour finir par formuler correctement chacun des
développements, justifiance de cette hyperactivité par le désir de ne
rien perdre, �* la fois volonté et performance de ne rien oublier, si
pas traités on reste sur une apparence de psychotisme - si trop
d’acharnement on y passe .. du temps.

= schizophrénie: exaction parmi des pires: la supportance de l’effet
de groupe, celle de leur succession et celle sa simulation par
quelques personnes de connivence, subissance d’un infernal climat
d’hostilités quand pas de schizophrénie dans un effet de groupe ou de
par la succession des intervenants, connivents entre eux ou avec moi
ou hostiles entre eux ou envers moi.

* De par leurs incessantes conversation, infiniment variées,
rebondissant dans tous leurs contraires, obligatoirement �* prendre en
compte, quand pas simplement �* subir, puisque reçues donc vécues sans
pouvoir identifier les correspondants ni leur sentiments, ni pouvoir
les faire se taire.

Auto- justification d’un loft pirate

* L’existence du loft est justifiée de par son existence, �* analyser
dedans sinon en justice -mais on se demande quel tribunal se
déclarerait compétant, peut-être un tribunal international de guerre.
Ils ont appris �* casser la gueule �* distance, par situationnisme, par
psychologie, par [dvc²]; ils ont appris �* déficienter, prétendant �*
même quand ils n’y parviennent pas, par chauffe, exactions, bourrage
de crâne. Des néo-communistes staliniens parfois chimistes,
dispatchant et dispersant, se partageant les responsabilités, chacun
en aura fait peu. D’autres m’ont dés- hypnotisé, presque dé- légumisé,
et psychanalysé, m’ont fait m’affirmer et découvrir, conscientiser,
trouvé et extériorisé en tant qu’ingénieur ou scientifique raté du
fait du subis familial d’une presque lobotomie ratée, rattrapé de
justesse et seul par de post- études d’informatique.

petit poucet: Sinon je balance tout sur Internet, A MONDE, et j’attend
d’être abattu ou sauvé, exile exode.

suite:
* Rorcher est un toquard, un rigolo dont les oeuvres sont utilisées en
psychologie et pédologie. Il dessinait des chattes kaléidoscopiques,
des sexes féminins, pas des minous ni des papillons. Doltesques
pédologues toujours de la bourgeoisie petite sont handicapeurs,
fabricants de psychotiques, fallacieux observateurs. Légumisé �* la
chimie et �* la mise �* l’écart, regarder, des daubes et des cons �* la
TV, du téléachat ou des jeux stupides, pour régresser dans
l’intelligence, rater son instruction.

Les faux films

* De faux films �* la TV, des images sur lesquelles les acteurs
traducteurs peuvent interpréter l’histoire de leur choix, du choix du
script ou du commanditaire, on y retrouve du Burnum (syndrome de
l’horoscope) et du subliminal destiné �* qui, qui sait. Légumes sur
canapé, arrosés de TV, collés aux neuroleptiques et anxiolytiques,
remontés aux anti- dépresseurs. Branlographes et pedographes
espionnent les chambres �* coucher. Sectaires doltesques et freudoliens
cherchent âge mental ou bizarretés �* leurs sujets mis en pâturages
pour observation, allèguent pédophilie quand leur sujet majeur,
prétendu déficient qui plus est, s’est fait entre- mettre et faire un
film de sexe par des loftants pirates.

==========

La prétention que j’allais être acteur

A CONCISER.

* “il sera acteur, il fera bon acteur, c’est l’acteur, il est notre
acteur, c’est mon acteur, c’est l’acteur handicapé, il est handicapé
il sera acteur”, autant d’insultes prononcées de façon subliminale:
paroles dans le dos, des gens qui parlaient entre eux en ma présence,
paroles distantes, dans la (*) , dans la rue, ...).

Je n’ai toujours considéré la désignation d’acteur que pour une
insulte �* mon encontre, on �* prétendu avoir voulu me faire un film qui
pour camoufler les agissements premiers de la *, qui pour me sauver de
cette accusation d’abus, on �* perpétré cette prétention pour me faire
sortir acteur de ma prison loft. Mais jamais personne ne m’�* parlé en
clair de cette idée, encore moins permis de la comprendre.

Je suis amené �* hypothèser moi-même la signification de cette
prétention, au su des dires et des attitudes des affirmateurs, au
final des analyses du loft et de réflexion, mes conclusions confirment
que j’ai raison de refuser cette suggestion qui ne m’a de toute façon
été faite que de manière ostentatoire, vulgaire et insultante, qui
l’aura considérée en acceptable aura été berné:

on aura voulu prétendre que je jouais un autre, la vie d’un autre, ou
que dans un second temps j’aurais du simuler être un autre jouant la
vie du premier, donc de la mienne; bien sur devant tenir se rôle une
période indéterminée (cela fait une éternité que périodiquement on me
dit et m’affirme que �* partir du moment dit je suis acteur, de fait
acteur, décrété acteur, donné �* un certain public comme étant acteur
de ma propre initiative puisque personne ne m’en a jamais dit un seul
mot en s’adressant �* moi autrement que par bruits de trottoir ou dans
la *;

j’aurais du être acteur �* la peur panique que l’on a tenté de
m’instaurer, pour faire semblant de ne pas être celui qui un jour �*
cru pouvoir faire sa vie avec une rencontre dont il s’est avéré
qu’elle était impossible et une erreur, j’aurais du être salop faisant
loft volontaire (ou pas), se faisant passer pour un autre ayant pris
ma place, j’aurais du être le salop qui aurait simulé sa propre
personne, ne se faisant plus reconnaître - on �* tenté et on s’est
quelque peu acharné �* me faire vivre différemment, �* me daire me
mouvoir autrement, �* me faire gesticuler autrement et prendre
attitudes différentes des miennes tout en bien sur leur correspondant
fortement de par “performance d’acteur” mais par évidence puisque la
même personne physique,

me harcelant de remarques sur mes faits et gestes ce qui devait
m’amener �* faire tout autrement qu’�* ma normale, sinon �* en subir
exactions orales par commentaires de constat interrogatif jusqu’�*
accusatoire du fait que je n’étais pas acteur ou pas l’acteur,
au contraire quand de par ma normalité, mes habitudes, ou par hasard
je correspondais aux demandes scénarisantes,
quand pas que le “scénariste” ne succédait �* mes gestes, donc en les
commentant mais de façon injonctionnelle pour mensongèrement
constater acceptance de ma part;
paroles intrinsèquement, et dites de façon, ostentatoire, rajoutées de
tentatives de ou de fausses post- manipulations jusqu’�* remerciées
sinon �* me voir punir les refus et constats de non-acceptance par
remarques menaçantes ou injonctionelles;
inadmissible �* l’insupportable d’accepter et de vivre une véritable
scénarisation jusqu’�* une psychiquement de structurante destructrice
harassante et insultante rééducation comportementale;

* on est dans le véritable stalinisme comportemental, �* charge de qui
est venu se prétendre cinéaste; on devrait d’office expatrier vers un
pays communiste pour satisfaire �* leur vice du sévice tout en se
débarrassant d’eux ce genre de personnages ou les enfermer pour les
punir ou les soigner par interrogatoires psychiatriques des
motivations de leurs exactions.

= Des psychologues parmis les plus compétents seront peut-être �* même
de leur expliquer en des termes bienséants qu’on oblige pas quelqu’un
�* se complaire d’être taxé de - de devenir fou ni acteur; qu’on les
attrapé avant qu’ils n’y parviennent sur le personne de qui que soit -
remarque généraliste, sinon qu’on laisse aux plus exigeants des
formateurs et éducateurs le soin de les éduquer au fondements de la
vie communautaire - faute de quoi qu’on les largue sur un pays en
guerre et qu’ils soient contraints d’y faire obstacle non �* des
manipulateurs exacteurs dissimulés mais �* des combattants, �* la
disposition d’aucuns qui croient nécessaires ces affrontements.

Dessous: �* conciser.

= J’aurais du être ce salop, qui volontairement aurait choisis de se
simuler lui-même pour faire croire �* la présence d’un acteur ayant
pris sa place, cet acteur étant moi-même et aux yeux de personne
quelqu’un d’autre, j’aurais été accusé de me simuler moi-même pour
faire croire �* ma non présence en mon propre domicile (ou �*
l’imbécillité pathologique); le vice a été poussé bien entendu jusqu’�*
me prétendre tel devenu volontaire, devenu cet acteur existant se
simulant lui-même.

= (Si ce n’était situationnisme,) Quelqu’un �* réellement tenté de
faire croire au public, �* la population témoin de mon loftage que
j’étais devenu prompt �* me cacher, �* me simuler, moi-même.
= Même si ceci est participé par mes loftants je ne peux trouver de
mots pour dire de mille façons différentes que je trouve sale et
dégeulasse cette prétention par période devenue injonction �* ce que je
devienne acteur.

= L’acteur se simule lui-même et risque la mort violente car il tente
d’échapper �* une fausse accusation de viol en vivant le vice de se
simuler lui-même, cependant qu’il est manipulé au possible par
on-ne-sais-qui, qui justement s’est fait prié chaque fois que situé
présent d’aller au diable.

= L’acteur n’a pas existé et n’existera pas, je marierai peut-être
fille de qui et
nous vivrons ... sans que plus jamais personne ne vienne nous taxer
d’avoir vécu dans un film.

Classique et diabolique manipulation dont l’on a donc tenté de
m’accuser, d’abord fallait-il que je devienne acteur ! Je préfère
vivre et injonctionner de fait après cinq ans d’ignorance de ma
situation et quatre de prison loft �* ce que l’on me dise ce qu’il en
est de qui j’espère revoir, ayant été maintenu dans cet état d’esprit
mais bien sur et mon observation de chaque jour le démontre , n’ayant
jamais douté du bien-fondé de notre relation nonobstant l’âge de pour
qui je ne trouve aucun moyen de désigner ici sans la citer, sans
utiliser de dialectique formelle, impressionniste, littéraire ou
fabulatoire pour de qui .. de qui. Remplis de l’analyse de ce pire
que l’on vient de m’aider �* concrétiser tout en le rédigeant, j’oppose
l’humour dans mon évocation de qui joint au refus de la soumission et
de la crainte face �* la pire manipulation que l’on puisse imaginer
dont l’on a tant essayé de me faire victime volontaire quand pas
dénoncé tel, que je vis depuis si longtemps quelque peu inconsciemment
puisque jamais on ne m’a permis de finaliser ce raisonnement aussi
précisément et complètement - précision qui importe en rapport avec
une menace de mort qui m’a été informée, d’une façon distante mais
aucunement prenable pour du situationnisme, sans que rien ne me
permettait alors et que jamais on ne m’a permis de comprendre
précisément, que rien ne me permettait de mettre en relation avec
cette prétention qu’on ne l’a pas laissé comprendre qui était que moi
acteur je simulais ma disparition pour échapper �* une accusation
d’abus sur mineure.

L’acteur meurt.

= Cet acharnement �* tenter de me faire acteur montrerait une volonté
de me faire abattre en me faisant céder pour une raison qui aurait été
celle de mon choix d’accepter de devenir acteur, aurait été récupérée
pour m’accuser de tenter de me dissimuler intellectuelemnt de façon
ouverte, physiquement �* l’encontre de l’observation de ma personne. De
la même façon que si on me voulait barbu pour me cacher après on s’est
trouvé devant le problème de m’avoir déj�* vu barbu dedans - mon seul
problème, ayant reçu cette réflexion �* ce moment, était .. la panne
définitive de mon appareil électrique et le manque d’argent pour le
remplacer.

= Et ce dénigrement de moi au cours du loft �* me taxer durant une
longue période d’être bon acteur aura donc pu être celle du pere qui
aurait pu croire qu’un jour j’allais renier mon proche passé et cette
inappropriée relation, cela aurait traduit abus en lieu et place de
erreur. Pour lui complaire si ou quand fut telle sa recherche ou son
espoir, de constater force, détermination et loyauté de ma part et ce
de façon générale.

= Quelqu’un xxxxxxxxxx, manifestement dans un sentiment de toute
impartialité �* mon égard, usant du plus grand potentiel de
manipulation et d’intimidation �* sa disposition, a fait la
démonstration par l’absurde de mon aversion �* l’égard de toute
hypothèse �* mon profit ou �* mon dénis que je puisse me résigner �* être
(un) acteur, encore moins acquiescer �* la prétention de sa nécessité,
dans l’inconnu et de part toutes analyses. Voir ci-dessous [le
cinéaste allait ...]. De multiples tentatives on toujours abouties �*,
se sont toutes transformées en, de transcendantes démonstrations
corroborantes.

= Cela démontré, si je meurs ce ne sera pas de l’être, ni de l’avoir
été de fait si quelqu’un m’en a taxé et extériorisé tel. Que qui
aurait encore de telles idées garde �* l’esprit mon aversion �* ce
sujet, pathologique je veux bien l’en être et le considère honorifique
et bien public.

Le cinéaste allait faire un film, un film de quoi ? On m’a joué la
guerre, on a fini en guerre, il a fait un film de guerre ...

pour [dvc²], �* la lobotomie par le mensonge distant, il ne s’est
jamais montré �* moi, au cassage de gueule par la manipulation et le
situationnisme. J’allais être cette chose, dixit de mon entourage
qu’il a légumisé pour qu’il me le fasse savoir que par paroles
subliminales, répétées par des bruits de trottoirs déj�* en
préliminaires �* mon enfermement loftage:

- un accident de la route suite �* tachycardie, une syncope résultat
d’un interrogatoire psychologique téléphonique dialogué par qui
patriarche de devenue la secte, visiblement relancé par sa liste de
questions plutôt par une présence �* ses côtés. N’en a démordu d’avouer
les intentions de ce questionnement, me rendant sur place pour lui
demander explications il a nié, pantois de ne vouloir ou de ne pouvoir
rien me dire. Il devait y avoir depuis quelque temps coke et
anxiolytiques dans mes conso de fume et de nourriture ou de café, rien
ne peut expliquer sinon cet accident formellement cardiaque conséquent
�*, merci, un crash de voiture. Un témoin venu �* mon secours a alors
prononcé les mots “c’est l’acteur’ �* l’attention de la personne
l’accompagnant. Jamais compris ce que ca voulait dire, ces gens me
pistaient-ils et ont-ils prononcé sciemment ces paroles ou avaient-ils
reçu extériorisation de moi par le fait d’un prétendu cinégraphe, ils
se sont rapidement éloignés, semblants interloqués de m’avoir
rencontré:

- quelques temps plus tard �* une boutique proche, la caissière qui
sourit et dit �* l’autre “c’est le ...” autre chose accusatoire du
caractère interdit de ma rencontre préalable avec qui alors mineure;
sur un ton humoristique et non accusatoire ni dénigrant, elle n’en a
pas dit un mot de plus et a encaissé mes achats;

il y a de ca plus de cinq ans.

J’étais donc l’acteur, mais de qui ? Qui allait se faire abattre pour
loft de son fait en son domicile ? Q’on a fait déménager pour lui
éviter le pire, que le cinégraphe a ensuite tenté de récupérer pour
finir par lui injonctionner de l’être, laissant tout le monde dans
l’expectative du choix que j’allais faire, dans l’inconnu total et
crasseusement - ou pas - manipulé, amené �* supporter durant une
période une accusation de simulateur dans une peur panique installée
par des loftants, doublés de surveillance expectative police§re ou
productrice d’un faux film dans lequel son acteur meurt, tué ou par
accident cardiaque, ou fini en prison pour simulation de sa propre
personne dans le but d’échapper �* accusation d’abus, voir psychiatrisé
accusé de tel ou pour n’avoir pas compris .. l’incompréhensible,
dénonçable en banditisme comme je me suis attaché �* le faire �* cette
période,

il y a de ca plus de trois ans.

A qui ancêtre ascendante de la dite secte on a expliqué que j’allais
vivre trois fois durant ma prison. Dans le désordre une fois en
hypnose, une fois normal doux légume et une troisième fois total
manipulé et taxé d’acteur handicapé, en trip, dingue ne comprenant pas
la réalité, cf. [dvc²]. Il faut demander plus de précisions �* qui a
fait quoi, c’est �* lui qu’il demander ce qu’est le trésor de [dvc²].

Quand et comment devais-je crever dans ce faux film sectaire
tortionnaire et maltraitant abuseur d’un prétendu handicapé actorisé
par terrorisme ? Quel est le titre de leur remake de DA VINCI CODE ?

Tout ca est leur vie, pas la mienne mais ce qu’ils en ont fait.

// FIN DE A CONCISER

= Remarque généraliste appliquée aux pathologies: ont un potentiel de
gravité ou de fréquence partiellement () corrélé �* la propension �* se
laisser accaparer par tout généralement �* potentiel de conséquences
pour ce qui concerne son propre état d’esprit. Qui �* facilement peur
aura souvent peur, qui n’a peur de rien trouvera échappatoire lui
permettant d’avoir moins (souvent) peur, par réalisme / trouvera
solution ou se fera une raison - personne n’a peur de rien; même
Hitler avait peur .. il s’est suicidé devant l’arrivée de l’ennemi -
ou était-ce par lâcheté.

Après ma prison

Après, c’est privé.

/// On ne peut rire ni de tout ni avec tout le monde ///

Fin de 51000 version du 24 nov 200six v4.06sr.
[fin]

[annexes]
Tout le censuré et les conclusions confidentielles sont exclues de
cette publication.
fin ==================================
 
 



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